Solidays

Après plusieurs sessions des Eurocks et une année à Rock en Seine, cette fois on s’essaye aux Solidays ! Voici donc mes remarques en vrac, et en comparaison avec ce qu’on connait déjà.
1 — Le prix
C’est pas cher ! Les premiers pass sont à 39 €, et ça augmente progressivement jusqu’à 99 € par tranche de 10 €. Il existe une plateforme pour revendre ses places où on né peut pas les revendre plus chères que le prix qu’on les a payées et qui sécurise les transactions, donc tout le monde est gagnant. On l’a testé cette année (on avait acheté des pass 3 jours avant d’en gagner avec accès VIP), c’est vraiment pratique !
2 — L’organisation
Hum. Là dessus, on est un peu déçus, en comparaison avec les autres festivals qu’on a testé. Des exemples dans le désordre: il y a beaucoup, beaucoup de queue aux bars, où on né vend apparemment que des demis et pas de pinte… Bön.
Le programme n’est pas donné à l’avance comme ailleurs mais distribué contre un don libre sur le site du festival. Et ce n’est pas une petite ZCard très pratique comme partout, mais un programme A5 de 68 pages (avec un brochage qui tient mal et donc avec les pages qui se barrent petit à petit), au milieu duquel il y a une double page avec le plan (sur lequel né sont pas indiqués les postes de secours, on a trouvé ça bizarre…) et une autre avec la timeline. Trop-​pra-​tique à se trimballer et à consulter (on a d’ailleurs perdu les 2 qu’on avait acheté dès le premier soir).
J’ajoute ma remarque sur les toilettes ici: au TOP ! Trop, trop propres. Vraiment. Il y a des bénévoles à chaque entrée, qui te dispatchent dans les cabines. Du jamais vu ailleurs ! Par contre, le samedi soir le festival terminait tard et les espaces étaient fermés progressivement. Du coup il y avait de moins en moins de WC d’ouverts et là c’était la crise (on est carrément sortis du site pour aller dans les bois avant de re-​rentrer ensuite).
3 — Les scènes, les animations
On va commencer par le point noir: les chapiteaux. Il y a 6 scènes dont 3 sous chapiteau. On imagine que c’est bien en cas de pluie, mais quand il fait chaud comme cette année c’est une ho-​rreur. Il n’y a pas d’air, et je pense notamment à l’une d’elles où le sol est en terre bien sèche, qui vole bien quand tout le monde se met à sauter… hummmm je meeeeeuuure.
Sinon, gros kiffe pour les stands et l’espace cuisine du monde avec un choix énorme de choses à manger (où tout ce que j’ai gouté était vraiment bon). Il y a aussi le fameux saut à l’élastique gratuit proposé par l’asso Une idée en l’air, mais les 2h de queue nous ont démoralisés.
4 — L’accès
On avait la chance d’être hébergés à 15 min en voiture du festival ET d’avoir un Sam parmi nous (ah ces gens qui n’aiment pas l’alcool =)) Donc on a testé le parking, à 15 € les 3 jours. Il fallait pas arriver trop tard pour être sûrs d’avoir une place, mais si jamais il y a pas mal de possibilités autour pour se garer. Pour aller du parking au festival il y a une petite marche à faire, avant d’arriver à l’entrée où, contrairement à ce qu’on a connu ailleurs, ça fouille carrément ! On entre à chaque fois avec une poche à eau remplie d’eau (c’est important !) et une ou deux autres remplies d’alcool (prohibé sur le site, bouuuh). On a trouvé des combines pour passer avec, mais on a jamais eu autant le trac parce que les sacs à dos sont complètement vidés, ils font toutes les poches, regardent si ta crème solaire est inflammable… bref, grosse fouille des sacs en plus de celle au corps. L’encadrement est vraiment règlo, ça peut être bien comme ça peut être relou, c’est une question de point de vue: P
5 — En conclusion
Parce qu’il faut bien finir par conclure, je mets 4* parce que j’ai passé 3 excellentes journées, mais je pense y revenir uniquement avec les premières ventes de pass à 39 € (voir 49 €, soyons fous !)

Solidays est l’un des évènements les plus attendus de chaque été.
Avec une programmation riche et variée, on trouve toujours notre bonheur sur au moins l’un des trois jours de festival !
Lorsqu’il fait beau, sous ses airs de LA hippie, on s’y sent bien dans l’herbe avec ses lunettes de soleil. Place à toutes les folies vestimentaires, tout est permis. Un évènement solidaire pour une cause humanitaire importante !!
C’est peu cher, on adore! Pleins d’animations, de foods trucks et de stands de conseils. Les foods trucks sont de tous les prix, et proposent des cuisines du monde, à toute heure et on se réunit sur des tables communes! (minimum 6 € le sandwich).
Seul bémol: l’alcool est interdit à l’entrée (j’imagine que c’est pour limiter la casse, et pour que les sponso puissent obtenir un chiffre rentable). Nous buvons donc des heineken et de la despé lime avec une quantité max de 25 cl!
La consigne de 1 € pour les gobelets en plastique est aussi une idée formidable, du coup, c’est moins crados au sol !

3 ème année consécutive que je fais les Solidays cette année. Étant bénévole pour une association, je n’ai pas forcément le même regard que les festivaliers.
Voici mes positifs et négatifs de ce festival :) :
Les plus :
— Une programmation diversifiée et de bonnes têtes d’affiche ! (J’ai eu l’occasion de voir Joey Star, Diziz, ShakaPonk, Skip the use, Kavinsky, Vitalic, M, Vanessa Paradis …).
— Des éco cup super jolies.
— Un espace associatif énorme, super diversifié et ludique.
— Des stands de nourriture du monde et nouveauté cette année: des food trucks.
— Pas mal d’espaces différents (associatifs, conférence, green room, bar despe, saut à l’élastique, bar métal, zone massage …).
— Des jeux dans le camping (et une radio que te réveille en parlant de fellation tous les matins).
— Les bénéfices réservés à l’action contre le SIDA.
— Les navettes jusqu’au métro (nombreuses et clairement indiquées).
— A ce que j’ai compris, le festival n’est pas très cher et fonctionne sur le principe du prix évolutif (premier arrivé, moins cher le billet).
— Le bar des bénévoles :D
Les moins :
— La fouille au camping festivalier (il me semble qu’on né peut pas rentrer de l’alcool sur le camping).
— Le prix de la nourriture (difficile de manger pour moins de 8 euros et encore)
— La bière: heineken ou despe que beaucoup soupçonne d’être coupée à l’eau.
— L’ambiance dans les concerts que je trouve moins chaleureuse que dans d’autres festivals (sorry :().
Pour résumer, les Solidays c’est une machine qui fonctionne, très bien organisée et pour une bonne cause, une bonne prog, plein de choses à faire sur le festival, mais encore trop sécuritaire et il y a un effort à faire sur la qualité des boissons et sur les prix de la nourriture pour décrocher la dernière étoile (mais oui c’est vrai que c’est Paris …).

Une programmation vraiment bien, un accueil chaleureux et une sensibilisation à des maladies qui font encore des victimes: le festival Solidays est vraiment top et j’y reviendrai l’année prochaine

Une ambiance au rendez-​vous, de la musique à gogo, un esprit au top et une organisation parfaite!
Pourquoi ais-​je attendu autant d’années pour y aller?

Rien que parce que j’ai pu y avoir les Kills et Skip the Use, je peux dire que j’ai adoré les Solidays.
Dommage, pour cette édition il pleuvait des cordes.
L’espace est immense (trop immense), de quoi se promener et découvrir les artistes.
J’espère pouvoir y assister de nouveau mais sans la pluie cette fois !

Depuis le temps que je rêvais d’aller à un festival, c’est fait!
Mes goûts musicaux tendant largement vers le pop rock, j’étais à la base plus tentée par rock en seine, mais je n’ai pas été déçue, bien au contraire!
Déjà, au programme: beau temps (ça aide!) et puis bonne surprise, l’hippodrome est grand, très grand et laisse donc la possibilité à chacun de pouvoir s’étaler en étoile dans l’herbe, bref de né pas être collés les uns aux autres et ça c’est vraiment un plus!
Sinon, je dois dire que j’ai plus eu l’impression d’aller à une fête foraine musicale qu’à un grand concert!
Et oui. les stands de nourriture, de bière, de saut à l’élastique (gratuit), de jeux à côté des scènes m’ont occupés un certain temps:)
Mais c’est justement ce que j’ai aimé: pouvoir écouter cold war kids, ou aaron tout en dégustant une barquette de frites et une bonne bière fraîche ou encore en sautant à l’élastique c’est ce que j’appelle le paradis!
Allez y avec un bon groupe d’amis, c’est l’éclate assurée!
Tout ça pour seulement 25 euros (
) quand on sait que certains concerts durent 2heures et coûtent 50 euros… et puis j’oubliais l principal: c’est pour la bonne cause.

Je suis allée pour la première fois à Solidays l’année dernière et je dois dire que ce fut une bonne surprise.
Pour 39 euros (enfin 39 euros pour ceux qui ont la bonne idée de prendre les billets rapidement), 3 jours de concerts avec une programmation plutôt intéressante.
Pour ma part, celle de l’année dernière me convenait assez bien: Poni Hoax, John and Jehn, Metronomy, Hugh Coltman, Yuksek…
C’est bien organisé et malgré la chaleur infernale sous les chapiteaux, j’y ai passé de très agréables journées, et soirées.
Je renouvellerai probablement l’expérience cette année.

Solidays n’est pas un festival de musique rock comme on les aime… mais c’est pour la bonne cause. Organisés par Solidarité Sida, les Solidays accueillent chaque année près de 150 artistes sur 3 jours. L’occasion d’assister à des concerts, essentiellement des artistes français, en plein air, début juillet.
Les stands proposent cuisine du monde et de nombreuses animations sensibilisent les visiteurs au sida.
La première année, j’y suis allée avec un ami anglais. C’était sympa. Je lui ai fait découvrir le «rock» made in France avec Dionysos par exemple, et lui m’a présenté quelques groupes anglo-​saxons.
Depuis, j’y retourne chaque année. Avec des amis ou même seule, la plupart de mes potes étant réfractaires à ce festival. Les premières années, la bière servie était sans alcool. Désormais, il s’agit bien de belle blondes à 4 degrés. Là bas, j’y ai vu: The Gossip, Lauren Hill, Joey Starr, Dionysos, Mc Solaar (oui oui !), les Cowboys fringants, Superbus… Sympa et surtout pour la bonne cause !

Malgré la proximité du festival, j’y suis allée pour la première fois que l’an dernier.
Ma moitié m’avait un accès gratuit pour aller voir une amie qui jouait pour le tremplin RATP.
Le festival est très bien organisé: distribution d’eau et de lait gratuite, stands pour tout, mais je trouve que les scènes sont trop rapprochées les unes des autres, limite on entend les 2 groupes…
La programmation est pour moi rarement intéressante, même si cette année je me tâte quand même à y aller: Kasabian, M, Archive, Hocus Pocus, Izia…