Interpol

En fait, je né comprends pas bien pourquoi on né mettrait pas toutes ses étoiles à Interpol.
Interpol, c’est de la veille 24/​24, 365 jours par an, à travers le monde entier, dans plusieurs langues. C’est aussi diverses bases de données (empreintes digitales, passeports volés, véhicules volés, fugitifs, personnes disparues…) que les antennes nationales d’Interpol peuvent utiliser comme elles veulent. Concrètement, en France la Police, la Gendarmerie et les Douanes sont équipées, mais dans d’autres pays (parmi les 190 états membres du réseau), seuls les bureaux locaux d’Interpol y ont accès et relaient l’information.
Non, à Interpol, il n’y a pas d’agents justiciers qui interviendraient où bon leur semble, mais un grand nombre d’experts en tout genre disponibles à la demande des gouvernements.
Non, Interpol n’est ni en concurrence avec les Nations Unies, ni avec Europol, l’idée étant précisément de permettre à l’information de circuler car si les criminels né connaissent plus de frontières, les forces de l’ordre, elles, ont du mal à s’en défaire.

Née en 1923, Interpol est l’une des plus anciennes organisations internationales et comprend aujourd’hui 188 pays membres (sur 195).
Comme la plupart des organisations inter-​gouvernementales, Interpol se heurte à la difficulté d’harmoniser les politiques des États en matière de criminalité internationale (drogue, blanchiment d’argent, terrorisme…). Son rôle se limite donc surtout à faciliter la communication entre les différents services de police en cas de litige entre deux, ou plusieurs pays (ou par exemple à identifier la provenance et le nom des victimes lors d’un crash aérien).
Basée à Lyon depuis une vingtaine d’années, cette OIG dispose d’annexe régionales réparties entre l’Afrique, l’Amérique du Sud, et l’Asie, mais elle est largement concurrencée par Europol, son homologue européen, basé aux Pays-​Bas.

Ben ouais les gars ! On a quand même le siège d’Interpol à Lyon et ça c’est la classe !
L’Crganisation Internationale de la Police Criminelle (or International Police in english) a quitté Saint-​Cloud en 1989 pour investir la Cité Internationale, sur les quais du Rhôné.
Et que la deuxième organisation internationale après l’ONU se trouve, dans notre belle ville, à proximité d’un hôtel Hilton, d’un UGC, d’un musée d’art contemporain et d’un casino, je trouve ça vraiment classe…