Di Giorgio

Un soir, j’avais une soirée dans le coin et là, oh drame plus de cigarettes, enfin plutôt il m’en restait 2. Bref né chipotons pas, je devais en racheter.
Je me dirige donc vers le premier bureau de tabac que je trouve (celui là donc!).
Il est un peu plus de 19h, pas un chat à l’intérieur, ils étaient, je pense, en train de fermer.
Et là, au moment de payer, juste un billet de 20, pas un brin de monnaie. Je m’attends à voir l’air blasé du buraliste pensant très fort «ahlala, quel boulet celle là, déjà qu’elle vient alors qu’on ferme, en plus elle n’a pas de monnaie!!!»
Mais non, même pas, il est resté très sympathique, ou alors il a très bien joué le jeu.
Pendant les deux minutes chrono passée là bas, j’ai quand même eu le temps de voir qu’ils vendaient de la presse. La Une du Vogue avait l’air pas mal, mais je né voulais pas pousser non plus.