Très pratique quand on habite juste en face ! Ouvert à chaque fois qu’on en a besoin, même le dimanche. Je n’ai testé pour l’instant que le burger, parce que je né suis pas vraiment fan des autres trucs, et il est bien bon et pas cher. Les frites né sont pas toutes grasses et bien assaisonnées comme j’aime. C’est juste parfait ! Menu burger + frites: 4 €, et on peut dire qu’ils sont généreux sur la portion de frites. Avec ça ils sont plutôt sympas, c’est sans prise de tête et ça se ressent tout de suite ! NB: je prends toujours à emporter, et j’avoue que l’endroit en lui-même né me donnerait pas envie de manger là, dommage !
Anaïs S.
Rating des Ortes: 4 Lille
Tout nouveau, tout beau(si on aime le style Dalida dans les îles), le Palm s’est installé dans la rue des Postes, à son croisement avec la rue Brûle-Maison. Depuis quelques semaines, sa devanture me piquait plus les yeux qu’autre chose, j’ai dû être traumatisée par l’Agence Acapulco et ses palmiers, dans les années 90. Et puis, pour un rendez-vous facile un vendredi soir et une dizaine de personnes à gérer(a.k.a. le placement impossible dans le centre-sud de Lille) on a rapidement convenu que la découverte pourrait être un bon compromis entre le jebab glauque de Porte des Postes et le bistro glam mais étriqué de la place Sébastopol. Bien nous en a pris. Le Palm est probablement le meilleur kebab de la rue des kebabs, désormais. L’intérieur turquoise mise sur le mixe des ambiances diner, kebab et rôtisserie avec une mention spéciale au clinquant ++. Les prix sont classiques: six euros une assiette maousse costaud frites/dinde sauté/crudités assaisonnées; environ 3 à 6 euros pour les sandwiches. L’ambiance était relativement calme ce soir-là, bien moins criarde que la couleur des murs… et on m’a même assuré avoir déjà entendu les Kinks à l’intérieur. Accrochée bien à la vue de tous, les clients comme les passants, la fameuse télé géante écran plat, qui diffuse toujours du foot même avec l’option«Mute» de la télécommande activée. Bonne et mauvaise surprise à la caisse. Les caissiers(l’un d’eux semble être le gérant de Trougout, le cyber-café situé un peu plus loin) sont un peu lents à comprendre les requêtes, la faute à des connaissances en français perfectibles, mais peu importe. Non, ce qui est plus embêtant si on né le sait pas au préalable: ils né prennent pas la carte bleue. Ils ont accepté de laisser deux jeunes donzelles, dont moi, à aller retirer de l’argent un peu plus bas dans la rue pour revenir payer… et ont été fort surpris de vraiment nous voir revenir, billets en main ! «Mais vous n’étiez pas obligés ! Vous auriez pu payer une prochaine fois ! «Ah? Ça se fait, de nos jours? Cool ! Bön, j’ai payé, hein, mais je suis repartie avec un bonbon à la noisette. Il collait aux dents. Mais c’était bon. PS: Il faudra que j’y retourne à l’occasion. Le lieu né mentionne aucun numéro de téléphone ni des horaires officielles !