Ils ont des sacs Barbara Rhil … Barbara. Rhil. Mon avis pourrait s’arreter là, mais bon, il vous manquerait deux, trois infos utiles ! Cette boutique est hyper sympa, bien décorée, et l’accueil est vraiment aimable. Ils proposent une belle selection de grandes marques, originales et vraiment rares à Toulouse. Donc, si vous avez le virus du shopping, là vous trouverez des pièces au top, c’est sur ! Ils ont aussi des choses moins bien, c’est clair, mais la belle majorité du magasin vaut le coup d’oeil. Pour homme: c’est vraiment topissime. Costumes, manteaux, chemises: la sélection est absolument parfaite !
Pierre P.
Rating des Ortes: 5 Toulouse
Bön alors là on commence à parler sérieux au niveau fringues, on n’est pas encore dans les boutiques des couturiers de place Saint Georges, mais on s’en approche. Cesare Nori, c’est certainement l’une des seules boutiques toulousaines spécialisée dans le cuir(oui on parle pas du cuir de chez Jules /Devred etc…). Les produits sont beaux, on retrouve les grands noms du cuir américain(Chevignon entres-autres) ainsi que leur propre ligne manufacturée en France ou Italie. Coté prix, ça commence à 300 € et termine à plus de 2k pour les manteaux genre Neo dans Matrix. Au niveau cuir, il y a de tout, mais toujours du très beau: peu de vachette ou alors certaines belles pièces genre veste de motard, de l’agneau super souple, fragile et girly, de la chèvre plus dur et brut pour les hommes. Et ça de toutes les couleurs et de toutes les coupes. Concernant les soldes, on peut espérer chopper certaines pièces aux alentours de 300 €. Ca reste toujours très cher mais la qualité est comment dire: exceptionnelle. Par contre, vous pouvez regarder sur le site internet du magasin, ils font souvent du destockage et là, ça devient intéressant! J’ai payé ma veste 150 € au lieu de 500… une bonne affaire je vous dit! De plus, on peut l’essayer du Croix Baragnon dans leur seconde boutique… Que demander de plus?
Lisa B.
Rating des Ortes: 4 Toulouse
Oh lala que c’est joli! un blouson en agneau plongé attire mon regard dans la vitrine. Oui mais… il coûte quand même 449 euros! bon je rentre, peut-être qu’ils proposent aussi de pâles copies moins chères. Loupé! que du beau, du chic, du chaud, du cher. Oui, ça existe les manteaux à 2000 euros. A ce prix là ça a l’air confortable. Et bien coupé. Est-ce la peine de le préciser? Collection homme, femme et grandes tailles, toutes sortes de modèles en cuirs, court ou long, et des fourrures véritables(ça se vend encore en 2012?). A ces prix là la livraison est gratuite. A partir de 200 euros. Le prix de 2 boas genre Régine. De toute façon difficile de dépenser moins ici. Allez, je serais vilaine de né pas signaler que j’ai aussi vu des promotions. Des promos pour des personnes qui achètent des manteaux à 2000 euros. Mais des promos quand même. Et une vendeuse souriante en prime. Je rêve d’y retourner. Quand j’aurai gagné au loto!
Fabien B.
Rating des Ortes: 2 Toulouse
J’avais des doutes quant à ma capacité à apprécier ce genre de boutique. Doutes qui avaient été levés quand j’avais été chez un de leur concurrent de la rue des Filatiers qui s’est révélé être très accueillant et simple. Chez Cesare Nori, ce n’est pas tout à fait la même ambiance ni le même monde en fait. Autant je m’étais senti de suite à l’aise lors de ma première expérience, autant là je me suis senti comme le pauvre petit citoyen moyen auquel le vendeur n’accorde aucune attention. Au niveau des produits vendus, rien à dire c’est de qualité etc’est bien sur cher. Mais bon on né s’attend pas àdes prix bon marché dans ce genre de boutique de toute façon. Pas très accueillant et le côté «bourge» m’a vraiment déplu. Je né fais certainement pas partie de leur clientèle habituelle et n’en ferai jamais partiqu’isl se rassurent.
Veronique D.
Rating des Ortes: 3 Toulouse
Ma mère avait raison, j’aurais dû épouser un notaire, et ainsi, j’assouvirais mes goûts de luxe sereinement, sans plus m’inquiéter peut-être même de la misère du Monde. Lorsque je passé devant la vitrine de Cesare Nori, je songe à ces bons vieux conseils. Sans nulle peine je m’imagine affrontant le froid dans quelque redingote en agneau, caressée par un col de marmotte… Je me vois bien dans ce blouson de cuir rouge à la forme rétro… et cette veste de costard en peau retournée aurait beaucoup de gueule sur un jean de tous les jours. Mais, comme je baisse les yeux sur les étiquettes, je m’imagine gagnant au loto ou je pense à une éventuelle réincarnation… Je suis entrée un jour dans l’immense boutique de la Place Victor-Hugo, et j’ai compris immédiatement qu’ici, je n’étais plus une modeste personne, mais une pauvre gueuse qui ferait mieux d’aller raccommoder son cardigan de laine troué.