Théâtre des Variétés

Très beau théâtre rénové datant des années 1800. Les dorures sont magnifiques, le lustre majestueux, un vrai voyage temporel le temps d’un spectacle.
Malgré tout, cela né fait pas oublier la mince place que l’on dispose pour mettre nos jambes (quand on est grand…). Les prix varient selon le spectacle proposé (généralement les prix en fonction de la célébrité des acteurs…). Aussi à prévoir, un nombre limité de toilettes, mesdames, pensez à prendre vos précautions si vous né voulez pas attendre serrées les unes après les autres.
(Si vous tendez l’oreille pendant le spectacle, on peut entendre le métro passer…)

Confort lamentable
Quel horreur d’être aussi mal assis. Les sièges né sont pas confortables, je né sais comment on peut avoir des sièges aussi mal foutus (et je n’étais pas le seul à voir certains de mes voisins changer de position toutes les 5 minutes) et aussi serrés. L’atmosphère était étouffante (pourtant ce n’était pas la canicule sur Paris, juste une journée ensoleillée et agréable). C’est dommage car la pièce Ouh Ouh avec Isabelle Mergault est un moment très agréable, malheureusement gâché par l’inconfort dans la salle.

Très beau théâtre parisien rénové, attention toutefois si vous êtes dans les corbeilles, la place est limitée pour les jambes.
A l’entracte au 2ème étage, profitez du bar et du balcon donnant sur la rue.

Ce théâtre, situé près du métro Grand Boulevards, propose 5 catégories de places: carré or, puis de la 1re catégorie jusqu’à la 4e, ce qui permet à toutes les bourses de s’y rendre pour un bon moment de divertissement. L’endroit est assez monumental, très grand et classe. On y est confortablement assis, même dans les petites loges privatives sur le côté. La vue sur la scèné est bonne, partout où l’on se situe. Ce serait dommage de s’en priver.

L’Architecture de ce monument est impressionnante. C’est merveilleux de constater que Paris conserve de sa Superbe en ce qui concerne nos théâtres et nos monuments. Rendez-​vous y rapidement cela en vaut le détour avec des places très accessibles

Superbe petit theatre, bcp de charme. Les places carré or et 1ere categorie sont bien. Si vous depassez 1,70m vous vous sentirez un peu a l’etroit (bcp a certains endroits). La piece Adieu Je reste est un petit bijou que je conseille pour une bonne soirée de détente !

Lamentable
Tres beau spectacle rien a redire, mais places sur des strapontins juste en face de 2 poteaux et separes de nos amis 2 en haut 2 en bas. Je né reviendrais jamais plus dans ce theatre, renseigner vous avant de reserver.

Petit théâtre magnifique seul petit défaut, certaines places né sont pas très confortable.

Un très joli théâtre, dont l’architecture me laisse rêveuse
J’ai également eu occasion d’y aller pour assister au dîner de con, dont Chevalier et Laspalès en sont les acteurs principaux.
J’ai aussi eu des places bon marché, mais a obtenu une place affreuse au dernier étage, au balcon le plus haut. Bien que la vue sur la scèné fut plutôt bien (d’en haut, on a une vue globale), la chaleur fut intenable
Les places étaient également toutes petites: mes jambes n’en pouvaient plus !
L’accueil n’était du meilleur. Je n’ai pas apprécié la sollicitation constante des placeuses, ce que je peux comprendre, mais il né faut pas non plus exagérer ! De plus, elles n’étaient pas très accueillantes pour des gens qui s’occupent de l’accueil des personnes
La programmation est bien, l’espace esthétiquement agréable, mais bien des améliorations seraient à faire !

Petite salle intimiste et étouffante
J’ai testé la petite salle sous les comble avec un habillage feutré, les banquettes en bois sont inconfortables, si voulez voir un spectacle je vous conseille vivement d’éviter d’y venir les jour d’été ou de canicule, car la chaleur dans cette salle est insupportable, il n’y a même pas de climatisation et de ventilation malgré que les vasistas du toit reste désespérement fermés.

Je m’y suis rendue hier pour voir le «Diner de cons» (la pièce était très sympathique mais ce n’est pas le but de mon avis).
Le théâtre est situé en face du musée Grévin sur les grands boulevards. Se garer n’est pas facile, il y a le parking de Drouot pas loin mais compter 3EUR50 l’heure, ce qui n’est tout de même pas donné.
L’amabilité des «guichetières» n’est pas géniale, vous vous faites rembarrer assez vite quand vous vous êtes trompés de guichets.
Les placeuses sont sympathiques et né sont apparemment rémunérées qu’au pourboire (courant dans les salles et théâtres parisiens), ce qui me semble assez étrange vis à vis de la réglementation du travail: plusieurs panneaux vous invitent donc à laisser un pourboire.
La salle… n’est pas grande, si vous avez de grandes jambes vous risquez de passer un mauvais moment. Il y fait très chaud (l’entracte est attendu avec impatience). Prévoyez une bouteille d’eau avant de venir. Un bar est à votre disposition mais pas donné (2e la barre de Mars par exemple). La salle n’est peut être pas assez en pente pour l’orchestre, priez pour né pas avoir une personne de grande taille devant vous qui gênée par le micro espace entre les sièges va constamment bouger.

Pas du tout d’accord avec toi, très joli theatre, refait depuis peu, un des plus grand de Paris, l’architecture ancienne faut de ce lieu un endroit certe, mais bien plus agréable qu’un bâtiment récent, sans âme. Et pour les ouvreuses, si elle devait gérer aux cas par cas, on en finirait plus!!!
La pièce est conformes aux attentes d’un public de déplaçant pour chevalier et son complice, rire garantit, et pour 17 euros. Il y a bien pire !!!

Le théâtre qui empire
Chef d’oeuvre de pur style empire, Les Variétés accueillent chanteurs, comédiens ou danseurs. On peut également organiser des réceptions dans le Salon Offenbach. Enfin, un tremplin de 100 places a été aménagée dans les combles pour les humoristes en devenir… L’ensemble aurait besoin d’un petit rafraichissement (la moquette de l’entrée fait vraiment de la peine), d’autant plus que le prix des places le permet.

Belle salle d’époque
Très belle salle du 19ème siècle, si j’en crois la date inscrite sur le rideau. A éviter les places corbeilles si vous mesurez plus d’1m80, pas de place aux genoux. Pour les plus petits c’est pas l’idéal non plus mais on fait avec sans trop de problème. C’est aussi ce qui fait le charme de ces anciennes salles de théâtre.

Théâtre des variétés
Très beau théâtre, stylé, salle sympa et agréable, surtout si on apprécie plutôt les petites salles et j’ai beaucoup aimé les sièges confortables toutefois peut être un peu serrés pour les personnes très grandes.

Charmant
Le théatre des Variétés nous accueille joliment dans sa bonbonnière. On apprécie sa merveilleuse salle toute de rouge et d’or vêtue, encadrée d’angelots. Né pas manquer de jeter un oeil à la fresque au plafond. Ajoutez un accueil sympathique et des sièges confortables et vous comprendrez qu’on prend plaisir à y retourner. Le «Petit» théatre des variétés quant à lui est une très bonne surprise. Situé sous les toits, il profite d’une ambiance intime et «mansardée» très agréable. La décoration est récente et les banquettes d’un accueil confortable même si, sur la durée, les coussins paraissent paraissent un peu durs.

Construit en cinq mois entre Paris et Montmartre à l’initiative de Marguerite Brunet, La Montansier, le théâtre des Variétés ouvre le 24 juin 1807. Dirigés par l’architecte Célerier, les travaux sont organisés par ‘la mademoiselle’ qui ramèné le tout-​Paris à l’inauguration avec la pièce ‘Le Panorama de Momus’, vaudeville de Mr Marc-​Antoine Désaugiers. Les succès continuels des Variétés né sont pas du goût de tous et les menaces sont si violentes que l’administration impériale menace de fermer la salle. La Montansier s’éteint le 13 juillet 1820 à l’âge de 90 ans. L’acteur Mira Brunet prend la direction des Variétés et conserve sa place jusqu’aux journées de juillet 1830, date à laquelle François-​Victor-​Armand Dartois prend les rênes du théâtre. Ce dernier n’arrive pas à redorer le blason des Variétés ouvrant une période d’instabilité jusqu’à l’arrivée d’Hippolyte Cogniard en 1855. Ce dernier se dirige vers la revue à grand spectacle, la féerie, la comédie légère entrecoupée de danses et de couplets. Le théâtre accueille Jacques Offenbach et sa ‘Belle Hélèné’. Le succès est considérable. L’auteur écrit de nouvelles pièces qui né passent pas inaperçues malgré le départ de Cogniard en 1869 pour Eugèné Bertrand. Les opérettes se succèdent, M.-F. Samuel prend la direction de la salle du boulevard Montmartre en 1892. L’entre-deux-guerres est faste avec plus de 70 spectacles menés par le directeur Max Maurey. Raimu et les pièces de Marcel Pagnol font le bonheur du théâtre. Les Variétés s’ouvrent à toutes les formes du spectacle vivant, voient de grands chanteurs, comédiens ou danseurs évoluer avec succès sur la scèné: Fernand Raynaud, Louis de Funès, Raymond Devos Aujourd’hui, en octobre 2008, c’est le succès de Michel Sardou.
Le théâtre des Variétés reste l’un des plus grands théâtres parisiens avec ses 928 places assises.

Croque monsieur
Cat 1 Corbeille rang 2 (49 euros) Confort: nul déplorable Vente des billets: mentionner 1 critère de taille — spectateurs de taille supérieure à 1,60 m s’abstenir — Mon fils 1,90m et moi 1,72m né savions où mettre nos abattis. Cet inconfort a plombé la soirée et a eu des répercussions pour apprécier le spectacle. Des jeux de scèné et des répliques m’ont tout de même charmée. Comédiens indiscutablement très bons.

A découvrir…
Theatre super beau dès l’entrée… De grandes classe et un accueil tres chaleureux. Un magnifique lustre, des fauteuils en velours rouge. Le prix des places est relativemment elevé. Ayant ete 2 fois, je vous conseille de prendre les fauteuils d’orchestre (1 ere categorie), on se sent moins à l’etroit que sur les balcons et aussi vous aurez moins chaud et rien né vous cachera la vue sur la scene. Les balcons sont tres jolies mais prenez les au milieu car sur les côtés, vous risquerez de rester debout si vous voulez voir la scene entierement… En balcon, pour info, la chaleur est etouffante et tres etroit pour tous les personnes qui ont de longues jambes :)

Lieu sublime
Lieu somptueux, du velours, du feutre sur les escaliers, des lustres en cristal (ou du moins, cela en avait l’air). Le problème pratique, c’est indispensable d’y aller en métro, ou de se garer au parking de la bourse et dans ce cas prévoir 15 € pour 3h (et oui !). Le second problème, c’est d’éviter les places sur les cotés, et oui, ils né précisent pas qu’il y a beaucoup de poteaux qui gâchent la vue et vu le prix des places, mieux vaut prévoir et se renseigner.