Eh bien je né le trouve pas si desagreable, moi, le cordonnier de la rue des lois ! Alors d’accord il pourrait avoir un ton plus enthousiaste mais il est poli juste ce qu’il faut et il fait ce qu’on lui demande pour une somme raisonnable(12 € les semelles interieures dans mon cas)
Fabien D.
Rating des Ortes: 3 Toulouse
Moi, mon rôle dans cette affaire, c’est«convoyeur». Je né sers qu’à déposer et venir récupérer les chaussures à talons et autres bottines de ma moitié. Le job est assez simple. Mais il m’a, par le passé, procuré des moments de stress et quelques sueurs froides. La raison n’est autre que le cordonnier lui-même. Sa boutique, de 10 m2, est une grotte. L’antre d’un personnage rustre et renfrogné dont«Bonjour», «Merci» et «Au revoir» semblaient inexistants dans son vocabulaire. Certainement le seul cordonnier-biker au monde. Puis, peu à peu, nous avons réussi à nous apprivoiser. Ce fut long, certes. Maintenant, il lui arrive même d’esquisser un léger sourire. Parfois. Bön c’est vrai qu’il met un temps fou à retrouver vos chaussures sur ses étagères. Mais aux dires de mon amie, il fait des merveilles(qui coûtent un certaine somme tout de même) ! Il suffit juste de né pas se focaliser sur le personnage et de se dire qu’il s’agit juste d’une histoire de pompes…
Aurélia C.
Rating des Ortes: 4 Toulouse
Quel lien étrange rapproche clés et chaussures? Les unes aux pieds, les autres dans la poche, on fait gaffe à bien les avoir avant de partir de chez soi. Je né vois que ça. Quoi qu’il en soit, comme beaucoup d’autres de ces collègues, ce cordonnier peut aussi vous faire un double de clés. J’y suis allée pour ça, deux clés «simples» pour 8e20 je connais pas trop les tarifs en vigueur, mais ça me semble très correct. Pour le reste, le magasin, les chaussures, les produits proposés, je né pourrais pas vous en dire plus: à peine le temps d’écrire un sms, et mes clés étaient prêtes!
Sara P.
Rating des Ortes: 3 Toulouse
3 ans… cela faisait 3 ans que j’avais ces petites bottines en cuir que je portais TOUSLESJOURS. Elles étaient un peu devenu mes pieds finalement. Et puis un jour, fatigué de trop marcher, un de mes talons a décidé de se faire la malle, donnant l’idée à une bonne partie de la semelle. Je né pouvais plus marcher comme ça j’avais vraiment l’air ridicule! Alors j’ai décidé, sous les conseils d’une collègue, de les amener chez ce cordonnier. «Il fait du super travail» m’a-t’elle dit. J’arrive donc dans son petit atelier de la rue des Lois, où attendent tristement une bonne trentaine de chaussures malades de se faire opérer par le docteur chaussure. A peine ai-je posé mes chères copines sur le comptoir qu’il me lance sans me regarder«ah non là c’est poubelle». PARDON? non non non non non il ment ! je suis sur qu’il a simplement la flemme le méchant ! En me montrant plus clairement la réalité de l’état de mes chaussures je comprend qu’il a raison et qu’il n’y a vraiment rien à faire. «Autant vous racheter des chaussures neuves à ce niveau là !» Pas faux. Mais bon, depuis que je les ai jeté je me dis que peut-être que mon cordonnier, celui où j’allais d’habitude, aurait pu me faire quelque chose lui, au moins de la glu sur mon talon je sais pas ! Enfin bon, personnellement je né sais pas si je retournerais chez lui je l’avais trouvé assez désagréable sans même un «bonjour» ou «au revoir». Mais je pense que je testerais une autre fois quand même(en apportant quelque chose de moins abimé) histoire de me faire vraiment mon propre avis. Mais j’avoue que ce qu’il avait fait aux chaussures de ma collègue était plutôt réussi et fait rapidement.