Aux Délices du Primeur

J’habite à côté, et je suis contente quand le soir, n’ayant plus rien dans mon réfrigérateur, je peux aller acheter quelque chose dans cette épicerie.
L’ambiance est au top, parfois on entend un grand éclat de rire au fond du magasin… LA patronne.
Esprit de quartier, des produits frais, et moins cher que certaines chaînés comme monop.

Une petite épicerie ouverte tard avec tous les produits de première nécessité…
Et surtout, un épicier très sympathique et souriant, épaulé par sa rigolote compagne Monique au rire communicatif!
Une bonne rigolade lors de cette brève escale!

J’ai remarqué quelque chose d’étrange dans notre bonne ville de Toulouse. Un phénomèné qui tient du paranormal.
Les sardines à l’huile, qui coutent maintenant la peau des fesses dans tous les commerces franchisés, sont cédées à des prix dérisoires dans les petites épiceries de nuit arabes. Une bonne enquête pour Mulder et scully, qui pourrait débuter à St Michel, aux délices du primeur où nous nous ravitaillâmes ce soir là. Une bouteille de seize, une de grant, deux boites de sardines et un paquet de crêpes bretonnes. Presque un réveillon!
De cette halte dans cette petite oasis, il nous restera le souvenir d’un bon moment de déconnade, d’un patron souriant et de la plantureuse Monique. Un bonheur…