Institut Paul Bocuse

Grande habitué de cet Institut je suis déçu par la tournure que prend la cuisine et surtout les prix.
Toujours à la pointe de la créativité la cuisine de ce restaurant m’a très souvent enchanté.
Je me souviendrai toujours de la «tomate dans tous ses états»: glacé concassée chips nature tous à présenter dans un verre à cocktail, magique!
le rapport qualité-​prix était à l’époque imbattable entrée plat dessert au vin et café pour 19 € puis les prix ont petit à petit au Pontet et les prestations baisser. Après 24 € et seulement le vin et leau inclut, nous sommes aujourd’hui un tarif rédhibitoire de 39 € ou seulement un verre de mousseux est inclus.
Le concept de ce restaurant expérimental était de tester des plats auprès des clients aujourd’hui les plats sont quasiment identiques tout au long de l’année. Le visuel des assiettes est vraiment magnifique mais les goûts et les saveurs sont pas toujours au rendez-​vous.
Ici on né choisit pas ce qu’on mange. En effet les places sont servi bazar sur les tables il y a en général deux entrées, 4 plats et un seul dessert (donc aucun choix). Attention il s’agit de haute gastronomie et de très bons plats qui surpasse beaucoup de restaurants mais maintenant un tel tarif l’esthétique né suffit pas…
On né connaît pas à l’avance des plats sur la carte .
Bref maintenant, je trouve cela déplacé Intel tarifs pas de choix des saveurs pas forcément au rendez-​vous, de grosses difficultés pour réserver et parfois manger les mêmes plats qu’il y a plus d’un an, sans être au courant que la carte n’a pas changé.

Food here is just fantastic, although they don’t have English menu, the waiters there can speak perfect English, making your decision quiet easy. A must go!

Quelle bonne surprise et quelle découverte ! Une réservation s’impose mais une fois arrivée dans le grand domaine du château de l’institut Paul Bocuse, les sens s’éveillent petit à petit. l’accueil dans ce couloir magnifique puis nous voici dans un salon (il y aen ⁴⁄₅ au total) ou l’on nous installe confortablement. Après un petit apéro et quelques amuses bouches fraicheurs (velouté de melon /​pastèque), nous avons sélectionné le menu château (à 36 euros) — menu saveur avec 2 entrées et 3 plats à 50 euros :
entrée (ombré chevalier ou terrine de laperreau), plat (choix pour nous entre dorade ou canard), plateau de fromages (multitudes.) et dessert pour nous (millefeuille chocolat ou sablé et fruits rouges).
Le cadre est élégant tout comme l’argenterie et la vaisselle. Service avec tradition culinaire française: plats sous cloche, charriot de fromages, choix de plusieurs types de pain, ramassage des miettes: P
Les produits sont de qualités, les cuissons parfaites en bonne proportion.
Les jeunes en 1ere année d’apprentissage à l’institut s’appliquent et annoncent les plats.
Le professeur sommelier conseille les vins en les expliquant avec une touché «théâtrale» sympathique et passionné.
A refaire à une autre saison.
Faites le détour à l’étage pour voir la chapelle. Mais aussi à la cave pour voir l’atelier d’oenologie et les grands crus vins /​champagnes)

Alerte Bön plan !
Un ami actuellement élève à l’institut Paul Bocuse a pu nous réserver des places pour le dîner, cuisiné par des élèves de l’institut.
Pour la modique somme de 8 € (!!!), nous avons pu déguster entrée, plat et dessert.
Entrée: panna cotta, asperges et œuf poché
Plat: magret de canard et tarte navets
Dessert: crème brûlée et salade de fraises des bois.
Tout était absolument exquis, digne d’un menu gastronomique …
Le service, également fait par les élèves était très attentif.
Chapeau !!

Juste une chose en ce qui concerne le prix, même si le rapport qualité/​prix est très bon, il faut quand même compter 60 € le soir pour le menu 3 plats avec une bouteille de vin blanc de Provence partagé à 4.

Grâce à Unilocal, (et très précisément Mathilde A. :D) j’ai pu connaitre le concept du restaurant expérimental paul bocuse. Après des crises de jalousie devant mon l’écrin à cause des photos publiés par des Unilocaleurs, enfin moi aussi! j’ai posé mon après-​midi et direction Ecully!
Nous sommes installé dans une sorte de salle de réunion avec des tables dressé. Ce n’est pas vraiment une ambiance de restaurant mais plutôt un atelier, et le mot «living lab» s’explique très bien le concept. Bref, vous verrez très bien ce que je voulais dire si vous y aller: p Je né suis pas vraiment fan pour le cadre car j’ai vraiment l’impression de manger dans une salle de réunion! Mais la vue est très agréable. I’institut est situé dans un parc assez sympa, avec un château à coté.
Les cuisines ici sont bons. Des bons exécutions des viandes et des poissons. Les garnitures sont bons et les sauces sont goûteuse. Même si nous avons pas des choix mais ça fait partir d’expérience. Cependant, je né suis pas non– plus très emballée par l’ensemble de repas. Mais la problème est que je né sais pas trop pourquoi… Je sens que dans l’assiette ça manqué quelques choses, la gourmandise? l’originalité? la personnalité?
Le prix est correct: mise en bouche plus EPD, et une carafe de vin à 26 euros pour ce repas de midi (je né suis pas sûr si c’est le même prix en soir). Par rapport au prix pratiqué avant: 18 euros ce n’est plus si intéressant mais reste raisonnable.
C’est carrément un bonne plan, surtout pour les gens qui travaillent à coté, mais je pense qu’on peux également trouver des restos dans centre ville avec des tarifs similaires en midi et des cuisines avec plus des finesses et plus des histoires.

C’est un super bon plan.
Niveau qualité prix c’est parfait.
Le cadre est splendide… Et les élèves sont adorables !

C’est marrant je viens de parcourir l’avis de Camille et j’ai eu cette même impression, en arrivant devant le Château de l’Institut Paul Bocuse à Ecully, que de faire face à Poudlard. Et ce n’est pas peu dire car la magie a tenu toutes ses belles promesses dans nos assiettes.
Nous avions réservées par internet au Living Lab le restaurant test de l’Institut. Pour vous faire saliver voici le menu que nous avons eu la chance de déguster: Saumon Fumé et Crème d’Aneth en mise en bouche, pour les entrées Tourteau en Transparence ou Foie Gras Griottes, pour les plats Merlan Laqué au Basilic, Langoustines en fils de Pommes de Terre, Boeuf et Condiment Choron, Pigeon Laqué et Panisses, au Dessert Tarte Poire et Frangipane.
Tout a été élaboré par les étudiants de 3ème année sauf le dessert plus classique (réalisé par les élèves de première année).
Le Living Lab’ est donc un espace expérimental dans lequel les élèves de l’Institut Paul Bocuse à Ecully laissent libre cours à leur imagination et testent des techniques de dressage, des recettes un peu hors du commun. C’est aussi l’occasion de recueillir les réactions à chaud des convives par le biais de questionnaires à remplir avant et après le repas. Le Menu à 26 Euros propose 2 entrées, 4 plats, un dessert et une petite carafe de vin. Les assiettes sont distribuées de façon aléatoire, nous étions 4 à table nous avons chacune eu une assiette avec un plat différent (et nous avons partagé avec bonheur).
Un excellent moyen de découvrir la cuisine haut de gamme à des prix attractifs. En plus le petit côté hésitant des élèves qui viennent vous présenter leurs plats est vraiment attendrissant. Il me reste à présent à découvrir l’adresse à Lyon Place Bellecour.

A beautiful campus filed with great antiques/​art/​culinary minds. A beautiful campus that almost acts as a smaller (the culinary institute of America. Build out of a old castle/​church the campus has some nice greenery and is very beautiful and well maintained.

Très bon service et cuisine plutôt raffinée ! J’ai aimé le fait que les maîtres de stage soient vraiment à l’écoute et proches de leurs élèves.
A retourner pour découvrir plus de plats

Aie Aie Aie, moi qui ai le palet fin, que dire? Rien … Que des futures chef à né pas en douter !
On en repart avec plein d’étoiles dans les yeux (le site fabuleux) et sur la langue et le palais, à tomber !

Excellent restaurant!!!
Le site déjà est magnifique, aussi bien l’intérieur que l’extérieur.
Le service et la cuisine sont très très bon. Les jeunes en formation sont vraiment passionnés!!!
Bref, un restaurant ou il né faut pas hésitez à y aller.

Site magnifique et belle école. Génial de pouvoir accéder à la gastronomie à ces prix là.

Nous étions invité pour une réunion dans l’une des salles du dernier étage, et je dois avouer que je né pensais pas trouver ça dans un tel endroit.
Une salle magnifique, dotée de tout l’équipement dernier cri pour nous permettre de travailler plus que correctement, impressionnant !
Le service a été a notre petit soin pendant toute la matinée à l’écoute du moindre de nos demandes.
Pour le repas, nous étions dans le salon privé en face de la salle de restauration et tout a été, avouons le: FABULEUX !
Nous avons été retourné par la qualité des produits et des plats, chaque bouchée a été un délice, nous avons regretté de né pas pouvoir aller finir les plats en cuisine (Ce n’est pas faute d’avoir demandé pourtant ! Oui je né suis pas sortable, je sais !).
Le service est plus qu’impeccable, et j’ai beau chercher, je né trouve pas de raison de né pas mettre 8 étoiles, mais Unilocal m’en empêche …
Je n’peux que recommandé (est-​ce que c’est vraiment nécessaire ?) d’aller essayer né serait-​ce qu’une fois cet endroit, si ce n’est pas le paradis, nous en sommes vraiment tout proche !

L’institut Paul Bocuse a, pour moi, été victime de tous ses avis dithyrambiques… Avec que des avis 5 étoiles (ou presque) et autant d’éloges sur le lieu, je m’attendais forcément à quelque chose de grandiose… Et quand il y a trop d’attente, et bien on peut être vite déçu. Et j’ai été déçue…
D’abord le lieu: Situé à Ecully dans un superbe parc, il y a deux bâtiments. Le premier abrite le restaurant super classe et le second, le bâtiment de l’école. Première déception puisque le restaurant de l’institut est situé dans un bâtiment plutôt lambda, sans réel charme. La salle de restaurant fait très réfectoire, très cantine. J’ai trouvé ça vraiment dommage. Nous étions tous «parqués «dans un coin de la pièce devant les cuisines. Quelques paravents cachaient des tables rangées les unes sur les autres. Bref, ok, c’est un resto école, mais l’option cantine m’a un peu refroidi.
Puis vient le repas: l’idée de né pas choisir son menu est très chouette. L’amuse bouche était délicieux, les plats et le dessert parfaits mais je suis restée sur ma faim (littéralement) ! Alors oui à la gastronomie, oui à l’expérimental, mais j’ai trouvé que les assiettes étaient vraiment très peu garnies. Et c’est dommage.
En terme de prix, rien à redire. 24 € EPD vin compris (servi dans une petite fiole individuelle toute mimi).
Voilà, contente tout de même d’avoir testé ce restaurant, bien que, vous l’aurez compris, je sois ressortie un peu déçue…

Les places sont chères à l’Institut Paul Bocuse… mais les copines suivent assidûment le site et sont super réactives quand elles voient les nouvelles sessions arriver. C’est comme ça qu’un jour de pluie, sur la pente descendante d’une bonne rhinite, l’Institut a su illuminer d’un repas cette journée bien morne.
Ce déjeuner était cuisiné et servi par les élèves de l’Institut, qui font des roulements entre le soir et le midi.
Le dressage est simple, mais on aime les petits détails: un petit bouquet de fleurs «sauvages» au milieu de la table, ça apporte de la fraîcheur. Le vin apporté dans des fioles individuelles en forme d’ampoule, on dit oui! (j’aurais vraiment voulu ramener la mienne!)
Institut Expérimental, parce qu’effectivement on expérimente des goûts, des textures, des couleurs. L’envie d’y retourner sans maladie me prend, lorsque je repense au repas :
L’amuse bouche était divin (émulsion de roquette au wasabi, oeuf Parfait, biscuit parmesan olives), mon entrée était surprenante, avec ses airs de japon (mousse au yuzu, gambas et huîtres au dashi, courgettes croquantes), le plat fait de poisson et moules au bouillon avec de la crème safranée était une tuerie, et le Saint Honoré était ma foi très bon.
Il me font rire, ces chefs-​élèves qui viennent en fin de repas nous mander conseil: avec ce niveau, il n’y a rien à conseiller! (à part peut-​être éviter d’expérimenter des brochettes et autres biscuits longs, qui se cassent la figure d’une assiette penchée)

Le saviez-​vous? Même dans un restaurant chic & distingué, les Unilocaleurs savent TOUJOURS se faire remarquer. Bön, ok, les Unilocaleuses.
Je m’excuse auprès de Mr Bocuse pour la gèné occasionnée dans son restaurant. Oui nous, les 5 jeunes demoiselles de toute beauté au centre du restaurant. Oui, c’est nous, voilà ! Ouais, celles qui quand elles se taisaient, laissaient le silence régner dans le restaurant. On né voulait pas faire de bazar à l’origine. On s’excuse si des fois un peu fort y a eu des mots genre «excitée» «bourrée» «bordel» «baisodrome» qui nous ont échappé. Pardon.
On était juste contentes d’être la. La preuve on est parties en dernier alors qu’on était arrivées en premier. Et c’est pas parce qu’on renseignait l’enquête sur les tablettes… On faisait juste durer le plaisir, vraiment. (Mais sache quand même que pour info, les serviettes en papiers pour 2 € d’écart je m’en fiche). Bön d’accord, on s’excuse aussi d’avoir gloussé pendant qu’on remplissait l’enquête. C’est mal. :)
Voilà, ça c’est pour planter le décor. Sinon, ben Bocuse c’est bon. Nan, c’est pas bon. C’est ORGASMIQUE. Et ouais. De toute façon, suffit de nous entendre manger. Mmmh. Mmmh. Mmmh. (Ouais, on est train de manger la, petits pervers). Et oui, avec le «centre de recherché» de l’institut Bocuse, la team Ecully a élevé le niveau de jeu! De quoi motiver les lyonnais pure souches d’aller s’aventurer dans l’ouest lyonnais. Parce que mes loulous, si la piscine vous a vendu du rêve, alors la, au-​dessus, c’est le soleil.
Parce que l’amuse bouche «œuf parfait» était… PARFAIT. Jamais un plat n’a aussi bien porté son nom bordel. Et cette émulsion de roquette et wasabi, ce gâteau au parmesan, la compotée de tomates, je peux vous dire que c’était l’orgasme de chez orgasme.
Parce que les entrées, placées aléatoirement, (vous né choisissez pas ce qu’on vous apporte) étaient juste divines. Les ravioles de bœuf et les ravioles de fois gras, avec leur petit bouillon et leurs petits légumes étaient merveilleuses. Les huîtres et les gambas, a voir la tête de Jeanne, c’était le 7eme ciel.
Parce que mon canon d’agneau était cuit parfaitement, assaisonné parfaitement, présenté parfaitement. Aie aie aie. Les autres plats avaient l’air très bon aussi. Le mystère de né pas savoir le plat qu’on va récupérer est marrant.
Parce que mon dessert St honoré aux fraises et pistache, avec un coulis de fruits rouges, était superbe. Crème légère, crème de pistache légèrement anisée, fraises, chou. Mmmmmmmmmh.
Un repas parfait. Quand on pense que ce sont des étudiants qui sont en cuisine pour être autonome. Ils sont déjà bien autonomes si vous voulez mon avis. Et quand on paie ça pour 25 €, oui vous avez bien lu, VINGT CINQ EUROS, le rapport qualité prix est indiscutable (surtout quand on sait que ce prix inclut l’ampoule de vin).
Alors même si on nous a demandé au début via une enquête si on était stressées, nostalgiques, tristes, fatiguées ou encore bien (ouais Jeanne. On est grave biiiiien) et qu’on né savait pas répondre, et ben a la fin, on était triste et nostalgique que ça s’arrête déjà. On a trouvé LE trésor d’Ecully.
«Décrivez l’ambiance du restaurant en 5 mots»
ON
A
FOUTU
LE
BORDEL

Now there will be a review in English! What a lovely lunch at Saisons the teaching restaurant for the Institut. Staff was gracious and welcoming in French and some English; their English was better than my French! Each course was delicious and served with beautiful presentation. It was fun to watch the wait dance, each head waiter had an assistant, seeming to be a newer student they were instructing. The students take turns both in kitchen and front of house as I understand. Be sure to peek in the kitchen window, preferably before clean up time when I went. It is an incredible place! I enjoyed all my courses but my favorite was the amuse bouche. Asparagus mousse with bits of shrimp and crab, so delicious it deserves to be a course in its own right some time. Bön Appetit!

A ceux qui lisent mon blog, il y aura un goût de déjà vu…
Amis lecteurs, je m’apprête à partager avec vous une expérience incroyable que je viens de vivre. Je vais vous raconter, tout simplement, le meilleur repas de ma vie.
Grâce à Mathilde A., j’ai découvert le Restaurant Expérimental de Paul Bocuse.
Arrivés au domaine, le château et le parc nous mettent dans une ambiance de luxe loin d’être désagréable. Un accueil grand cru, nous sommes installés à une table et rapidement le service nous explique la raison d’être du lieu.
Le concept: les étudiants de 3ème année de l’institut alternent entre les cuisines et le service, pas de menu au choix mais une carte détaillée de ce que nous aurons la chance de découvrir.
Un fois le vin choisi (ce sera un Côte du Rhôné pour tous), ce sont de toutes mignonnes coupes de mousse veloutées qui se présentent à nous. Morue, olive et basilic, le mélange est surprenant et délicieux. Les saveurs se marient et se complètent à la perfection. C’est une mise en bouche toute en finesse, une caresse qui effleure la langue, juste de quoi réveiller mes papilles après 23 ans d’hibernation.
L’entrée, sphère de foie gras griottes & gingembre, un mélange de douceur et de force, le piquant de la griotte qui contraste avec le caractère du foie gras. Comme pour la mousse j’ai découvert des associations de parfums que je n’aurai jamais imaginé s’accorder, c’est une merveille. Aucune saveur n’écrase l’autre, chacune laisse simplement la place à l’autre lorsqu’il a fini de nous envoûter.
Après avoir laissé mes sens s’éveiller crescendo, c’est avec délectation que je m’attaque au plat: Sole dans l’esprit grenobloise. Un poisson cuisiné avec une subtilité rare. Tendre, fondant, souple et savoureux, ce fut un exploit culinaire. Accompagné d’une panure à base de beurre, chapelure, persil, citron & d’une purée de pomme de terre à l’huile d’olive et aux tomates séchées, le mélange était succulent.
Une fois l’exploit accomplit — sentir mon corps me remercier de lui faire vivre toutes ces émotions, la délicatesse d’un gâteau frais, sucré et léger tombe à pic pour me combler. Mousse de chocolat blanc, mangue, banane et noix de coco. Je l’avais devant les yeux et je né voulais pas l’abîmer en le goûtant, je né voulais pas que le repas se termine. Le sucré/​velouté du chocolat blanc aurait pu être écœurant, la mangue acide et la banane fade. Mais rien de tout ça, c’était parfait, encore un assortiment réussi.
Bilan: un sans faute.
Le tout pour 25 €, vin compris.

Le restaurant du château du vivier est un restaurant d’application, celui de l’institut paul bocuse. Vous etes servis par des etudiants donc destinés à une grande carriere dans l’hotellerie restauration, Paul Bocuse oblige.
Outré le cadre classieux,(y aller le soir c’est plus classe), vous avez droit à un repas gastro à prix modérés, 35 et 45 euros avec tout le tsatsoin qui va avec, amuse bouche, pre dessert, service gastro, nappes, serviettes en coton, etc…
Le repas était de bonne facture et le maitre d’hotel affable (le seul adulte) qui encadrait les jeunes etait fort sympathique. Bön choix de vins.
La nourriture servi est niveau gastronomique sans avoir les produits tres haut de gamme.
Service un peu hesitant mais c’est normal, il faut bien qu’ils debutent cesz petits djeuns!
Pour y aller, bien sur, il faut reserver longtemps à l’avance car le restaurant n’est ouvert qu’en semaine.
Astuce: se mettre sur liste d’attente et etre pret à venir le jour même de l’appel !! c’est ce que j’ai fait un lundi soir.
Bref, un bon moment. Je referai.

Une perle au milieu d’Ecully.
D’un côté le restaurant d’application Saisons. En cuisine Alain Le Cossec, MOF de son état, supervise les étudiants qui mettent en pratique leurs connaissances durement acquises à l’institut. En salle, des étudiants également que l’on peut parfois voir se faire légèrement houspiller par le responsable de la salle ce qui ajoute un peu d’originalité à l’expérience.
Dans l’assiette de la cuisine merveilleuse, très raffinée, digne de grands établissements.
Le soir, deux menus au choix avec fromages ET dessers: un à 34 € l’autre à 40 € ou 50 € (2 ou 3 plats). Un bon rapport qualité prix dans un cadre vraiment agréable, très classique sur l’architecture, quelques touches de modernité dans la déco.
Dans le bâtiment d’à côté, un des meilleurs rapport qualité/​prix de Lyon: le restaurant expérimental. 24 € entrée, plat, dessert et un quart de vin par personne. Il faut par contre s’accrocher pour avoir une table (surtout le soir, personnellement je n’y suis pas parvenue): voir les dates d’ouverture du restaurant (une (peut être deux, je né suis pas certaine) session par an, autour de l’été) puis guetter l’ouverture des réservations sur le site internet et né pas attendre avant de prendre une réservation.
Dans l’assiette: il y a plusieurs options à la carte mais on né choisit pas celle que l’on aura. Par contre les différentes options sont réparties entre les convives. Il faut donc idéalement venir avec quelqu’un qui a des goûts très complémentaires aux vôtres.
Ici encore on trouve une cuisine très fine de très grande qualité et le service est aux petits soins et très attentif à vos remarques.
Vous pouvez potentiellement être filmé ou devoir répondre à un questionnaire pendant votre repas, restaurant «expérimental» oblige. J’y suis allée deux fois et ça né m’est jamais arrivé.
Enfin, le château (ah oui, j’avais oublié de préciser que l’institut se trouvait dans un magnifique petit château) et situé au cœur d’un parc très agréable où il fait bon piqué-​niquer.
Parce qu’on né peut pas non plus manger à l’institut Bocuse tous les jours!

En découvrant par hasard le domaine de Vivier et ainsi l’institut Paul Bocuse, je décide de m’aprocher impressionnée par ce grand château!
oulala, je voie une entrée restaurant, tiens? un restaurant d’école?
Je lis la carte rapidement car j’avais déjà faim, mais je vois surtout la formule de midi à 28 € (entrée + plat+dessert)!!
A tout hasard je demande s’il reste de la place pour déjeuner le jour même et BINGO!
Rien que pour le lieu et de voir les yeux écarquillés de mon conjoint (que j’embarque avec moi pour ce déjeuner), je suis déjà ravie!
Donc le SAISONS, nom officiel du restaurant de l’institut, fonctionne avec des apprentis serveurs, mais avec de vrais chefs en cuisine.
Le service est donc de type gastro (très guindé et collant), mais la cuisine est digne du nom «Bocuse». d’ailleurs je me souviens avoir vu passé un col tricolore, preuve de qualité!
Je n’ai malheureusement pas de photos de mes plats, mais TOUT fût excellent! Surtout mon poisson avec une cuisson parfaite, une sauce à tomber…
Allez-​y! Les serveurs tous jeunes apprennent, mais je veux bien donner de ma personne pour savourer de délicieux repas de ce lieu!

La semaine dernière, je suis allée à Poudlard. Parc, château, tourelles, oubliettes et passages secrets, je m’y serai crue. Seule différence, ici ce n’est pas la sorcellerie qu’on apprend, mais la cuisine, et pas pour rigoler, s’il vous plaît !
Invitée par Camille des Gourmandises de Camille à tester un cours de 3 heures, préparé en partie à partir des produits de sa boutique (miam, le pesto rosso), je n’ai pas été déçue, moi qui suis un peu une quiche en cuisine. Couteaux énormes et bien affutés, tablier de compet, cuisine de compet et chef de compet: ici rien n’est laissé au hasard, vous n’êtes pas là en touriste. Il faut dire que si le cours nous était offert ce jour là, il n’est pas donné en temps normal, il faut donc en avoir pour son argent.
Rendez-​vous à 14h sur place, nous avons pu visiter l’école, ses cuisines, son restaurant, son école du thé, son école du café et même sa salle dédiée à l’oenologie. Une découverte ultra intéressante et que chacun devrait faire une fois dans sa vie pour mieux comprendre l’empire Bocuse et le poids de la cuisine à Lyon. A l’Institut Bocuse, on vient de tous horizons pour cuisiner, que l’on soit français, étranger, cuisinier ou en reconversion. Et c’est ça qui est chouette, car il y règne une vraie ambiance studieuse.
Nous avons ensuite eu droit au cours avec un chef particulièrement sympathique, que notre petit groupe de fifilles paparazzi a eu l’air de beaucoup amuser ! Je n’ai pas réussi à faire une fleur avec ma tomate, pas réussi non plus à faire un joli bouquet de mon artichaud, pas tout compris à la découpe du bar ni au fumé de poisson, mais ce que je sais, c’est que j’ai réussi à né pas me couper de doigt, à apprendre quelques techniques, et surtout, à bien m’amuser ! Et le must, c’est qu’à 17h, nous avons chacune eu droit à une assiette de nos deux plats préparés, avec pain maison et petit verre de vin à l’appui ! Et… oh… un dessert, histoire de s’assurer qu’on repartait le ventre bien plein !
En résumé: je suis repartie légèrement «tipsy», en ayant trop mangé, mais ra-​vie ! Maintenant y a plus qu’à re-​tester les recettes, c’est là que ça va se compliquer !