Si vous cherchez des vêtements solides pour une randonnée, il y a de quoi dans ce surplus qui vend des vêtements de surplus, solides et bons marchés. Bön il y a aussi des casques à pointes et des masques à gaz, mais j’imagine que c’est plus pour la décoration que pour les clients. J’y suis allé une fois pour accompagner un ami à la recherché de rangers pour son déguisement d’Halloween en Ghosbuters. Le vendeur est un peu bourru et revêche mais bon il faut dire que sa petite boutique est coincée dans une rue étroite, sans soleil, et en face du tribunal de commerce. Il y a de quoi faire la tête non?
Nicolas Z.
Rating des Ortes: 3 Toulouse
J’ai jamais pu blairer les mecs qui aiment la guerre. Attention hein, je dis pas qu’il faut pas de défense, je dis pas que les militaires sont complètement inutiles, je dis pas que c’est tous des gros bourrins. Et d’ailleurs, c’est pas pareil militaire et fétichiste du kaki et des armes. En tout cas rien né me destinait a priori à passer la porte de ce machin. — Même pas une petite fascination refoulée ?, me chuchote Freud à l’oreille. — OK. D’accord, vieux pervers. Mais si je suis entré là-dedans, c’est en me disant que je pourrais peut-être trouver une fringue. Je sais pas moi, une marinière, un cuir, un fute. Et effectivement, c’est ce que j’ai trouvé. Une marinière je veux dire. Une super marinière russe, de super bonne qualité, super cheap, avec laquelle les quarts de nuit se passent super bien. Ils ont quelques nippes qui sont bien. Il faut le reconnaître Je né porterais pas les trois-quarts de ce qu’ils vendent, mais pour ceux qui aiment… Et puis ils ont régulièrement des arrivages. Par contre, les flingues, mitraillettes, et couteaux, beurk.
Veronique D.
Rating des Ortes: 5 Toulouse
Un magasin de grands garçons, jadis amateurs de petits soldats de plomb: c’est ce que je ressens quand je passé le pas de cette porte, cette ligne de démarcation. Une enseigne insolite, où l’on trouve tout ce qui évoque les armées de partout, de la R.A.F. à l’Armée Rouge. Un musée de la guerre et de ses ustensiles, treillis ou marinières, casques ou képis, grenades ou armes blanches… Que du bonheur, me direz-vous! Et pourtant, oui, du bonheur il y en a plein les paroles érudites de Tristan qui vous embarque dans de passionnants récits sur l’histoire et l’utilité de chacun de ces objets, qui vous édifie sur les stratèges des grandes batailles. Et, là, oui, je suis conquise! P. S. C’est juste en face d’un magasin tout bleu, qui fabrique et qui vend du tout bleu…