Josefin

Satisfait de ma première expérience chez Josefin dans un cadre surprenant et coloré. Staff chaleureux et aux petits soins. Le prix est un peu élevé mais rien d’étonnant pour le resto d’un hôtel cis dans une ancienne banque. La qualité est au rendez-​vous, donc pas de problème. Le dimanche midi était un peu calme, il n’y avait personne au bar mais le resto était bien achalandé.

Not being a stranger to the hotel Banke, especially the bar, I was more than a little ashamed that I had never actually eaten there. I recently finally managed to get my act together and go. I was more than pleasantly surprised. Hotel restaurants can always be a bit of a gamble in regard to quality and ambiance, but here both were absolutely perfect. I had the blue lobster ravioli which was delicate and absolutely delicious. The dessert was pure perfection, the kind you never want to end. All I can say is bravo!

Le truc avec les restaurants des grands hôtels mais pas Palace, c’est que l’ambiance y est assez particulière. Quand vous voyagez dans une capitale européenne et que vous sejournez dans des hotels **** standards européens, dinez vous y? Et bien non. Et là les touristes en vacances à Paris non plus.
Donc c’était assez vide, nous étions 3 couples en tout et pour tout. Ambiance fin du monde.
Le lieu est cependant assez beau avec son architecture circulaire et ses coursives qui courent autour en mezzanine derrière les colonnes de pierre.
Pour la cuisine, les entrées étaient vraiement bonnes — le tartare de saumon et le caparcio de homar sont à recommander.
Pour mon plat en revanche, le carré de porc, il y a un gros travail de dressage à faire; poser une cote de porc avec l’os dans une assiète, c’est un peu facile à 30 €.
Les desserts sont corrects, sans surprise ni fulgurence.
Bref, un gros plus pour le lieux et les entrées, des reserves sur l’ambiance et la pertinance d’une coté de porc à la carte (car le terme de carré est quelque peu devoyé ici). Je mets 3 étoiles car le rapport qualité-​prix n’y est pas forcément.

Cuisine pitoyable
L’endroit est chic. Le cadre est atypique mais la qualité de cuisine est pitoyable: avec une médaille de porc quasi immangeable, un tartare ridicule je n’ai qu’à dire qu’il faut absolument éviter si vous allez pour manger…

Le restaurant de l’hotel est peu connu mais il merite de l’être. Les plats sont savoureux et de bonne qualité. La carte est abordable & accessible et les plats sont dignes de restaurant étoilé. Le personnel manqué parfois d’expérience mais le cadre fait oublier ce bémol. Allez faire un tour dans la salle de toilette, elle vaut le détour! A recommander pour un diner en amoureux.

Ah, le JoséfinUne déco baroque soignée et plutôt féminine dans un cadre splendide, et dire que c’était une banque
Allez y et je pense sincèrement qu’en réservant par un site vous proposant une réduction du genre LACuillere (pour né faire de pub), vous né serez pas déçu .Les plats sont aussi raffinés que le décor, les produits frais et la carte variée .Seule la carte des vins est un peu clairsemée.

Comment personne n’a pas pu tenter ce restaurant ?
Alors c’est vrai qu’il faut connaitre.
Le restaurant est à l’intérieur de l’hôtel espagnol Banke, rue Lafayette.
Vous rentrez dans l’hôtel et à gauche vous trouvez le restaurant Josefin, à droite le Lola Bar et tout droit la réception.
N’ayant pas de chambre à l’hôtel, j’ai décidé d’aller au restaurant Josefin.
Décor très soigné, avec sur les tables une nappe façon peau de serpent noire.
Passons aux choses sérieuses, le repas.
La carte c’est ici:
L’embarras du choix mais il fallait choisir.
En amuse-​bouche une petite soupe de melon.
En entrée j’ai craqué pour un tartare de thon au gingembre avec sorbet au wasabi !
C’est génial, une riche idée que ce sorbet au wasabi qui se mélange très bien avec le tartare de thon, j’étais déjà conquis.
Celle qui partageait le repas avec moi a testé les rillettes de crabe avec le guacamole et j’ai goûté, c’était bon même si c’était moins bon que mon entrée puisque c’était mon entrée :p
Ensuite j’ai enfin pu goûter du bœuf Wagyu avec le filet de bœuf wagyu et les croquettes de manioc.
Le bœuf wagyu c’est ce bœuf japonais qui s’enfile 3 litres de bière par jour et qui est massé au saké avec de la musique classique dans les oreilles.
Vu le prix de ce bœuf le filet de bœuf n’était pas énorme mais quel régal !
Le gras du bœuf est aussi fondant que du beurre ! Il faut goûter ça.
En dessert j’ai tenté les beignets au chocolat avec la glacé au poivre du sichuan. Là encore, c’est très original et surtout très bon, le mariage poivre vanille et chocolat.
Au final pour un peu plus de 60 euros par personne on est comblé.
J’y retournerai pour tester une autre partie de la carte.