Bistro Ferrandière

Dîner entre amis, au Bistro Ferrandière, c’est un vrai bout de France avec des morceaux de foie-​gras dedans.
Une atmosphère chaleureuse et sans chichis ni extravagances; un accueil souriant, un service suffisamment long pour qu’on n’ai pas l’impression que le patron calcule le taux rotation des chaises, mais suffisamment rapide pour qu’on né commence pas à se digérer de l’intérieur en attendant les assiettes.
La carte est curieuse et alléchante. Impossible de résister à un petit moment de décadence (personnes aux régime s’abstenir): ici tout est à base de choses frites ou de foie-​gras… C’est pas moi qui vais m’en plaindre. Au final, mon gratin de ravioles n’était pas le meilleur jamais mangé, mais il est passé tout seul, pendant que certains de mes amis se léchaient les babines autours de leur «Casse-​croûte de Jean-​Mi»: steak haché et foie-​gras poêlé entre deux paillassons de pommes de terre.
Rien à redire sur les desserts gargantuesques, ni sur les pots de rouges et blanc sans fautes, qui ont accompagné notre dîner.
Mon conseil: venir avec un appétit bien aiguisé.

Juste un petit café vers 11h (après la descente de la Basilique ça fait du bien)
Rien de fou, calé en terrasse, musique tranquille à l’intérieur, pas grand monde pour le moment (on est lundi en même temps…)
Pas incroyable, pas nul non plus, je suis juste content avec mon café !

Ce n’est pas l’endroit du siècle, surtout vu la pléthore de restaurants dans ce secteur, mais ce n’est certainement pas le plus mauvais !
C’est forcément un peu cher pour un menu de midi, mais il y a un peu de recherché dans le menu et dans la présentation.
Le cadre est… serré ! C’est tout en longueur (pas de bol pour la table à côté de la porte, par temps froid…), mais il y a une salle au fond et on peut manger au bar.
L’accueil est un peu à l’avenant, dans un esprit «bistrot», mais tout cela reste correct.
L’expérience a été bonne et agréable, et même si elle né me laissera pas un souvenir impérissable, on peut y aller sans crainte.

Un déjeuner entre collègues, on me propose le Bistro Ferrandière. Pourquoi pas? C’est sûr, il n’est pas allé chercher son nom très loin, étant donné qu’il est rue … Ferrandière. L’originalité du bistrot sans t peut être. La pancarte Bouchon sur la devanture nous donne une indication. Mais finalement, les plats du jour n’ont pas grand chose de lyonnais.
Je prends le merlan aux tagliatelles. L’assiette est à 9,8 €. 16 € si vous voulez une entrée ou un dessert. Un peu cher à mon goût pour ce qui nous est servi. La sauce à la crème est bonne, mais le poisson un peu trop cuit et les pâtes un peu sèches. Je me dis que je rajouterai bien une note sucrée mais les 7,5 € du café gourmand m’ont un peu refroidis. On tente quand même une tarte tatin pour 2. Elle est généreuse et bonne.
Pour l’ambiance et le service: la salle est toute en longueur donc pas très fonctionnelle. Un bon point pour l’espace un peu chalet tout au fond ou les tables ont un peu plus d’espace. Pour le service, le patron derrière le bar nous accueille sourire aux lèvres. La serveuse m’a laissée une première impression pas très convaincante (pas un regard en entrant, un bonjour du bout des lèvres), mais c’est finalement rattrapée avec un service efficace.

A la bonne franquette
Enfin un bistro lyonnais, avec un patron très sympa, une assiette bien garnie avec des mets de choix et une addition même pas salée ! Bravo !