J’adore les gâteaux basques donc j’en ai dégusté pas mal dans ma petite vie de gourmande et ceux proposés par Gato Bask ont remportés mes faveurs! Plutôt inconditionnelle de la recette classique, je me suis laissés tenter par les autres saveurs: citron, crème beurre salée. Ben tout aussi délicieux les uns que les autres. Les differents formats sont pratiques, pas trop cher et en plus l’accueil est sympa!
Vynie C.
Rating des Ortes: 5 Mérignac, Gironde
J’ai mis du temps avant d’oser pousser la porte et j’y retournerais avec plaisir ! J’ai acheté un gâteau traditionnel pour la famille, on s’est bien régalé, j’aurais bien voulu qu’il soit plus gros ! J’ai aussi acheté un parfum plus original chocolat poire en gâteau individuel, c’était super fondant, un délice. En résumé il y en a pour tous les goûts et occasions !
Christelle Q.
Rating des Ortes: 4 Bordeaux
Ponctuation Proustienne dans un élan de panique. Inconscience du jour: Bonjour ! Hier, 16h30, j’enfourche mon vélo. Direction Mérignac. Vent et froid bravés, j’arrive vers la zone commerciale, sans lumière ni fabuleux gilet jaune. Viens d’assister à un accident de scooter. Je rebrousse chemin. Je tiens à ma vie, le dentifrice attendra ! Il fait nuit et froid. Tout le monde rentre chez soi. Entre deux manœuvres, j’aperçois la devanture verte et rouge du Gato Bask. Scintillante. Étincelante. C’est mon étoile du Berger ! Le moment«madeleine de Proust», c’est maintenant ou jamais. Crissement de freins, pied à terre PAF ! Pas le temps de me poser à une des tables pour prendre un café. Parmi tous les produits(conserves, vins, jus), j’opte pour la simplicité: petit gâteau basque, 4 – 6 parts, nature. J’aligne les 10 € 50. Et avec la carte, pour dix gâteaux achetés, le 11e est offert. Le goût de la madeleine a son prix. Mais rien né vaut l’émulsion de souvenirs qui s’y associent: Papi, Mamie, Anglet, Noël en famille, le Sud, l’accent, la petite colline d’en face, la courte paille avec les épines des pins… rah, ça sent bon la pinède, ces vingt-et-quelques années de souvenirs ! Je sais pas si c’est pour le déguisement, en tout cas il avait de la farine encore sur les joues. Merci et au-revoir, monsieur qui fabrique ces douceurs. J’étais contente d’être en vie pour déguster ce Gato Bask !