Gérard Darel

J’aime beaucoup ce qu’ils font, c’est très joli, très classe et leurs sacs sont magnifiques… Mais (et ce n’est pas qu’un petit mais) la qualité est catastrophique: j’ai acheté un pull qui au bout de deux lavages était tout détendu et immettable, je mets ça sur le compte d’un lavage raté et une machine à laver farceuse, ensuite il y a eu le sac dont les anses étaient foutues 1 an après (à 500 euros le sac c’est juste pas possible) et puis enfin le manteau dont la doublure s’est déchirée et dont les fils ce sont tirés. Malgré ces désagréments j’aurais bien mis 3 étoiles mais quand je suis allée demander au magasin ce qu’on pouvait faire pour remédier aux problèmes du sac, la vendeuse m’a prise de haut en me signifiant que je n’étais pas une cliente régulière et voulait me faire payer 50 euros pour réparer mon sac. Heureusement j’ai réussi à négocier et j’ai pu le faire réparer gratuitement mais j’ai jamais étais aussi méprisée par une vendeuse (sauf chez orange) et pourtant mes remarques sur la qualité étaient légitimes et les preuves à l’appuie.

Gérard Darel c’est la vieille marque de fringues pour bourgeoise qui a réussi son lifting, ce qui n’est pas évident dans le monde de la mode.
Il faut dire qu’ils se payent des égéries bankable: Charlotte Gainsbourg, Robin Wright et cette année la sublissime Elisa Sednaoui.
C’est sûr que quand on voit Robin Wright lovée dans un pull irlandais on a de suite envie de faire pareil!
Donc Gérard Darel c’est pour la bourgeoise moderne branchée sans en avoir l’air. Ils ont gardé leurs codes «Jolie Madame», un peu de panthère, un peu de fourrure, de belles mailles, du tweed, des pantalons impecs.
Ca reste cher, mais contrairement à d’autres enseigne on en a pour son argent et ils ont un vrai service après vente.
Il y a 2 ans on m’a offert un sac sublime, 15 jours plus tard je l’accroche à mon caddy et je perds un anneau de la anse, dé-​gou-​tée!
Et bien ils me l’ont envoyé dans leur ateliers et rendu nickel gratuitement.
C’est ça les grandes maisons!