Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation

Ce musée m’a littéralement retournée. À éviter absolument les jours de déprime ou si vous êtes vraiment très sensible. Si les expositions temporaires proposées sont parfois tout public et d’une appréhension assez facile, l’exposition permanente est vraiment difficile à faire. La structure du lieu est une métaphore parfaite du contenu du musée. Au fur et à mesure que l’on progresse dans le bâtiment, l’angoisse monte, on se sent prisonnier, on finit même par étouffer, pleurer aussi, devant les témoignages et les documents.
C’est un musée essentiel à faire. Déjà parce que Lyon a été une ville très importante lors de l’occupation, et que ce musée retrace bien évidemment l’histoire de la ville lors de cette période. Mais aussi pour se souvenir, pour transmettre cet héritage lourd.
Pour les plus durs et les plus forts d’entre vous: l’amphithéâtre qui diffuse les témoignages des victimes de Barbie.

Very, very average and all the writing is in french only! Some generic WWII stuff like invasion dates and some short interviews of how people ‘felt’ during the occupation. Like ‘I didn’t feel hungry I felt insecure’ and other vague shite like that. Save yourself the time and go to the African museum.

Bonjour ! je voudrais une grosse claque dans ma gueule, avec chialage et yeux rougis, s’il vous plaît !
Âme sensible, ou baisse de morale, s’abstenir. Le centre d’histoire de la résistance et de la déportation porte bien son nom. Et donc, il fait un peu fuir.
Mais il parle de Lyon, des hommes et des femmes qui ont fait notre histoire, de ceux qui sont morts, pour rien, ou pour quelque chose.
Alors, dis comme ça, ça à l’air chiant, mais en fait, pas du tout.
Laissez-​vous portez par la scénographie qui né manqué pas de surprendre et prenez le temps de voir les témoignages vidéos.
Dans l’amphithéâtre, les insoutenables témoignages des victimes de Klaus Barbie lors de son procès défilent sur grand écran: dur !
L’expo temporaire actuelle «Pour vous Mesdames», plus légère et positive, est à né pas louper pour qui a la curiosité de savoir comment vivaient nos grand-​mères Lyonnaise pendant l’occupation.

Je sais que mon avis risqué d’en faire bondir plus d’un (e) mais il fallait que je le mette définitivement.
Ce dimanche, je suis retournée au CHRD. La dernière fois datant de 2007.
J’ai ainsi pu découvrir les changements effectués au sein du CHRD.
Que dire?
Oui je suis passionnée d’Histoire et principalement de la Seconde guerre mondiale, de l’Occupation, de la Solution finale et j’en passé.
Oui j’ai connu (largement) mieux.
J’y suis allée avec mon amie, passionnée d’Histoire également, et toutes les deux nous avons eu le même ressenti: pas top !
Trop de blabla, trop de vidéos et trop de textes.
Peut être parce que je connais déjà très bien ce qu’il s’est passé mais mis à part quelques babioles sous verre, il n’y a rien.
La reconstitution d’une ruelle et d’une cuisine d’époque est assez originale mais déjà vu au mémorial de la Shoah à Paris.
La reportage sur la libération de Lyon est assez bien construit et digeste pour les moins initiés.
L’exposition temporaire: Pour vous Mesdames … Nulle !
Je n’ai strictement rien appris (peut être juste le vernis fait à base de pellicules vidéos) De plus, les gens sont agglutinés comme des abeilles sur un pot de miel dès qu’il y a un support vidéo et ça rend la visite d’autant plus désagréable.
La visite termine avec l’élocution du Général De Gaulle, édifiant la ville de Lyon comme ville porteuse de l’histoire de la résistance.
Et je conclue en disant: Bof !
Ce musée est mal conçue et très peu interactif.
Pas assez de documents officiels, peu de photographies d’époques et mal agencé. Nous sommes quand même dans les anciens locaux de la Gestapo et il n’y a rien mis à part deux ou trois photos.
On se retrouve très vite agglutiné aux mêmes endroits. Pas de sens pour la lecture de la visite. Il faut deviner.
Bref. Je né me souvenais plus de ma visite en 2007 et je me souviens alors pourquoi. Un musée très peu marquant.

Un musée essentiel à visiter à Lyon ! Je n’y étais pas allée depuis sa rénovation, pas non plus depuis bien longtemps (une visite obligatoire au collège, peut-​être???) et je le regrette vraiment ! J’ai profité de ces vacances pour m’y rendre afin de découvrir l’exposition «Pour vous, Mesdames» sur le thème de la mode pendant la seconde guerre mondiale, et j’ai appris énormément de choses (saviez-​vous que certaines débrouillardes se teignaient les jambes faute de pouvoir porter des bas ??!). L’exposition peut se visiter seule ou en même temps que les collections permanentes (la personne à l’accueil nous a dit de compter 3 heures pour les deux) et vaut vraiment le détour. C’est intéressant, prenant et bien présenté.
Je né vous en dis pas plus, mais pensez y, pour vous et pour vos visiteurs: c’est une belle leçon de mémoiré et d’histoire.
PS: Le musée est compris dans les 6 musées lyonnais auxquels vous pouvez accéder avec la carte des musées de Lyon (20 euros, valable un an pour des visites gratuites et illimitées) et fait aussi partie des musées de la Lyon City Card.

Venue initialement pour visiter l’exposition temporaire consacrée à la mode sous l’occupation, j’ai finalement visité l’intégralité du centre, que je n’avais pas vu depuis sa rénovation.
Je né peux que confirmer les avis donnés par les autres Unilocaleurs sur l’expo permanente…
C’est un lieu qui né peut laisser indifférent. On se sent vraiment tout petit à côté de ces nombreux témoignages de résistants, déportés et autres survivants.
Le documentaire sur le procès Barbie, qui s’est déroulé à Lyon, est vraiment poignant. Les témoignages très dignes de gens qui ont croisé la route de ce bourreau ordinaire donnent des frissons. Quant au sourire narquois de Barbie, il est glaçant. Le film est très bien monté et on sent dans les démarches de ces victimes qui se dirigent vers la barre tout le poids de leurs responsabilités dans le devoir de témoigner.
Dans la salle prinicipale, j’ai été très touchée par le registre des personnes juives françaises déportées: de l’épaisseur d’un annuaire Pages jaunes, on mesure l’ampleur du nombre de victimes. Surtout qu’un écran reprend tous ces noms, qui défilent en continu. On voit notamment qu’il y avait énormément d’enfants…
Les objets fabriqués par les déportés dans les camps et exposés sont également poignants: un chapelet en mie de pain, un jeu de cartes bricolé, des lunettes raffistolées…
Les divers témoignages vidéo en libre accès et très courts relatent des histoires «ordinaires» d’arrestations, d’humiliations qui dépassent l’imagination et on comprend que beaucoup né sont restés en vie que par coups de chance et/​ou grâce à la solidarité.
C’est intéressant d’avoir une vision lyonnaise de cette période: savoir que de nombreux résistants ont été exécutés place Bellecour, qui était Gilbert Dru etc.
Je regrette juste la taille du musée, que j’imaginais beaucoup plus grande. Cela a obligé les organisateurs à faire des choix et à densifier les informations. Du coup, il y a beaucoup de choses à lire et à écouter sur une surface réduite. C’est un peu «dense» mais cela vient sûrement du fait que c’est très intense en émotion et que ce n’est pas un problème d’espace en fait…
En faisant le choix de mettre des objets de la vie courante (je né sais pas si j’avais déjà vu un ticket de rationnement ?), on se sent vraiment concernés, transportés à cette époque et je pense que cela marche bien avec les jeunes. Ceux qui étaient là en visite scolaire étaient très attentifs et très impressionnés.
Un lieu chargé mais pas morbide. A visiter absolument ! Surtout lorsqu’on entend certains discours nauséabonds sur les Juifs, les homos ou les Roms ! Cela rappelle vraiment notre devoir de nous souvenir.
A vrai dire j’hésitais, par peur que «ça me casse le moral», et bien non, ça remet les idées en place et on se prend une bonne dose d’humanité dans la tête, au finalplus forte que toutes les horreurs que l’on voit simultanément…

C’est à force de lire des bandes dessinées d’avions sur fond d’Histoire que, n’y tenant plus, je suis retournée au CHRD. Retournée oui, parce que comme signalé dans les autres avis, moi aussi j’étais venue au collège, puis au lycée et j’ai toujours gardé un bon souvenir de ce musée.
A raison! Quel endroit incontournable! Quel travail énorme de fouille et d’unification, quel endroit douloureux et nécessaire pour notre mémoiré collective, que d’émotions réunies dans un si petit et à la fois si grand bâtiment.
A l’entrée, une exposition temporaire, une fois sur les peuples du voyage, persécutés pendant la guerre, une fois sur un photographe de guerre lyonnais, chaque fois riche et pertinente.
Au même étage, l’Auditorium; salle dans laquelle sont projetés des extraits du procès de Klaus Barbie. Un documentaire poignant, j’avoue moi aussi avoir du laisser couler mes larmes, je né pouvais plus les retenir.
La visite du musée permanent démarre à l’étage par l’histoire du lieu, initialement école de médecine militaire, réquisitionnée ensuite par la Gestapo et devenue enfin centre de torture des résistants. Beaucoup d’éléments, de photos, d’objets ponctuent les informations données, tout digérer en une seule fois semble impossible c’est pourquoi je reviendrai.
Une seconde partie, plus sombre, nous plonge dans une atmosphère très réaliste, des décors, des sons, des objets, nous parlent de cette Histoire que, définitivement, nous né devons pas oublier.
Un lieu d’Histoire, de mémoiré, de témoignages, de souvenirs, un lieu incontournable, un lieu unique chargé d’émotions à visiter et revisiter autant que le demande notre besoin de savoir et notre refus de voir se reproduire un tel massacre.

âmes sensibles s’abstenir !
Ce lieu est, comme un musée, un concentré de savoirs et de souvenirs. Mais le thème abordé est évidemment délicat et assez pesant.
Le centre est très bien fait, bien documenté et vraiment très intéressant. Je conseille vraiment sa visite.
Je conseille aussi, mais pas au âmes sensibles comme moi, sauf si pleurer en public né vous dérange pas, le documentaire sur le procès de Klaus Barbie. Il est projeté dans l’auditorium du centre à horaires fixes et c’est vraiment très intéressant ! Mais également très prenant… Sur les 45 minutes du documentaire, j’ai pleuré pendant 35 ! (et encore au début je me retenais: x)
Un lieu culturel et historique, beaucoup axé sur les actions qui se sont passées à Lyon, à faire au moins une fois.

Un musée qu’il me fallait absolument faire avant de partir de Lyon.
J’ai pas été déçue.
Les extraits du procès de Klaus Barbie avec les témoignages des victimes est juste poignant. J’avoue avoir retenu mes larmes.
La visite de l’exposition permanente est très bien faite. On se balade en lisant les panneaux et en écoutant les témoignages sans voir le temps passer.
On apprends beaucoup et on découvre des objets du passé superbement bien conservé.
Un petit bémol sur le fait que les témoignages soient en anglais et français mais les panneaux seulement en français.

Le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation permet une immersion factuelle et émouvante dans le vécu de personnes, confrontées à des événements historiques. La présentation retenue lors de la réouverture du Musée est extrêmement intéressante, alternant contexte historique, repères du quotidien, témoignages écrits et vidéos, lettres et objets, récit du vécu dans la cité lyonnaise.
C’est notamment émouvant de pouvoir «toucher du doigt» l’ambiance de la ville à l’époque, essayer de sentir ce que pouvait être la vie de nos grands-​parents à l’époque, enfin connaître le Docteur Long, René Leynaud, le Général Delestraint et tant d’autres, qui sont pour nous des noms de lieux.
On en ressort à coup sûr meilleur, par la connaissance acquise bien sûr, mais aussi sûrement par la vibration singulière que le lieu laisse durablement dans sa conscience.
Ce Musée est vraiment d’une grande valeur.

Nous ramèné à la réalité…
C’est un musée à faire surtout avec de jeunes ados de 15 ans, il ramèné à la réalité de la guerre et permet de sauvegarder cette mémoiré pour que les générations futures né recommencent pas.

Trop méconnu
Ce musée trop souvent délaissé est pourtant extrêmement bien fichu, assez intéractif (les décors de certaines pièces sont fantastiques) et l’Histoire (belle et horrible) y gagne ses lettres de noblesse auprès de quelques enfants…

Le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation, ou plus simplement le CHRD, est un lieu dédié à la mémoiré et à la conservation du patrimoine de la riche histoire de Lyon. En effet, Lugdunum a été siège de la Résistance durant la seconde guerre mondiale. C’est à Caluire que Jean Moulin, dit Max, fut arrêté. La Fnac Bellecour que nous connaissons tous aujourd’hui a été pendant un certain temps le fief de la milice.
Il y a des centaines de lieux dans Lyon qui regorgent d’Histoire. Une Histoire qui, au-​delà de l’anecdote, révèle une ville sous un jour nouveau, souvent inconnu, qui pourtant mérite largement qu’on s’y intéresse. Pour né pas oublier? Non, il n’est pas seulement question de devoir de mémoiré, mais de droit à la connaissance.

Ambiance … monacale. Lorsque l’on se rend au Centre de la Résistance et de la Déportation, un monde parallèle s’ouvre sous nos pieds: celui de l’Histoire, la vraie, la cruelle.
En ce moment, c’est le photoreportage de Bruno Ansellem, «Voyages pendulaires, des Roms au coeur de l’Europe «, qui a pris les devants de la scèné au Centre. L’occasion de découvrir en images les périples forts en émotions et en risques des Roms, de la Roumanie démunie jusqu’à leur arrivée en France et plus particulièrement à Lyon, où cette population découvre alors que leurs conditions de vie restent tout aussi précaires.
Bien plus impactant qu’un discours politique sur le devoir de mémoiré, ce Centre garantit une vraie expérience dans le passé. Comme l’a dit un jour un grand philosophe, «quiconque oubliera le passé sera condamné à le revivre «. Vu que je n’ai pas envie de connaître les fours crématoires, je me réjouis de fréquenter le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation en vrai citoyen concerné.

Dans ce musée, le temps s’arrête…Le silence!
Des milliers de photos, de signatures, de noms, de dates qui se reflètent dans votre regard terni. Conscient de pénétrer dans l’univers de l’inénarrable, de ce qui né se dit pas mais se ressent.
La conséquente mine d’informations que cette structure propose vaut le détour ! Leur présentation est parfois fastidieuse pour le visiteur éprouvé par tant d’images, lassé par tant d’horreur.
Mais la visite s’achève, tonitruante, dérangeante, avec la reconstitution d’un wagon de déportés.en mouvement, dans lequel vous pouvez vous immiscer à reculons… quelques secondes, et vous avez compris à jamais le poids de la mémoiré collective.
Moment fort à vivre !

Le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation n’est pas le lieu au sein duquel on s’amuse le plus à Lyon, mais c’est en revanche un des plus forts sur le plan de l’émotion qu’il dégage et qu’il procure au visiteur qui se risqué entre ses murs.
Il a été fondé par d’anciens résistants lyonnais dans cette ancienne école militaire ayant servi à la Gestapo allemande et aux horreurs qu’elle y a commis pendant la seconde guerre mondiale; c’est dire que le lieu est chargé d’histoire.
Il est consacré aux horreurs de cette période que nous connaissons malheureusement tous. Oui, sauf que nous en connaissons tous un peu: chacun en a une idée, vague ou précise.
Ce musée permet de nous restituer l’ensemble de la situation avec tous les paramètres qu’il faut connaître et prendre en compte pour mieux la comprendre. Des images, des vidéos, des textes, des témoignages, des objets sont donc exposés et le visiteur parcourt ces lieux dans un silence religieux tout juste troublé par les images d’archives et les témoignages des survivants et des historiens.
Des expositions y sont régulièrement organisées. Elles portent toutes en elles le même thème: résistance et mémoiré: de quoi nous rappeler si nous l’avions oublié que les horreurs n’appartiennent pas qu’au passé.
Passionnant et indispensable donc.

Si vous avez du attendre d’aller voir La Rafle au cinéma pour savoir ce qui s’était passé pendant la second guerre mondiale, eh bien outré le fait que je né vous félicite pas, il serait grand temps d’aller faire un petit tour au CHRD. Et même si vous savez que cette guerre, ce n’était pas que De Gaulle, des G. I et des nazis caricaturés dans beaucoup de films, allez-​y!
Le parcours principal propose un chemin dans la France du début des années 40 après le couvre feu. On peut entre autre s’arrêter devant la célèbre Affiche Rouge en écoutant Léo Ferré chanter :
«Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent
Vingt et trois qui donnaient le cœur avant le temps
Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant
Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir
Vingt et trois qui criaient la France en s’abattant»
Il y a souvent des expositions, consacrées aux droits de l’homme souvent baffoués, aux réfugiés, aux déportés, aux massacrés des 4 coins du monde.
Aller au CHRD, c’est un acte citoyen!

Le Centre d’Histoire, de la Résistance et de la Déportation fait partie de ces lieux où des générations d’enfants y sont emmenés lors de visites scolaires, où des activités pédagogiques de haut vol leur sont proposés mais pour lesquels on né mesure l’importance que bien des années après…
Situé dans la même cour que Sciences-​Po Lyon mais surtout dans un bâtiment à l’histoire sombre: le jeune chef de la Gestapo lyonnaise, Klaus Barbie, prend possession des lieux en 1943. Les caves de l’édifice, en sous-​sol, servent de cellules pour les détenus de la prison de Montluc soumis à l’interrogatoire.
Aménagées dans les étages, des salles de torture sont destinées à «ceux qui né veulent pas parler».
Le drapeau tricolore qui flotte au vent en haut de son mat au milieu de la cour prend tout son sens.
Le CHRD est très bien fait avec de belles expositions thématiques qui permettent d’éclairer un pan de notre histoire.

” Si les ricains n’étaient pas là, nous serions tous en Germanie «, chantait Sardou. Oui, mais Lyon a aussi son histoire propre. Résistance ou collaboration, héroïsme ou barbarie, impuissance ou indifférence, une visite au CHRD né laisse jamais indifférent. Qu’aurais-je fait, moi, à cette époque? Dans quel camp, vers qui me serais-​je tourné? Cela peut-​il se reproduire? Qui étaient ces illustres inconnus qui sont morts pour la liberté, contre l’oppression ?
Mais le centre est aussi un lieu où l’histoire se conjugue au présent. Droits de l’Homme, Tchétchénie ou Cambodge ont récemment fait l’objet d’une exposition…

Un témoignage émouvant
C’est un endroit où il faut absolument aller. Au fil des images et des documents on se replonge dans l’histoire de notre pays. C’est un témoignage émouvant, on né ressort pas indemne de cette visite. C’est vraiment un endroit passionnant et qui mérite le détour!

Emouvant et richissime
Quand on a envie de prendre un moment pour s’arrêter sur notre passé malheureusement triste de plusieurs années de guerre mondiale, il est fort intéressant de se pencher sur ce Centre — Musée qui vous rend humble et si ému. N’ayez pas peur de lire les résumés, article, visionner les nombreuses photos et mettez-​vous dans l’ambiance des discours de nos dirigeants de l’époque et des interviews d’anciens résistants Français pour palper la vie que nos ancêtres ont pu connaître. Prenez le temps de visiter ce lieu.