Wada

Quelle déception ce truc…
La plus belle arnaque en restauration à laquelle j’ai eu affaire en 2015. Je crois que ce restaurant né tient plus ses promesses d’antan.
Les menus sont imposés, et à plus de 40 euros chaque, d’accord, on s’attends à une certaine exigence. Il y a bien un menu à 28 euros, mais plutôt réservé aux petites faims.
Malheureusement, nous avons pu constater que le poisson était découpé en simple rectangle, sans respect du produit, sans soin pour la présentation, comme si le chef était fatigué de faire des sushis.
C’est dommage car ça commençait bien, le menu est alléchant et suggère des surprises.
Rien à dire sur les entrées par contre, qui étaient supers réussies.

Un petit bijou de restaurant japonais! Il n a pas fait beaucoup d effort de décoration intérieure, quelques petites tables carrées et une vague musique, mais que c est bon! J ai vécu des années au Japon et j y retrouve l âme des meilleurs petits restaurants de Tokyo, sans chichis, avec un travail précis sur les produits.

Assortiment sushi lamentable: uniquement 3 variétés (thon maguro simple, saumon et daurade), ridiculement petit (un tier d’un vrai sushi japonais du japon) et complètement fade (pas du tout de wasabi). Bref, très décevant!
Le serveur est peu avenant, un vrai ours des cavernes. Et en plus, c’est vraiment cher. Il faut compter 46 euros pour le gros assortiment sushi. Ce prix est normal mais pour des adresses de niveau nettement supérieur (isami, tzukizi par exemple). Donc je déconseille fortement!

J’ai eu la chance d’habiter a quelques portes plus haut dans la rue ou Wadda se trouve. Inutile de dire que diner chez Wadda est rapidement devenu une habitude. Le menu n’est pas le plus diverse mais la qualite des plats est memorable. Rarement deguste de tels sushi depuis! Encore merci Hideo pour ces annees succulentes a Paris. J’espere que notre orchidee se porte bien? Olivier

A mille lieux des restaurants «japonais» classiques !
Bienvenu dans un endroit intimiste avec une musique zen où le maître des lieux peut paraître froid au premier abord mais une fois la conversation engagée se révèle passionnant ! Les saveurs des plats émerveillent vos papilles, le poisson ainsi que le tofu fondent dans la bouche et le thé vert en poudre provenant d’une petite coopérative japonaise est tout simplement fabuleux. N’hésitez surtout pas à demander des explications au patron sur les plats, il vous transportera au Japon. Si vous choisissez les sushi attendez-​vous à un cours pour les manger à la façons Samouraï et pas le droit à l’erreur ! Le prix peut paraître élevé mais l’expérience en vaut la peine et le maître des lieux se fera un plaisir de vous offrir un saké à mille lieux de ceux qu’on vous propose habituellement ! A découvrir absolument !

Paix sur la terre
Ce n’est pas «sans doute un authentique japonais», mais un vrai. Il est arrivé ici après une longue et incroyable vie en suivant sa foi et sa fidélité. Il a plus de 70 ans et n’est là que pour «montrer comment il faut faire», ce qu’il fait aussi en discutant volontiers. Wada veut dire la paix sur la terre. Mission accomplie: en seulement un diner chez lui, on en ressort complètement reposé ! Tout est très très frais, de première qualité avec des légumes importés du Japon complètement inconnus ici et surprenant.

Une envie subite de vie sociale et me voilà catapultée au Japon, à 3 minutes chrono de l’arc de triomphe parisien. J’ai enfin perdue ma virginité du vrai chef japonais. Et BIM dans ton gosier. Fraîcheur des produits et originalité des mets proposés, bonjour.
Seul, voûté tout contre son bar, il nous attend. Son unique grosse tablée de la soirée. C’est petit, c’est étriqué, l’homme doit tout faire tout seul, alors il nous prie d’enchaîner. Un menu pour huit personnes, peu de temps pour se décider. Pas grave, le choix est minime puisque l’homme fait selon l’envie et les arrivages de la matinée. Pas grave, la bourse parle à la place de la bouche. Ou pas.
Chacun a le droit à ses deux entrées imposées par le chef qui sait parfaitement ce qu’il fait. Parce qu’elles sont très bonnes, les deux entrées imposées. Sashimis et petits légumes au sésame. Miam.
La plupart de mes compères optent pour un menu sushi à 28 euros, accompagné d’une démonstration de comment de pourquoi un sushi ça devrait être savouré comme ceci et pas comme cela: «PAS DE SAUCE ! JUSTE POISSON CRU SINON C’EST FOUTU ! AU JAPON PERSONNE SORTIE ! SUSHI RETOURNE DANS LA SAUCE SOJA, POISSON CRU CONTRE LA LANGUE, PAS LE RIZ ! 10 ANS D’ENTRAÎNEMENT POUR ARRIVER À ÇÀ». Mon amie chinoise approuve, c’est la grosse pression, les premiers sushis finissent en bouillie à cause de mains tremblotantes et la pression augmente. Hum… l’homme est investi. Vraiment investi. Presque missionnaire.
J’opterai pour le poisson du jour cuit, c’est chéro, mais ce soir, c’est la fête, je suis au chômage, c’est à fêter. Fête !
En voyant mon petit poisson blanc tout con arriver, je fais un peu la moue de la pauvresse qui vient d’investir dans un petit poisson blanc tout con. Mais oui, mais non. Juste poché dans du saké de qualité, le petit poisson blanc tout con défonce. Le compagnon rafle la mise avec son anguille laquée, elle fait songer à des côtelettes de porc au barbecue, mais version… anguille laquée. Voyez ?
Nos deux poissons sont accompagnés de petits légumes non identifiables — j’aime vivre dangereusement– et d’un vrai bol de riz collant. Je veux dire… vous vous êtes jamais demandé pourquoi on n’avait jamais de riz collant dans les restaurants japonais? Moi si. Je vous jure que moi, si.
Pour finir, soupe miso de ce nom (pas de l’instantée, nah mais oh), tournée du meilleur thé jamais dégusté de ma vie (au sésame, encore) et qui me fait me lapider quand je songe à l’affront que moi, caféolique notoire, ai un jour proféré à l’encontre de l’or vert: «mais… c’est de l’eau chaude un peu goûtue… «. Du dessert liquide. Et puis une petite glacé au thé vert faite maison, quand même.
Okay… OKAY, je né m’attendais pas à faire autant fumer la carte bleue mais c’était justifié, que diable. Et le banquier n’appellera pas avant mardi. Et puis le compagnon a pris la sage décision de payer pour Bibi. Tout. Va. bien.

un super japonais.
un peu cher mais c’est un vrai japonais. pas un de ses nombreux restaurant chinois dissimulés en japonais avec des menus M7 et j’en passé.
ici le patron va chercher lui meme ses produits a rungis le matin et donc c’est suivant les arrivage.
le tofu est magique, idem pour le the matcha.
au niveau des plats c’est vraiment tres bien. l’anguille est une des meilleures jamais mangés (meme au japon!)!!!
une tres belle adresse!
aligato!!!

Un excellent japonais dans le 17eme. L’anguille y est divine et le choix de saké de qualité…

Le meilleur japonais de ma vie!
Emerveillée par le charme exotique de ce petit restaurant dont le propriétaire et cuisinier vous accueille dans son salon, sans pareil. La carte est écrite à la main sur du papier japonais et chaque pièce de la vaisselle est finement ornée. Ces subtilités vous introduisent à un festival de sensations extra-​ordinaires et à faire du geste un art. Ce gourmet nous a initié à la technique japonaise pour manger les sushis et boire la soupe miso, servie en fin de repas. Et, oui, c’est la tradition japonaise, loin de tous ces fast-​food chinois qui se prétendent resto japonais. Demandez du saké, Wada vous fera goûter ses différentes bouteilles. La digestion et la nuit furent aussi douces que ce saké et cette soirée inoubliable.

Cher… mais ça les vaut
A 1000 lieues des «usines à Sushi» qui fleurissent partout en France, voilà un véritable restaurant japonais, avec tout ce que cela comporte comme finesse et comme originalité! C’est bon, ultra frais, très parfumé, rien à redire Pour cette première visite, j’avais renoncé à mon traditionnel «poisson cru», et tenté le menu axé autour de l’anguille cuite au feu de bois… un délice! Les entrées (poisson cru en sauce et légumes crus croquants à souhait) étaient également parfaites Voilà… bon, l’addition était salée (62 € avec un saké), mais bon, il faut savoir ce que l’on a envie de manger!

Oubliez ces vrais faux japonais dirigés par des restaurateurs chinois et allez donc chez Wada pour déguster une cuisine traditionnelle et fraiche. Spécialiste des sushi, maki et sashimi, le maître des lieux est un vrai japonais et il faut savoir l’amadouer !!! J’y vais régulièrement depuis cinq ou six ans… je n’ai jamais été déçu.
il propose également un excellent menu végétarien (pour ceux qui n’aiment pas le poisson cru ???)
Le thé est également excellent (bio).
La décoration est sans intérêt, sauf un magnifique kimono pendu au plafond (on se demande ce qu’il fait là…)
Attention ! le restaurant est tout petit et il vaut mieux passer un coup de téléphone à maître Hideo pour savoir s’il peut vous recevoir.

Excellent restaurant de sushi, fait par un vrai sushiman. Le sushi est découper au plus fin, le riz parfait, ce qui donne un sushi d’une rare qualité comme on en trouve peut sur Paris.
Pour ceux qui aime les maki, ceux ci s’achète au rouleau, c’est à dire que vous aurez un choix un peut plus limité, qu’ailleurs. Si vous êtes plusieurs cela peut être intéressant de varié les choix.
Le restaurant est assez petit, 20 places maximum. La décoration est simple, tournant autour de l’univers du thé. On peut d’ailleurs acheté du thé vert bio dans le restaurant.
Le patron lui même est sympathique, parle bien francais, et n’hésite pas à vous conseiller si vous n’y connaissez pas grand chose. J’ai l’impression qu’il est d’ailleurs seul à tenir le restaurant.
Par contre la qualité à un prix, le quartier y est aussi peut être pour quelques chose. Il faut compter 40 euro par personnes au minimum pour les vrai amateur de sushi. On y mange aussi un repas végétarien à base d’algues et de tofu. Le tofu est très bon avec un sauce au soja sucré.

Sans aucun doute un japonais authentique
Attention, vous pourriez être surpris ! Il né s’agit pas (que) d’un restaurant de sushis, mais bien d’un japonais typique. Les entrées ou les desserts peuvent dérouter. Je me suis régalé, mais tout le monde n’a pas semblé apprécié tous les plats. Les sushis sont très bons et meilleurs que dans les sushis lambda qui fleurissent partout, sans être au niveau des meilleurs de Paris pour autant. Non, l’intérêt de Wada, ce n’est pas tant ses sushis que le patron, vrai japonais et qui en effet, peut se révéler bavard, et l’impression d’être au japon quand on y entre. C’est aussi ces entrées déroutantes et gouteuses. Enfin, je né suis pas d’accord avec la présentation de Cityvox qui dit que l’endroit se prête aux conversations privées. En effet, les tables sont collées les unes aux autres. Quand j’y suis allé, une personne avait décidé de passer la soirée à expliquer à ses voisins (qu’elle né connaissait pas) ce qu’était la cuisine japonaise, eh bien nous en avons tous profité toute la soirée. Bref, on n’y entre pas par hasard, vu la petite rue perdue, mais on y revient avec plaisir.

Un des meilleurs restaurant japonais de la capitale. Tenu par un vrai chef Japonais, dont la sérénité nous épâté et se partage.
Un lieu convivial, avec 20 couverts au plus. Tout est délicieux, des plats de sushis aux entrées qui peuvent au premier abord sembler étranges (salades d’alges, tofu frais, etc.).
A découvrir !

L’empire des sens :-)) ou rendez-​vous au pays du Soleil Levant
Si vous souhaitez redécouvrir vos papilles, foncez chez Wada et invitez votre fiancé(e). Cette soirée sera forcément inoubliable en termes gustatifs. L’ambiance est pleine de bonnes ondes, M. Hideo Yamaguchi est un être humain incroyable et de plus, il est vraiment japonais (je tiens à vous informer que seuls 17 restaurants à Paris sur plus d’une centaine sont tenus par des Japonais; ce qui vous donne une idée de la chance que vous avez). Pour les amateurs de produits bio, sachez que le thé vert nouvelle récolte est une pure merveille. Il vous éveillera l’esprit… Ayant mangé au Japon, je peux vous assurer que vous aurez l’impression de vous retrouver à Asakusa et non à Shangaï ! Cela vous coûtera moins cher que le voyage jusqu’à Narita, alors amateurs du Japon, n’hésitez pas. Pensez à réserver car la cuisine reste très artisanale.

L’expérience de l’ailleurs
Chez Wada, on n’est plus à Paris. On n’est plus en France non plus d’ailleurs, et est-​on bien sûr d’être encore sur Terre? En japonais, le raffinement doit se dire Wada. Jamais une salade de concombres effilés né vous aura autant semblé sculptée dans un voile de verdure, jamais les sushis n’auront été si bien présentés. On se délecte et attention, les baguettes doivent reposer sur le porte-​baguettes sinon gare à vous. Le maître des lieux a mille histoire à raconter et toute une philosophie de la vie à partager. Lancez-​le sur Hiroshima, vous verrez… Bön voyage et prévoyez un parachute pour l’atterrissage du portefeuille car les prix sont à la hauteur de la qualité !