Aïda

Ma plus belle expérience dans un restaurant. Ce lieu est hors du temps, intimiste, secret, authentique, et très très cher. Pour vous dire c’est une des seules fois où j’ai eu des scrupules pour prendre une photo du lieu. L’on a l’impression d’entrer dans un univers secret et je né donnerai volontairement pas trop de détails pour vous laisser découvrir. C’est un japonais étoilé qui vaut la peine, surtout si vous êtes en rendez vous amoureux. Foncez, si vous avez gagné au loto. Et surtout, testez y le saké, qui n’a rien à voir avec ce que l’on peut vous servir dans les japonais de quartier. Exceptionnel.

En découvrant qu’Aida n’était affublé que d’une seule misérable étoile en raison d’une évaluation laissée par touriste américain dont l’ami est tombé malade (bien prompt à jeter l’opprobre sur le chef), il m’est apparu indispensable de réparer cette injustice.
En résumé, Aida c’est certes cher mais c’est une expérience exceptionnelle! Une aventure — cela en est une — que l’on n’oublie pas.
Aida, c’est une perle rare, un écrin confidentiel de quelques couverts dont on souhaite qu’il le reste. Tenu par Koji Aida, ce virtuose du Tepan a réussi à me procurer une émotion gustative que je né n’avais pas ressenti depuis fort longtemps (mon palais à de quoi comparer avec «quelques» autres tables de tous horizons). Il pratique une cuisine audacieuse, entre l’Europe et le Japon, entre la terre et la mer, entre classicisme et modernisme.
Une soirée chez Aida, c’est d’abord un plaisir des yeux: si vous êtes au bar (recommandé), la cuisine est exécutée devant vous avec une impressionnante dextérité. Aucun geste superflu, tout est maîtrisé, voir calculé mais sans le show-​off que l’on retrouve dans d’autres Tepanyaki (Aida, c’est l’anti-Benkay)
Une soirée chez Aida, c’est aussi un voyage gustatif, tant sur les texture, les saveurs que les associations inattendues. Chaque soir renouvelée, avec toute la prise de risqué que cela comporte.
Une soirée chez Aida c’est enfin la nécessité d’accepter le principe du menu omakase (surprise, pour faire simple) et cela peut né pas plaire à tout le monde. L’on peut tomber sur un met que l’on n’apprécie pas, une association de saveur qui né fonctionne pas… c’est le jeu, mais le repas se compose de suffisamment de plats différent pour que l’on se rattrape si jamais cela arrivait.
En bref, des mots n’arriveront jamais à expliquer les émotions vécues chez Aida. il faut y aller et se forger son propre avis.
Avec qui? à 2, en amoureux
À noter: une très belle carte de vins de bourgogne (pas donnés)

Un cadre minimaliste pour une cuisine haute en couleurs et saveurs, on est au Japon. Le meilleur restaurant japonais de Paris. Penser à réserver car il faut compter un bon mois pour avoir une table.

I’m sorry, but this place will have a bad review. First of all. my friend got sick and intoxicated by something here, no doubt. The greatest trick that you can get in a restaurant in the world. It wasn’t that bad at the moment. but the problem was the food poisoning. After that what good things can you write about a place? The place was too quiet. Maybe it’s interesting to see a tepanyaki show at the bar, but it was too quiet, too ceremonial. The flavor were very soft. I don’t know man, ii didn’t like it. The worse is that i found it in Zagat as the best japanese in Paris. The lesson: Don’t eat japanese food in Europe. Better find local food and it will be much better. I feel so bad after taking my friend to Aida, the poor man had to fly next day to Istanbul with intoxication from this superb tepanyaki. Sorry Aida. A total disaster. Super expensive by the way. Don’t even think about it.

Adresse japonaise exceptionnelle. Evidemment, c’est cher, mais c’est une telle expérience culinaire…
Le chef prépare ses plats devant vous, avec les produits du jour, et selon son inspiration. Et c’est un régal, tout simplement merveilleux.
L’expérience aurait confiné au divin sans le désagrément causé par cette table de 3 convives terriblement sonores (leurs voisins immédiats ont demandé à changer de table au bout de 5 mn) étalant leurs succès financiers et s’écoutant affreusement pérorer. Mais bon, le restaurant n’y est pour rien, c’est tellement dur de définir une politique anti-​ploucs ! :-)

Exceptionnel
Un seul mot: exceptionnel. Menu kaiseki /​teppanyaki de dix ou douze (on né sait plus…) plats, tous incroyables, du foie gras sauce miso au tartare de veau et noix de saint-​jacques en passant le bar/​patate douce en soupe et le homard breton en teppanyaki… Le meilleur japonais de Paris à mon sens. Evidemment, tout cela a un prix — horriblement élevé (menu à 140 euros, rien en dessous…), mais qui vaut le voyage et la qualité des ingrédients. La plupart des 15 places sont au comptoir (et au spectacle donc), bien préciser vos préférences.

Parfait
Quelle agréable surprise en entrant dans ce joli lieu. La soirée fût magique en découvertes gustatives. Service très attentionné et de qualité irréprochable. L’addition est largement justifiée.

Franchement délicieux
Cet endroit est reposant et intime. Le personnel du lieu est d’une gentillesse incroyable et serviable. Le menu proposé vaut largement son prix. Je conseille ce restaurant sans hésiter.

Cela faisait longtemps que j’avais envie d’y aller.
Le cadre est minimaliste et c’est un euphémisme mais quel délicieux dîner.
Plus de dix plats ou se succèdent couteaux, sushis excellents (un au maquereau notamment), petits plats succulents (veau et coquille st jacques tranchés et marinés ensemble par exemple) et teppanyaki de turbot et de boeuf parfaits. jusquà la glacé fraise/​avocat qui fut une heureuse surprise.
L’étoile Michelin est indiscutable.
Beau choix de saké et carte des vins bien conçue.
Restaurant intime aussi car dix places autour du grill de préparation et deux tables seulement… donc réservez.
C’est cher mais comme tout restaurant étoilé à Paris. Aïda propse un choix entre deux menus, l’un à 140, l’autre à 160 euros, dans les deux cas hors boisson.

Pur
Une adresse rare et cachée, une frequentation tres asiatique, une ambiance feutree (nous nous sommes retrouvés dans une piece seuls, assis par terre… rigolo). Le menu? Copieux, les saveurs sont originales, tres pures. Les plats sont cuisinés je né sais comment pour respecter à ce point le produit, c’est inoui… Les plats sont délicieux. On né s’en lasse pas. Le service est d’une prévenance rare… mais mon dieu où suis je? on a l’impression d’etre dans du coton… Le repas se fini avec du boeuf façon chauteaubriand… exceptionnel! Attention, peu de choix le soir, c’est forcement un menu… Seul regret, etre à l’écart du chef à l’oeuvre…

Nous avions entendu parler de Ce restaurant quasiment impossible a trouver par hasard dans les termes les plus élogieux.
Et il faut admettre que, même si les prix né sont pas abordables par tout le monde (Seulement deux menus Omakasé, surprise, à 140 et 195EUR, sans boissons), Aïda est probablement le restaurant japonais le plus raffinné de Paris.
Nous avons eu le plaisir de voir se succéder 14(!!) plats, tous aussi créatifs et parfaitement exécutés, avec une précision et une délicatesse tant visuelle que gustative assez exceptionnelle.
Un sans faute pour ce restaurant donc Il mérite clairement son statut de premier restaurant japonais étoilé au Michelin.

Un Japonais étoilé Michelin. C’est formidable. On a apprécié dles différentes saveurs et le chef plein de délicatesses. On a profité des teppanyaki accompagné de bourgognes bien choisis.

Un super petit resto japonais
Comme son nom né l’indique pas, Aida est un resto japonais tout petit à la cuisine très réussie mais aux tarifs très élevés (minimum 100 euros le soir à la carte). La viande et les poissons sont de très bonne qualité et on apprécie de voir le chef faire sauter les ingrédients sur la plaque chauffante. Les sushi et sashimi sont délicieux tout comme la soupe miso. C’est petit mais on né sent pas trop serrés, ambiance typiquement japonaise de classe (7ème oblige).

Ouahouuu !
Un vrai délice du début jusqu’à la fin ! Il n’y avait ce soir là que des japonais dans ce petit restaurant et cela nous a rassurées :) Le personnel est d’une gentillesse deconcertante et les plats sont fins, frais et c’est une explosion de saveurs qui vous attend :) Le seul hic reste le prix, le menu est à 90 € je crois le soir donc impossible pour moi d’y aller tous les jours ;)

Un air de soleil levant
Au détour de quelques rues sombres, nous avons enfin atteint notre but: ‘AIDA’. Il est vrai que la rue n’est pas très passante, et que la façade n’est pas des plus voyantes par rapport à tout ce que nous voyons des habituels restaurants japonais. Mais là, des la porte passée, on se sent transporté loin de cette ruelle sombre et froide. La décoration est sobre. Murs blancs mais bar rouge. La salle est petite (guère plus d’une vingtaine de couverts) et l’atmosphère est intimiste. Le serveur nous installe au bar devant les plaques de cuisson servant à la préparation des traditionnels Teppanyaki. Après quelques instant pour nous habituer à cette ambiance feutrée (et au prix des vins !), nous nous mettons à l’aise et commençons à savourer notre repas fais de saveurs souvent inconnues mais très raffinées. Passant du foie poilé sur radis blanc au Chateaubriand grillé aux amandes via une soupe d’algue… les plats se suivent et né se ressemblent pas. Nous profitons du spectacle offert part le chef pendant la préparation des mets. Un délice ! PS: âme sensible, évitez de prendre le homard qui vous est présenté vivant avant d’être préparé devant vous. (mais c’est un régal)

La saveur des aliments à l’état pur
Une toute petite rue sombre du 7ème arrondissement, un tout petit restaurant (tout juste quelques tables)… mais une grande cuisine ! J’ai testé le menu Teppanyaki à 68 euros: parfait, le supplément homard de 40 euros né s’impose pas car tout ce qui précède est fabuleux: épinards au yuzu (un agrume au parfum mandarine citron), sashimis (bar, thon, maquereau + wasabi préparé devant vous… unique), bouillon avec foie gras poêlé et radis blanc, galette de pommes de crevettes sur galette de pomme de terre sauvage, faux filet et ail grillé avec sauce au sésame, soupe miso, riz au bar, salade de cresson miniature et pour finir… une petite crème au sésame servie avec un chou à la crème miniature au gingembre. Maintenant à vous de juger !