Café du Jura

Un des meilleurs et authentique bouchon de Lyon, tout simplement! Des produits top qualité, préparés et cuits à la commande. Un accueil sympathique. Une salle typique. Que demander de plus? De revenir évidemment !!
Prévoir le temps nécessaire pour une bonne dégustation. 25mn pour une cuisson au four. 1h15 minimum pour un repas complet. Allez, arrêtez de stresser en pensant à vos objectifs et profitez du moment, cela vaut le détour… Vous repartirez en paix avec la vie, promis!

Il est bien difficile de trouver le bon Bouchon Lyonnais. Mais ici vous né vous trompez pas. C’est ultra authentique: déco, assiettes, service. Attention: il faut absolument réserver !

The place is run by a mother/​son duo. The mom cooks, the son works the front (with help from a young woman).
For the starter I had poêlée de cèpes. I’d seen this dish on a few menus in Paris, but never ordered it. It’s basically just a plate of porcini that have been sautéed in garlic, butter, and herbs. Simple as that. But I don’t actually think this is the best way to enjoy porcini, even when they are as fresh as these were. They work better with some kind of a base — like pasta, or scrambled eggs, which somehow heightens their earthy flavor. These were nicely sautéed in parsley, thyme, and garlic, and that distinctive porcini flavor was enjoyable, but the overall dish just seemed a bit thrown together and uninspired — and overpriced considering the small portion.
My wife had the veal terrine with black trumpet mushrooms, which was just a silly dish. The black trumpets were completely wasted — their wonderful earthy flavor was totally lost. Plus, the terrine tasted like it had *just* been taken out of the fridge and sliced up (terrines are better if you let them get closer to room temp).
Some things that we’d wanted from the menu were apparently not available that day. I wanted to order sautéed tripe, which I imagined would be prepared with herbs and garlic and taste rich and flavorful. But I was told they were out of that dish, and the waiter recommended a fried tripe dish instead. The tripe was pounded out and fried like a tripe schnitzel, and I couldn’t taste any of that unique tripe-​y flavor. The chef could have put veal or pork in there and I wouldn’t have known the difference. Not a lot of heart or thought went into this dish.
My wife wound up with sausage with bits of pistachio in it. It was good for what it was, but we don’t go out to a restaurant to get a freaking sausage that we could just as easily buy from a good butcher shop and eat at home.
We came here expecting a special experience from a reportedly skilled and reputable chef who has made her restaurant a local institution. Instead we got bland and uninspired dishes that left us in a fowl mood. It pains us to see someone throw such simple, boring stuff like this on a plate and charge relatively high prices for it. And how could someone churn out such dull food and have a full house for lunch? And in the city of Lyon, no less?
And yet, the place was packed. Within 15 minutes of our arrival, people were being turned away at the door. Weird!

Impensable pour moi de né pas au moins aller une fois dans un bouchon est à Lyon. Le choix est grand et le plaisir de découvrir un nouvel endroit est toujours très agréable. Cette fois-​ci ce choix s’est porté sur le «Café du Jura «en plein premier arrondissement et très pratique pour déjeuner lorsque l’on est dans une journée de «shopping «.
Ce qui plait immédiatement en entrant dans la salle à manger, c’est de finalement de se dire que l’on né se trouve pas dans un restaurant mais presque chez des particuliers. Une salle qui pourrait ressembler à un salon familial avec cette grande table communautaire mais surtout «la Mère «que l’on voit entrer et sortir de la cuisine. Ces «Mères «qui sont souvent citées comme des références culinaires et qui font partie du patrimoine gastronomique de la région. Un terme qui caractérise des cuisinières qui dans le passé avaient des origines modestes et qui proposaient une cuisine simple, bourgeoise mais en même temps populaire.
On né citera pas tous les noms de ces dames qui ont maniés ou manient poêles et casseroles de manière unique. On se concentrera sur Brigitte Josserand et son fils Benoit qui assurent le service en salle avec qui j’ai eu la chance d’échanger quelques mots sur le travail familial, la répartition des tâches mais aussi la motivation à vouloir satisfaire le client après au moins trente années…
Ce très joli bouchon avec sa devanture rouge et bordeau existe depuis 1867 comme l’on peut lire sur le store extérieur.
Aujourd’hui les extras du jour sont affichés à l’extérieure sur une ardoise et l’on peut se réjouir d’y trouver des ris de veau aux morilles, un de mes plats favoris !
Un intérieur qui n’a surement pas changé depuis plusieurs décennies et c’est ce qui fait tout le charme de cet établissement. Murs jaunâtres, boiseries, vieux frigos, tables et chaises de bistrot.
Le comptoir est magnifique tout en formica, un revêtement que l’on trouvait souvent il y a plusieurs décennies et redevenu à la mode. Malgré son retour en force ce matériau appartient à une époque révolue qui correspond pleinement à l’esprit brocante, mais ici ce sont des meubles d’origine.
Un «communard «en guise d’apéritif et la tentation est trop forte pour se priver de gouter les grattons de porc lyonnais. Le gras de la bête récupéré dans lequel est inclus de petits morceaux de viande et qui sont mis à fondre dans une casserole jusqu’à ce que tout soit rissolé. Ceux-​ci sont ici particulièrement gouteux car bien assaisonnés.
Vieille horloge, anciennes gravures ou photos qui confèrent à l’ensemble un charme indémodable.
Une carte où se trouvent de grand classiques mais aussi des plats de saisons ou en fonction des approvisionnements. Le marché étant assuré par Brigitte de manière quotidienne. Une petite mise-​en-​garde plutôt amusante qui signale que l’on né vient pas ici pour manger en quatrième vitesse et que tout se prépare au dernier moment. Et surtout… plaisir avant tout ! Qu’on se le dise !
Cela sera pour commencer de la poitrine de porc fermier d’Auvergne et lentilles du Puy. En règle générale je né suis pas trop «lard gras «mais celui-​ci est vraiment délicieux accompagné de quelques tranches de langue, de cornichons et d’une salade de lentilles très bien assaisonnée.
La terrine du jour est bien équilibrée en bouche, ni grasse et ni sèche, pistachée, accompagnée de quelques feuilles de salade et de cornichons.
Mes ris de veau aux morilles sont un modèle du genre. Parfaitement poêlés au beurre et ensuite recouverts d’une excellente sauce crème avec des champignons qui ont une saveur. Je précise cela car il m’est arrivé de manger ce plat ou la morille n’avait pas vraiment de goût.
Le gratin est fameux, crémeux à souhait…
Autre délicieux plat, le foie de veau crème moutarde. Tout aussi bien poêlé avec une onctueuse sauce moutardée.
Comme dessert, des poires au vin avec lesquelles quelques raisins secs auront été ajoutés.
Avec ce repas, un Château de La Selve Palissaire 2012, coteau Ardéchois. Un vin fruité et friand qui accompagnera parfaitement ce repas.
Et avec le café, les traditionnelles bugnes lyonnaises, spécialité de pâte passée dans la friture saupoudrée de sucre glacé.
Un vrais bouchon Lyonnais ou l’accueil est exemplaire, la cuisine fidèle à ce qu’elle doit être, parfaitement réalisée que l’on apprécie dans un décor presqu’historique. Rien de révolutionnaire, mais c’est justement pour cette raison que l’on vient ici.

C’est vrai que la déco est quelconque (la façade laisse pourtant présager quelque chose de plus décoré) mais on y mange bien.
Peut-​être que j’en attendais trop ou que mon rhume m’a joué des tours mais je n’ai pas trouvé ça exceptionnel non plus, surtout en rapport au prix.
Un peu cher pour un bouchon à mon goût.
Mais je retesterai une autre fois et dans le doute je lui laisse la 4ème étoile.
Ça reste une bonne adresse si vous voulez mangez lyonnais et avec des produits frais dans le quartier.

Jura… que c’etait bon! Le meilleur des bouchons lyonnais que j ‘ai goutte! Tu peux deguster les meilleures des versions des grands classiques lyonnais: andouillette et crepinettes a recommander! Sans oublier la tarte aux pralines avec la glacé vanille. !
Dans un cadre a l’ancienne mais vraiment agreable :)

Attention au tablier
Sur les conseils de Jean-​Luc Petitrenaud j’ai découvert ce véritable «bouchon lyonnais». Je né renie pas le côté authentique avec le décor (rustique à souhait), la patrone qui «gueule» et le serveur qui rouspète tout le temps (après la cuisinière). Dès 12h10 c’est bondé: des habitués qui viennent depuis fort longtemps et qui dissertent pendant 20 minutes sur une carte qu’ils connaissent par coeur. Ce doit être très bon sauf que je n’ai pas fait le bon choix en voulant goûter le conseil de Petitrenaud: le tablier de sapeur (formule menu). Déçu par mon choix et par l’addition (33.70 €: trop salée alors que je n’ai pas pris de vin). Mais je veux y retourner pour essayer les grenouilles façon «Dombes».

Sur les conseils de Jean-​Luc Petitrenaud j’ai découvert ce bouchon.
Ce doit être une bonne adresse car dès 12h10 c’est complet.
Mais j’ai certainement mal choisi mon menu (je n’ai vraiment pas aimé le fameux tablier de sapeur).
Addition trop salée.

Le Jura est un établissement familial lyonnais où une fils et sa mère font et servent à manger. Le patron est gouailleur, de mauvaise foi et de bon conseil.
La cuisine, malgré le nom du restaurant, est exclusivement lyonnaise, charpentée et goutue. La carte des vins, elle, entre Beaujolais et Côtes du Rhôné, s’éloigne fort peu de nos collines et l’on s’y trouve bien.
A noter que dans ce dense quartier, il y a toujours de la place au Jura.
Si la décoration est quelconque, c’est qu’on est ici sans prétention pour s’y emplir la panse de bons mets le midi entre amis et produits de qualité. Ce qui fait tout de même, ce sera le seul bémol, de sacrées ardoises pour nos porte-​feuilles.

Assez novice en matière de vrais bouchons lyonnais, j’ai apprécié la découverte de cette adresse.
Le décor est très simple mais l’ambiance est au rendez-​vous.
J’avoue né pas être fan des lyonnaiseries habituelles et j’ai été heureuse de manger une morue sauce au beurre citronnée, très réussie. J’ai goûté l’andouillette au vin blanc (avec son gratin) et les ris de veau aux morilles, tout était très bon. Idem pour le vin.
Attention, tous les plats sont préparés à la minute, mieux vaut donc né pas être pressé (compter 20 minutes d’attente pour un plat direct).

Encore un bouchon lyonnais ?!? Non ! Le Jura c’est LE bouchon lyonnais, faisant partie à la fois des Toques blanches et de l’association des authentiques bouchons lyonnais.
Des plats classiques, mais travaillés très justement, par une vraie mère lyonnaise… Pour Le Jura, je dis oui au retour des femmes aux fourneaux ! En plus elle s’appelle Brigitte !
Le gâteau de foie accompagné de ravioles est vraiment terrible, l’andouillette sauce vin rouge ou sauce vin blanc est superbe. Du lyonnais revisité donc, mais pas que, on peut éviter facilement le tablier de sapeur, les tripes et aux autres cervelles au beurre. Une table qui casse donc les préjugés sur cette bonne vieille cuisine de bonne femme…
Côté vins, Beaujolais et Côtes du Rhôné, sans oublier le Montagnieu, vin pétillant du Bugey. Un choix efficace et ancré dans la tradition du bien boire !
La salle est à l’ancienne et on s’y sent bien.
En bref, Le Jura c’est MON bouchon !

Un bouchon lyonnais très moyen
Nous sommes allés manger au Café du Jura le ¹⁸⁄₀₆ avec un groupe d’amis. L’accueil a été correct sans plus, la qualité des plats était très moyenne, trop salé. On trouvait la présence d’os dans la terrine de lapin et l’andouillette n’avait que le goût de la sauce au vin blanc. Bref, restaurant correct sans plus. Je n’y retournerai pas.

En baisse…
La cuisine est toujours aussi bonne mais la carte est devenue simpliste et sans surprise. Où sont passés les riz de veau ou les rognons typiquement lyonnais? Remplacés par une bavette… Quel dommage… Sinon, l’ambiance est toujours la même: sciure au sol, Patronne qui râle, le bouchon lyonnais par excellence!

Malgré le nom, voilà un excellent restaurant dans la tradition des bouchons lyonnais. Belle carte de cuisine traditionnelle et produits d’excellente qualité ! Mention spéciale au diplomate au rhum, voilà un dessert que l’on trouve rarement dans un restaurant.
Un bonne adresse pour se réchauffer et partager de bons moments en hiver. Bravo également pour le conseil en matière de vins et pour la qualité de ceux-​ci.

Un excellent bouchon
Le menu est certes un peu court, mais tout est excellent. C’est de la bonne cuisine traditionnelle, avec une qualité des produits irréprochable et de succulents desserts maison (la tarte au citron meringuée est inimitable !). Le vin au pichet est aussi supérieur à ce que l’on trouve habituellement dans le bouchons. On entend parfois la patronne depuis la salle, mais cela n’est vraiment pas gênant. Cela donne au contraire une ambiance authentique à ce restaurant.

C’est pas du lard, c’est du bouchon
Le Jura n’est pas le seul vrai bouchon de Lyon. Dire que c’est le meilleur donnerait à croire que je fais de la propagande pour la cuisine de ma tante. Alors je me contenterai de résumer ce qu’en disent les personnes que j’y emmèné de temps en temps. Cadre: typique vieux bouchon avec sa sciure, son carrelage, ses boiseries. Il faut aimer le style authentique. Ici pas de déco Starck et cie. Accueil: très variable, Brigitte est souvent d’humeur militaire ! C’est son caractère, mais aussi un rôle que de nombreux habitués apprécient. Il faut le savoir, sinon on peut quitter la table avant d’avoir été servis: ça arrive ! Cuisine: irréprochable, surtout sur les lyonnaiseries bien sûr, mais aussi (et c’est nouveau) sur le poisson. La semaine dernière, une morue à la cuisson parfaite et absolument délicieuse. A né manquer sous aucun prétexte: les pieds de veau avec leur sauce gribiche. (la recette fait partie du fonds de commerce du restaurant !) Addition: il y a quelques années un peu élevée, mais depuis l’euro, les prix ont grimpé de partout sauf au Jura, ce qui en fait maintenant un très bon rapport qualité/​prix sur Lyon. A noter que le patron Henri donne le relai à son fils qui assurera la relève en septembre. Conseil: c’est assez petit donc très vite complet.

Gare à Brigitte
La cuisine est bonne: rien à dire. Le patron est lui aussi bien sympathique. Par contre, gare à la patronne car ici c’est elle qui dirige: ça se voit et ça s’entend. C’est quelque chose à voir à Lyon…

Un bouchon lyonnais…
Une cuisine typiquement lyonnaise et raffinée. Les prix sont tout à fait corrects. Dommage qu’il n’y ait qu’un seul menu, et que la patronne soit si rigide. Dommage aussi que les quenelles et la salade lyonnaise né soient pas proposées !

Tout à fait correct
La cuisine n’a rien d’innovante, c’est bouchon tout à fait banal et typique. Pas un piège à touriste, et la qualité des plats est irréprochable. Les prix sont corrects. Idéal pour découvrir la cuisine lyonnaise, même si c’est le «Jura».

la cuisine de Brigitte
Excellent ! un accueil parfait, la gentillesse du patron et la patronne est géniale, je recommande le st marcellin. Un décor et une ambiance typiques vieux clients je n’ai jamais été deçu.

un bouchon typique
Une cuisine typique lyonnaise au sens large de la région, un patron prévenant, présent sans être pesant, une addition correcte, pas le piège à touristes de certains «bouchons». On y vient et revient en connaisseur de la bonne chair.