Les Nouvelles Subsistances

A l’occasion du festival «Week-​End sur Mars» nous avons été voir une pièce de théâtre au coeur des Subsistances. Bien que la pièce en elle-​même nous ai laissé pantois, le lieu lui parait avoir un grand potentiel.
J’adore ces lieux qui sont réinvestis aux fils des siècles par des populations aussi diverses.
Je guetterais les prochaines programmation afin de le découvrir sous un autre angle. En été ça doit être vraiment très agréable.
Affaire à suivre

C’est aux subsistances que «les Gueules de Lyon «organisent leur guinguette gasteonomique annuelle. Je m’y étais déjà rendu l’année passée, j’y suis retourné cette année, et j’espère bien remettre ça l’année prochaine ! Mais je dois avouer que je n’ai pas encore eu l’occasion d’y assister à d’autres spectables…
C’est un lieu très agréable, et la cour intérieure surmontée d’une grande verrière est parfaite pour y organiser ce type de manifestations: les grills sont comme en plein air, mais en cas de pluie tout serait couvert. Et il y a plein d’espace disponible, dont une partie aménagée en salle de jeux pour l’occasion.

Je me suis rendue pour la première fois dans cette salle dans le cadre d’un concert.
Né connaissant pas du tout l’endroit auparavant, je me retrouve dans un lieu spacieux, extrêmement beau, et surtout avec un personnel et une organisation juste fantastiques.
La scèné était sous la verrière, ce qui donne ce petit côté moderne, et la sensation d’être en plein air était juste parfaite ! De nombreux bars sont mis en place lors des évènements, avec des bières pas chères (beh ouep c’est important!)
Totalement conquise, j’espère y retourner prochainement, en plus d’être fan de l’ensemble architecturale, la programmation est très diverse et surtout, capable de s’adapter à tous les goûts.
Petit bémol, l’endroit étant un poil excentré, pas forcément pratique de s’y rendre en transports en commun, avec des bus qui passent à de looooongues intervalles d’écart!
Mais bon, c’est cool de s’y rendre à pied depuis les terreaux, et profiter de la petite balade sur les bords de Saôné!
En espérant y retourner !

Je me suis rendue pour la première fois dans cette salle pour voir deux pièces de danse contemporaine («Les yeux ouverts» et «Trois décennies» de Thomas Lebrun, très touchantes !).
Je né connaissais pas du tout l’endroit, et les personnes que je devais retrouver était rassemblées près du restaurant. J’ai pensé que la salle devait être sur le même modèle, un peu mignon… Quelle né fut pas ma surprise quand il fallu entrer dans cette espèce de hangar ! La salle, bien que très haute, n’est pas très grande; intime, je dirais. Mais cela n’a absolument pas nui au spectacle.
A l’entracte, nous avons été mis dehors par les organisateurs, mais en contrepartie, du vin chaud nous attendait !
Finalement, je né retiendrai qu’un seul défaut à cette salle: un peu éloignée de tout, elle n’est pas directement accessible en transports en commun (à part un bus qui passé toutes les 45min…).
J’espère y retourner à l’occasion pour voir d’autres types de spectacles !

Les Subsistances, c’est un lieu avec du caractère, du sens et de la folie !
D’abord, l’ensemble architectural a de la prestance. Quand on sait que tour à tour, les nonnes, les militaires et les artistes ont investi les lieux, ça donne à imaginer un mélange explosif si on les réunissait tous ensemble un soir !
La programmation est éclectique au possible mais également exigeante: du cirque moderne, du théâtre expérimental ou moderne, de la danse, des spectacles pour enfants, des concerts (notamment lors de la fête de la musique), des happening culinaires et artistiques (les Assises du roman) etc. J’y ai vu quelques spectacles de très bonne qualité à des prix très accessibles.
Et puis, une belle terrasse, un restaurant sympa où on peut manger pour pas cher (snacking avec des barquettes de chili ou de pâtes à 5 € si mes souvenirs sont bons) ou des assiettes plus tradis, un brunch semble-​t-​il très chouette et varié, une librairie avec un grand choix d’ouvrages sur le spectacle vivant.
C’est aussi un laboratoire d’idées, une résidence pour les artistes et les compagnies. Bref, ça bouillonne tout le temps dans ce lieu. Bien qu’excentré, le lieu reste accessible (arrêt de bus pas loin et métro à 10min). J’aime, j’aime.

Les Subsistances sont un lieu polymorphe, qui s’adapte et varie en fonction des évènements qui l’animent. Le lieu est beau, spacieux, plutôt pratique d’accès même s’il peut sembler excentré sur le papier, bref un lieu que j’aime beaucoup et qui a le mérite d’une programmation osée et pas banale, entre musique, danse, art contemporain, littérature…
Mon seul regret est de né pas y aller plus souvent ! Mais maintenant que j’ai découvert tout le potentiel du brunch des samedis (bientôt) et dimanches matin, cela devrait changer !

J’y suis allé vendredi soir dernier pour voir le spectacle «Fauves «de Michel Schweizer. C’était vraiment très bien, comme tout ce que propose les Sub j’ai l’impression. En fait je n’ai jamais été déçu en allant assister à un spectacle là-​bas. Et ce qui me plait vraiment, moi qui cherche toujours les bons plans, c’est que ce n’est vraiment pas cher.
Pour «Fauves «c’était 5 € l’entrée. C’est vraiment pas cher pour un spectacle assez long (1H45) et de qualité ! Cette fois j’ai dû venir tôt avant le spectacle parce qu’il n’y avait plus de places «réservables «par téléphone. Dans ce cas, si un spectacle vous fait envie et que vous né pouvez pas réserver il faut venir une demi-​heure avant le spectacle devant la salle où ça a lieu et vous achetez votre billet au guichet. Ce n’est pas plus cher qu’à la billetterie et il reste toujours entre 5 et 10 places pour les retardataires comme vous et moi.
Pour être sûr d’être le premier au guichet et d’avoir une place, je suis arrivé presque une heure avant le début du spectacle. Heureusement pour patienter on peut toujours aller au bar des Sub prendre une bière avant de se poster devant le guichet. Le temps à attendre paraît moins long un verre à la main.

Qui né connaît pas les Subsistances, institution culturelle de Lyon qui héberge les artistes, présente des spectacles de musique, de danse et de théâtre dans l’air du temps ?
En plus d’une programmation toujours léchée, les Subs sont en soi un lieu de haute architecture, un ancien couvent mêlant vestiges militaires et vieux hangars désaffectés.
Fin septembre, aux Subsistances, c’est un énième remake d’Hamlet de Shakespeare, par le brave et innovant metteur en scèné David Bobée, qui y retentira, plus moderne que jamais.

Les Subsistances, c’est une sorte de rubicube culturel qui regorge de nouvelles idées créatives dans un lieu magnifique de 22 000 mètres carré !!! Avant tout, c’est le haut lieu des résidences d’artistes de spectacle vivant (danse, théâtre…) triés sur le volet par l’équipe organisationnelle.
Il y a quelques années, je pensait que le lieu né subsisterait pas longtemps face à la concurrence des théâtres, et des salles de concert de Lyon. Un lieu voué à sombrer que la ville de Lyon né sauverait pas.
Et, puis c’est le contraire. Les «Subs» subsistent, et même persistent et signent en proposant de nouveaux festivals tout au long de l’année (Percussions Brésiliennes, Nuits Sonores, Rencontres Internationales, Rétrospective théâtrales…). Le tout réparti dans différents espaces qui rendent ce lieu si unique (notamment la Verrière…).
Par contre, je né suis pas fan de leur site Internet, on né comprend pas très facilement la programmation des évènements à l’affiche.

Les Subs ! Encore un endroit génial à Lyon ! Alliance de modernité et de super modernité !!! Non vraiment, c’est un lieu à voir absolument. D’abord, il s’agit d’un lieu de résidence pour artistes, on y monte de très bonnes créations et on y montre des spectacles d’un peu partout. Pluridisciplinarité serait le maître mot. Ici se côtoient circassiens, musiciens, théâtreux et hybrides en tous genres.
Ensuite, le site est tout à fait spécial. Situé à la place d’un ancien couvent et de bâtiments militaires du XIXème siècle, les salles sont des hangars investis en salles de spectacle ou de création. On y trouve aussi une vaste salle d’exposition.
Et si le théâtre contemporain et ses dérivés né vous branchent pas mais que vous voulez quand même mettre les pieds dans ce haut-​lieu de la culture lyonnaise, vous pouvez venir prendre un brunch le dimanche au Restaurant des Subsistances, avec vue sur la Saôné!
De quoi vous redonner envie de visiter les salles obscures !