Service exécrable! Tu passes ta commande bien avant la fin de la HH, le mec né revient jamais puis te dit«ah j’ai oublié donc plus de HH!». A la fin il te montre une note de 35,80 €(donc il y a bien 2 verres dont le prix finit par 0,90 €) puis te demande de payer ces deux verres plus cher que que ça! tout en n’acceptant pas de te donner la note pour regarder le détail. Bref, passez votre chemin. Le quartier regorge de bars qui servent de la heineken et de la grimm au même prix et moins cher. Il n’y a aucun intérêt à venir ici, sauf si pour se faire arnaquer.
Jean-Michel A.
Rating des Ortes: 2 Marseille
La bière est vraiment sans plus, le welsh que j’ai commandé ressemblait plus à une soupe qu’à autre chose. Je né suis vriament pas sur de leur laisser une deuxième chance.
Shanon
Rating des Ortes: 3 Paris
Sympa sans plus Un super concept à la base, le sevice est bien, mais on ressort le portefeuille très allégé avec le ventre qui gargouille encore.
Alexander L.
Rating des Ortes: 4 Port Huron, MI
Good beer! Higher prices at tables vs bar apply — € 0.50. Atmosphere is nice and the staff was very helpful. Recommend.
Omid T.
Rating des Ortes: 1 Paris
Beer & food by people who probably don’t like beer & food. //La bière et la restauration faites par les gens qui n’aiment pas l’un ni l’autre. [English version below] En tant qu’amateur de la bière, je suis très heureux de voir que la bière est devenue une tendance à Paris. Grâce aux efforts des cavistes et bars à bières artisanales, les parisiens apprennent au fur et à mesure qu’est-ce qui est la bonne bière et qu’elle va bien avec la bonne bouffe ! Malheureusement quand quelque chose devient tendance, il y a aussi les diplomés d’écoles supérieurs en affaires ou truc et machin qui veulent y profiter. Donc même si l’ouverture d’un concept comme French Beer Factory signale un secteur de la bière qui commence à grandir, c’est aussi un avertissement qu’il y aura une vague de la merde sur-commercialisée à venir. Tout d’abord, French Beer Factory est beau. Le décor est joli(si un peu trop commercial) et les anciennes photos sont amusantes — mais peut-être pas pour les bonnes raisons. Par exemple, aucun amateur de la bière mettrait une photo d’un camion de la bière Blatz sur le mur, sauf pour être ironique ou pour proclamer l’amour de l’eau de pisse. C’est pas à dire que la bière chez FBF est de l’eau de pisse. Au contraire ! C’est évident le moment que tu dégustes la «blone» ou la «ambrée» ou la «brune» que la bière, faite sur place, est techniquement bien brassée. Mais au delà de la nomenclature tout à fait inutile(la couleur n’a quasiment rien à voir avec la bière…) cette bière manqué de l’âme et de la profondeur. C’est tout à fait brassée par instruction, pas différente que la bière qu’on trouve dans la partie du rayon de bièrte au supermarché qui n’est pas forcément brassé par les groupes Heineken ou Carlsberg. La seule exception est la bière «spéciale» — à ce moment une«pure American IPA» qui a plutôt le goût d’une tisane de potpourri qu’une vraie IPA houblonnée. Alors, au moins il y avait du caractère ? La bouffe suit la même piste: Tout est évidemment de la bonne qualité et bien cuit(franchement j’ai bien aimé les frites) mais il y a une note monotone dans chaque plat. C’est fatiguant pour le palais de manger un burger ou une flammenkueche entier sans âme, et la seule façon de créer un peu de variété est de picorer la bière pas terrible. Alors, la seule chose qui mérite cette étoile solitaire est le service — c’est chaleureux, professionnel, et tout à fait pas parisien ! Peut-être si cette équipe pourrait servir quelque chose dont les propriétaires sont vraiment passionnés et même à laquelle ils sont compétents, ils auront un bon concept. Mais pour l’instant ce n’est qu’une fausse bonne idée. // As a beer enthusiast, I’m overjoyed to see that beer has become a «thing» in Paris. Thanks to the efforts of specialty cavistes and craft beer bars around the city, Parisians are learning that there is such a thing as good beer, and that it can be appreciated with good food. Unfortunately, when something becomes a trend, along comes every well-financed MBA who wants to make money off of it. So while the opening of a place like French Beer Factory signals that the beer scene is coming into its own, it’s also the dreadful harbinger of the wave of over-commercialized garbage that is yet to come. At first glance, French Beer Factory seems pretty cool. The décor is well thought-out(if extremely corporate) and the vintage beer photos are entertaining and amusing — albeit perhaps not for the right reasons. No actual beer lover would put up an old picture of a Blatz beer truck, lest they were into irony. Or stale pisswater. Which isn’t to say that FBF’s beer is stale pisswater. By no means! You can tell from the first taste of their«blonde» or «amber» or «brown» that their beer, brewed on site, is technically well made. But beyond the ultimately useless labeling-by-color, the beer also completely lacks soul or depth. It’s strictly brew-by-numbers beer, which may as well come from that small part of the supermarket beer shelf where you see organic yet mass-market French brews that aren’t made by Heineken or Carlsberg. The exception is their«special» beer — at the time of this tasting a «pure American IPA» that tastes more like an infusion of potpourri than a proper hoppy IPA. So, uh, at least it had character. The food seems to follow the same theme: Everything appears to be well-sourced and properly cooked(I’ll admit I really enjoyed the fries), but it all strikes one, monotonous note. You simply get palate fatigue trying to get through a burger or a flammenkueche, and the only way to alleviate it is by taking a sip of not-so-amazing beer. One saving grace, and the one star French Beer Factory has earned, is in the service — it is friendly, professional, courteous, and remarkably un-Parisian. Perhaps if this team could simply serve something the ownership actually is passionate about and maybe even good at, they’d have a good concept. For now, it’s just another lame cash-grab.