Le paradis de la photo? Il est sur le Boulevard Matabiau. Même sans entrer, je restais scotché devant la vitrine. Alors en entrant, je né vous raconte même pas. Des appareils, des trépieds, des imrpimantes… absolument TOUT le matériel est là, pour tous les types de photographes. Même les caméras ont leur place ici! Neuf ou occasion, vente ou location, vous avez un large choix d’offre. On sent qu’on est vraiment bien entouré par des gens qui savent de quoi ils parlent. Certes, les prix né sont pas donnés, mais c’est de la photo. S’il faut y mettre le prix pour avoir un bon service, je n’y vois pas d’inconvénient. Le temple de la photo vous accueille, c’est ici qu’il faut aller. Vous né serez pas déçus.
Fabien B.
Rating des Ortes: 3 Toulouse
Si vous vous intéressez à la photo, ce magasin est quasi un passage obligé car encentre ville mis à part prophot, c’est le seul magasin à proposer auatnt de choix à la vente en neuf et en occasion. Par contre au niveau des prix, je pense qu’il serait nécessaire de leur dire qu’il y a des limites(je sais que le matériel photo ou la vidéo, à la location ou à la vente est très cher mais bon…). J’y ai été me dépanner quelques fois en accessoires quand je me suis retrouvé dans le jus avant un tournage et bien croyez moi que ça né m’arrive plus, ça m’a srvi de leçon et maintenantje m’organise. Rien à dire par contre au niveau du service et des produits.
Laurent F.
Rating des Ortes: 5 Toulouse
En tant que photographe professionnel, je me rends régulièrement chez Numériphot, un spécialiste en matière d’imagerie, photos, vidéos, cinémas. Je sais que j’aurais affaire là à de véritables professionnels, qui pour le choix de mon matériel seront toujours de bons conseils, sans pour autant être force de vente. La boutique fait aussi de l’occasion, révisée et garantie généralement 3 ou 6 mois selon l’état. De plus, un service«location» est aussi disponible que pour ma part j’apprécie particulièrement. Ils peuvent vous louer un appareil photo tout équipé ou bien par exemple simplement un flash. Combien de fois à la veille d’un reportage mariage ou de courses à pied ai-je couru louer un flash que je né possédaïs pas.