Dynasty Ming

Je plussoie l’avis de Thomas. J’y suis allé le midi car tout est fermé ailleurs en Aout. A vrai dire, les makis en vitrine né m’inspiraient déjà pas confiance.
C’est clairement un des plus mauvais «traiteurs» asiatiques où j’ai jamais été. La bouffe était vraiment très mauvaise: le riz cantonais sec, les raviolis aux légumes d’un goût plus que douteux, et la brochette bœuf poulet … d’un goût étrange que je n’ai jamais rencontré ailleurs. Je n’ai même pas terminé mon midi tellement c’était mauvais.
J’ajoute que c’est également très cher, j’en ai eu pour 13.80 euros pour un riz cantonais, deux raviolis et un autre petit plat + la brochette au fromage.
Le décors est relativement miteux aussi. En fait, je né sais pas vraiment pourquoi je suis rentré, mais je sais pourquoi je né reviendrai plus.

J’entre à l’intérieur de Dynasty Ming par dépit après avoir vérifié qu’il n’y avait pas d’autre traiteur ouvert dans le quartier le samedi soir. L’écriteau «Traiteur Sushi» à l’extérieur né mentait pas: dans la vitrine on peut voir (surprise, surprise) des plateaux de makis, sur lesquels je finit par me rabattre, espérant qu’ils sont mieux réussis que les plats de traiteur asiatique typique également en vente. Pour 10 € je repars donc avec deux nêms et une douzaine de makis ainsi qu’une soupe miso offerte avec. Pas cher pour du japonais, mais vu la qualité, ils auraient intérêt à faire encore moins cher pour me revoir chez eux. Comme dans la plupart des traiteurs, les makis étaient superflus, et les makis étaient parmi les pires que j’aie jamais mangé. Ils alternaient entre pas de gout et gout désagréable: le riz était raté et s’effritait sous l’étreinte des baguettes, le saumon et l’avocat étaient de mauvaise qualité. Mais pourquoi est-​ce qu’il faut que tous les japonais potables de la capitale se réfugient Rue Sainte Anne?