Les Demeures du Ranquet

Un vrai régal .du cadre calme, serein et charme de l’hotel, aux mets, au service et à la sympathie de la jeune femme qui sert Nous n’avons pas été déçus, nous avons bien mangé, bien profité. Nous reviendrons Une très bonne adresse !!!

Cadre magnifique, service aux petits soins (++ pour la jeune femme). Quant aux mets… Très bons, très fins sans parler du plateau de fromages!!!

Un restaurant au cadre très agréable, en pleine nature.
La cuisine manqué de générosité et les portions sont petites. D’un point de vue gustatif, certains plats sont bons, en particulier certaines viandes servies avec de délicieuses sauces. Pour ce qui est des poissons, c’est nettement moins bon. Le plateau de fromage est décevant et les desserts peuvent être améliorés. Globalement, c’est cher pour ce que c’est. Annoncé comme un bon restaurant gastronomique, la mauvaise surprise est là. J’ai séjourné 3 jours dans l’hotel dont les chambres sont agréables mais difficilement accessibles pour une femme qui a des talons ou pour des personnes un peu agées (cote très raide).
Les petits déjeuners sont très chers (un morceau de pain, 2 mini viénoiseries, un fond de jus d’orange, un yaourt et un café).

Restaurant situé au coeur d’un superbe cadre de verdure, calme et sérénité sont les maitres mots de cet endroit.
Le restaurant est magnifique et les saveurs des menus exceptionnelles.
A né pas manquer si vous passez dans la région !
NB: les coordonnées GPS sont celle de l’héliport, l’hotel/restaurant se situant à environ 800m

In der Nähe des Tors der Cevennen gelegenes Hotel Les Demeures du Ranquet mit 1* Restaurant. Wie so oft irrt der Michelin mit seinem roten Schaukelstuhl, das Hotel (eine Reihe Bungalows mit je zwei Zimmern in einem schönen Park verteilt liegt doch dicht an einer recht befahrenen Strasse.
Hungrig kamen wir gegen 19:45 ins Restaurant, zu diesem Zeitpunkt waren erst drei Tische besetzt, trotzdem wurden wir sofort zum schlechtesten Tisch des Restaurants geführt in einer Ecke gelegen, ohne Ausblick in den schönen Garten.
Auf die Nachfrage nach einem anderen Tisch wurden wir beschieden alle anderen Tische seien bereits reserviert. (Wir hatten zwei Monate vor Ankunft reserviert, aber natürlich nicht einen bestimmten Tisch, was in den meisten Restaurants auch nicht geht) Also sind wir stehen geblieben bis der Patron kam. Der erklärte alle seine Tische seien gleich schön (kein kluges Argument, denn wir haben sofort gesagt, dass wir dann ja auch diesen Tisch dort drüben haben könnten, also bekamen wir den auch ;-)) Aber natürlich für den Gast kein guter Beginn eines schönen Abends.
Dann kam die Karte auf der als Erstes das Menu Les Yeux Fermé stand.
Auf Nachfrage was dieses Menu enthält kam die Antwort es hieße so, weil man vorher nicht wisse was serviert würde, es schmecke aber allen Gästen. Mein Hinweis auf eventuell bestehende Allergien wurde mit dem Verweis auf die Möglichkeit à la Carte zu essen beantwortet, im übrigen würde das so seit über 25 Jahren gehandhabt und wenn man Änderungen zuließe, sei man nur noch mit Änderungen am Menu beschäftigt.
Also à la Carte: Foie gras (einwandfrei, aber nichts Besonderes)
Ratatouille (gut gemacht)
Pigeonneau à l’Ail (leider nur noch lauwarm, eine Spur zu roh (nicht etwa rosé, wie bestellt)
Auf Beschwerden haben wir angesichts der Wartezeit und der vorherigen Erfahrungen mit dem Chef des Hauses verzichtet.
Fazit: Nicht zu empfehlen, ein Haus in dem nicht etwa der Kunde König ist, sondern der Patron den Ton angibt.

Un coin de paradis
Voici une adresse fort ancienne déjà et pourtant méconnue sauf pour les bourgeois d’Anduze. Et pourtant le lieu est tout sauf bourgeois, enchanteur pour des amoureux en ballade comme pour des gastronomes en quête d’authenticité, et que dire alors pour les oenologues en herbe ! Je venais ici il y a vingt ans, j’y ai amené mes enfants au fur et a mesure qu’ils grandissaient, et je reviens encore, et rien n’a changé. Et si seulement rien né pouvait changer ! Pour résumer: une bastide à flanc de la colline, un jardinet avec un épiqué jardin aromatique qui alimente la cuisine, des «bungalows» dans la pinède (non, plutôt l’yeuseraie mais ce serait impropre aussi, alors disons sous les arbres), et une salle toute mignonne, aux proportions justes, aux tables faites de plaques d’ardoises vernies, et où l’ancien fait bon ménage avec des toiles contemporaines. Les Martourel, en cuisine comme en salle, sont l’âme de la maison. Une cuisine inventive, fine, qui joue avec les aliments, et qui fait s’exclamer: «qu’est-ce que vous devez vous amuser en cuisine !». Le canneloni de cèpes avec sa brochette de queue de langoustine géante et St Jacques, c’est un voyage à lui tout seul. Et ce confit d’agneau dont le jus m’est encore en mémoiré ! C’est plaisant, c’est aimable, je dirais même, c’est aimant, le service est stylé mais sans fioriture, et tout est joli ! Je garde la cave pour la fin: une carte encyclopédique où les crus né sont pas donnés, mais il y sont ! C’est assez remarquable dans ce désert gastronomique qu’est la région pour né pas prier le bon dieu, le diable et leurs saints pour que ça perdure encore, pour qu’on puisse revenir encore, et un jour même se prélasser au bord de cette piscine qui vous tend les bras et qui pour une fois né transforme pas un joli mas en plage de pacotille. Rien que du bonheur !