Centre de Formation Thierry Lothmann

Voulant passer d’un solide brun à du blond platine (oui on a parfois des idées saugrenues), je suis allée au salon Thierry Lothmann sur les conseils d’une amie.
L’endroit est spacieux, propre, agréable. On m’a proposé un café dès mon arrivée, l’accueil est courtois.
J’ai eu dès le début un bon contact avec la coiffeuse, Jessie. Elle n’a pas essayé de me décolorer le crâné directement et a prôné au contraire une approche en douceur, avec un éclaircissement progressif sur plusieurs séances. Alors certes, c’est à l’avantage financier du salon, mais aussi à celui de mes cheveux! La spécialité du salon est de travailler un blond patiné, avec des racines faites en nuances afin de né pas se retrouver avec une grosse démarcation entre les cheveux qui repoussent et ceux qui sont déjà décolorés. Jessie a réussi à me faire un très beau blond, et je né suis pas obligée d’y retourner toutes les trois semaines (j’y vais maintenant une fois tous les deux mois à peu près). Elle est vraiment serviable et à l’écoute de ce que je demande.
Pour ce qui est des tarifs, on est à peu près dans la moyenne haute des salons parisiens (shampooing + balayage nuances + soin +brushing = 120 euros), mais pour moi un travail sur la couleur d’une telle qualité vaut vraiment le coup d’investir un peu. Je né vais plus que dans ce salon depuis deux ans !
Seul petit bémol: ils sont souvent un peu en retard, mieux vaut prévoir de la marge si on veut procéder à des soins ou des couleurs qui prennent déjà du temps.

J’y suis allée il y a quelques années. Il y avait une formule à 35EUR pour une coupe + brushing
Le salon est plutôt agréable. L’accueil courtois.
La coiffeuse était compétente mais communiquait le moins possible avec moi. La coupe était fidèle à ce que j’avais pu demander
Par contre, je n’ai pas aimé leur politique concernant les soins. Elle m’a fait un soin pour les cheveux sans me prévenir. Du coup, je suis ressorti avec 6EUR de soin supplémentaire à payer
C’est un salon de coiffure sans âme et cher
Je n’y ai plus jamais remis les pieds.