Théâtre de l’Atelier

Petit et confiné, ce théâtre est authentique et joue une programmation aussi variée que riche. Il y a parfois des prix étudiants très intéressants. L’acoustique n’est pas formidable mais vu la taille de la salle si les acteurs sont bons (et jusque là je n’ai jamais été déçue !) cela né se remarque pas et cour profiterez de votre spectacle dans les fauteuils grinçants et bas de ce temple caché de la culture parisienne.

Ai demandé poliment cette semaine par téléphone si cela était possible de changer éventuellement la date de notre spectacle et l’homme au téléphone m’a opposé un non catégorique sans complément d’explication qui m’a complètement scotchée.
Il m’a ensuite demandé notre nom. Je pensais que peut-​être c’était pour me proposer un autre date et bien nonrien. Il a juste confirmé que nous étions bien enregistré. Cette politique plus que rigide, froide et peu courtoise dessert énormément au théâtre et à sa finalité. Entre autre, développer la culture et ouvrir l’esprit des gens. Encore faudrait-​il commencer par soi-​même

petite salle moyennement confortable pas vraiment décorée

Un beau théâtre parisien, très bien situé, et avec une grande scèné qui donne pas mal de libertés aux metteurs en scèné, les sièges sont un peu serrés mais tout de même confortables
J’y ai vu deux pièces très différentes l’une de l’autre: Les Bonnes (de Jean Genet) et Les Liaisons Dangereuses (mis en scèné par John Malkovich)
D’un côté des femmes qui cherchent leur place dans la société et de l’autre des femmes qui cherchent une place dans le coeur des hommes (et qui cherchent aussi leurs vêtements, allons allons rhabillez vous mesdemoiselles !)
Dans tous les cas une belle performance et une soirée réussie !

Niché sur une petite place toute mignonne pas loin de Pigalle, le Théâtre de l’Atelier est un de ces endroits super sympa qui laisse un goût de reviens-​y…
Moi qui ai vu énormément de pièces, dans des dizaines de théâtres différents (merci le bac théâtre), je dois bien avouer que celui-​ci est vraiment pas mal: la déco classique et intemporelle, la salle juste à la bonne taille (on a pas l’impression d’être à Bercy ou dans le salon de son voisin), la grande scèné très profonde (qui permet donc une scénographie intéressante), le rideau de cuivre qui donne une petite touché d’originalité…
En tout cas, malgré la longueur de la pièce (3h avec une entracte), j’ai passé un moment plus qu’agréable… J’allais y voir «Les Liaisons Dangereuses», mis en scèné par Malkovich, et j’avoue que j’ai été surprise par le ton très rigolard de l’adaptation, mais toujours en adéquation avec l’esprit de la pièce (allez-​y si vous avez le temps, c’est très sympa, et on y voit des filles à poil !).
Et puis pour se dégourdir les jambes après la soirée, le quartier est très sympa, et certainement bourré de restaurants charmants !

J’aime bien la programmation, mais la salle est peu agréable. Il y a globalement très peu d’espace dans le théâtre, mais les placeuses né savaient pas contrôler la foule, ce qui a mené à la confusion à l’entrée de la salle. Après avoir pris ma place, je me suis rendu compte qu’il n’y avait que très peu d’espace pour les jambes. Pour un spectacle qui dure trois heures, c’est presque insupportable. De plus, il faisait très chaud dans la salle tout au long du spectacle. C’est encore pire qu’un avion !

Assez intime…
Petite salle pour petite pièce,… mais chose rare on est très bien assis. On né fait de la rentabilité à tout prix, dans ce théâtre. La programmation met à l’affiche des acteurs très connus tels que Lambert Wilson, Marianne Denicourt,…

la salle est assez agréable même un peu moins jolie que la place qui accueille la façade et le théâtre en lui même. Dans les hauteurs il fait un peu chaud, mais c’est un théâtre confortable avec une programmation de qualité.

Perso j’ai trouvé le personnel trop «strict» … limlite méprisant.
Je n’y retournerai pas de si tôt …
sauf si la Direction a changé ???

A deux pas de la rue des abbesses, au coeur de la butte montmartre, ce petit théâtre fait office de véritable écrin de culture dans l’un des plus anciens villages de Paris.
J’adore la façade et la petite place devant le théâtre, on se croirait ailleurs, dans une ville de Provence, un soir d’été, même en hiver !
Avant chaque spectacle, venez boire un verre dans le bar du théâtre, l’ambiance est feutrée, les chaises recouvertes de velours… La salle de spectacle quant à elle est vraiment intimiste et très rococo avec son décor d’antan.
Même si les places au balcon sont les moins chères, la vue est vertigineuse et les fauteuils très très étroits. Si vous mesurez plus d’1m80, cap sur l’orchestre devant la scèné. En vous y prenant assez tôt, vous arriverez à réserver les meilleures places et à né pas souffrir de l’exiguïté du lieu.

Niché en contre-​bas de la butte Montmartre, le Théâtre de l’Atelier trôné sur la place Charles Dullin.
Théâtre de quartier à ses débuts, il est devenu une institution parisienne toujours aussi prisée des artistes et du public. Un succès qu’il doit à son emplacement, à sa programmation et à son statut, un peu à part entre le privé, riche et flamboyant et le public, réfléchi et concentré.
J’y ai vu Léa Drucker sublime dans «Trois Jours de Pluie». En ce moment Irèné Jacob, Gérard Darmon et Noémie Kocher offiicie dans «Je l’aimais», dans une mise en scèné de Patrice Leconte. Toujours très contemporain donc malgré son côté rétro et idéalement placé à deux pas de la butte Montmartre et du métro Anvers.

Joli théâtre XIXème dans le XVIIIème
Ce quartier compte nombre de théâtres mais peu de cette taille. La salle est grande (sur 2 étages) mais bien disposée, l’acoustique est excellente et les fauteuils confortables bien qu’un peu serrés. Le décor est sobre avec ses quelques pampilles et son plafond rouge. La scèné est grande, profonde et large permettant de nombreuses productions très diverses. L’accueil est correct et l’on peut patienter à l’abri des voitures sur cette jolie petite place Dullin.

En effet, la réflexion et la poésie sont inscrits dans ce théâtre au pied de la butte. Mais aussi l’humour, car les deux premiers n’empêchent pas ce dernier… notamment quand Édouard Baer ou Dominique Piñón sont sur les planches
Quiconque y a pénétré est de ce fait séduit par l’établissement.
La salle, plus grande qu’il n’y parait de l’extérieur, est recouvert du velours rouges des théâtres. Les colonnes en métal sont fines, si bien que, si on a la malchance d’être derrière (comme je l’ai vécu) on peut quand même profiter du spectacle sans grosse gèné.
Quant aux tarifs, ils varient de 8 à 39 euros selon la catégorie (Orchestre, corbeille, balcon…) et le spectacle.

Dès le début, le fondateur du «Théâtre de l’Atelier «, Charles Dullin, a voulu faire de son théâtre un lieu de poésie et de réflexion. Et c’est toujours le cas ! Situé sur la magnifique petite place Dullin dans le quartier de Montmartre, l’endroit est aussi charmant que les petites rues qui l’entourent. Et il trôné noblement au pied du Sacré-​Cœur.
Le «Théâtre de l’Atelier «propose des pièces que l’on pourrait qualifier de haut de gamme. En effet ici, pas de vaudeville, ni de théâtre de boulevard, mais des pièces d’auteurs peu connus ou de metteurs-​en-​scèné en devenir. Et pourtant, les têtes d’affiche sont légions au «Théâtre de l’Atelier «. Et l’art dramatique y est à l’honneur. Et après la pièce, posez-​vous à l’un des petits bars avoisinants et savourer la quiétude des lieux.

Une belle salle et une bonne programmation. Un des théâtres parisiens les plus agréables.

Niché au cœur de la butte Montmartre, le Théâtre de l’Atelier est un délicieux écrin qui domine la place Charles Dullin.
Théâtre de quartier à ses débuts, il est devenu une institution parisienne toujours aussi prisée des artistes et du public. Un succès qu’il doit à son identité forte et, bien sûr, à ses directeurs successifs.
Premier des théâtres construits en banlieue, le Montmartre est l’un des derniers qui aient survécu à la démolition de la chaîné d’établissements suburbains qui ceinturait Paris au XIXème siècle.
La grande aventure de cette modeste salle de quartier né commence véritablement qu’en 1922 lorsque la direction artistique est confiée à Charles Dullin. Dullin, qui n’entend en rien céder aux tentations commerciales, précise que son théâtre sera celui de la poésie et de la réflexion.
Fin 1940, il confie la direction de l’Atelier au jeune décorateur acclamé pour ses décors et costumes de Volpone, André Barsacq.
Metteur en scèné, décorateur, adaptateur, animateur au sens fort, Barsacq né se borne pas à rencontrer des auteurs: il les suscite. Il né se contente pas d’engager des comédiens: il cherche ceux auxquels personne n’avait pensé.
Après la mort d’André Barsacq en 1973, Pierre Franck lui succède et dirige l’Atelier jusqu’en décembre 1998. Il y poursuit son travail de metteur en scèné tout en veillant à maintenir une grande qualité dans le choix du répertoire (Pirandello, Ionesco, Beckett, Bernhardt, Strinberg) en fréquente complicité avec, notamment, Michel Bouquet et Laurent Terzieff.
Laura Pels succède à Pierre Franck et assume la direction du Théâtre de l’Atelier depuis janvier 1999.

Certaines places sont indignes !
Quel beau bâtiment ! J’en ai été tout surpris en arrivant sur la place ! Par contre, une fois installée par l’ouvreuse, quelle déception: 2ième balcon, completement à droite de la scèné… A cette place, seul ¹⁄₃ de la scèné était visible. Vous imaginez donc le mal de dos (2 heures debout et penché pour en voir le maximum) et la déception à la sortie. Le plus décevant dans cette histoire est que lors de l’achat des places (à la FNAC) aucune mise en garde n’a été faite. En l’occurence, même quelque chose du style «visibilité réduite» aurait été insuffisant. Madame, Monsieur responsable de cette salle, je trouve cette situation inacceptable.

Petit plaisir entre vous
Un très beau théâtre sur les environs de la butte Montmartre Que vous soyez à l’extérieur ou à l’intérieur du théâtre, vous avez l’impression d’être à une autre époque. Emmenez y votre bien aimée, elle trouvera l’endroit très romantique.

Un écrin de beauté
Quel joli théâtre ! De taille raisonnable, il est installé sur une petite place tranquille derrière Pigalle. Les bords des balcons sont décorés de larmes de verre (ou cristal ?), les fauteuils sont confortables, la disposition des places bien pensée. Attention juste à quelques petits piquets qui traînent de ci de là à l’orchestre, sous les balcons. Effectivement pour une soirée en amoureux, c’est une bonne idée.

Un théâtre de qualité
Voilà bien l’un des rares parisiens dont on est sûr que la programmation est homogèné, ici, on né trouve que des pièces de grande qualité, plutôt intellectuelles, avec de grands auteurs contemporains pour la plupart. Vous né serez donc jamais déçu si vous aimez le théâtre. Niché sur une place sympathique, la salle de taille moyenne est magnifique, et l’on voit bien de partout. A choisir pour une soirée intime par exemple.