Prônant la démocratisation de l’art, Lélia Mordoch ouvre sa première enseigne en 1989 avec l’idée de faire avancer la société. Ses goûts la portent alors vers l’art abstrait et cinétique, puis vers la figuration. Elle promeut François Morellet, Garcia Rossi, aussi bien que Miss Tic, dont les pochoirs poétiques font parler les murs de Paris. Puis Lélia Mordoch avait consacré un one-man-show à un représentant de la Figuration Narrative, Bernard Rancillac, avec lequel elle avait inauguré son actuelle galerie située rue Mazarine. Cette année, elle propose l’œuvre cinétique de l’Argentin Julio Le Parc.