Le dernier soir du festival, la ville s’endort, mais heureusement l’escale à Corto reste le repère où manger des fruits de mer et refaire le monde autour d’un verre de blanc. Cuisine agréable en fonction du marché. Service et acceuil très chaleureux du patron. Un piano trôné au centre de la première salle côté bar, certains soirs il prend donc vie sous les doigts de quelques pationnés. Les autres jours, bonne sélection aux accents jazzy. Pour tous les vieux loups de mer et autres qui ont le mal du pays.