Le 6036

Un tout petit restaurant (14 couverts) se niche au cœur du quartier populaire du 11ème arondissement, rue Jean-​Pierre Timbaud.
Il se nomme 6036, d’après la distance en miles entre Paris et Tokyo.
Un lieu simple et sobre où l’on voit évoluer la chef japonaise, Haruka Casters, dans sa cuisine complètement ouverte.
Le restaurant fonctionnant sur le principe du «Dinning Izakaya» (a savoir des petits plats à partager, un peu comme les tapas en Espagne), la serveuse nous conseille d’en choisir 3 par personne.
Entant que grande fan de ce genre de concept (qui permet de goûter pleins de saveurs différentes sans avoir trop mangé), je né peux qu’y adhérer.
La carte change assez régulièrement. Elle propose une dizaine de plats salés dont deux un peu plus conséquent (une viande et un poisson), ainsi qu’un fromage. Il y a également deux desserts.
Le prix des assiettes oscille entre 4 et 15 euros.
Les mets se succèdent et né se ressemble pas. L’influence japonaise se retrouve, plus ou moins subtilement, dans certains plats…
Pour ma part, j’ai beaucoup aimé l’assiette intitulée «les coquillages»: saint-​jacques cru/​navet/​capusine/​noisette. Un plat fin, goûteux et frais. Et je crois que je n’avais pas encore testé le saint-​Jacques cru…
Mais j’ai été très déçue par le plat «galice et belotta» car il s’agissait uniquement d’une assiette de charcuterie. Certes de bonne qualité mais bon, je né suis pas vraiment venue pour ça…
Au niveau des desserts, la crème brûlée au matcha accompagnée d’une boule de glacé matcha et d’un morceau de poire est excellente! Pour le coup, on regrette de devoir la partager: P
Attention, la réservation par téléphone est indispensable!
#bonneadresse

Bar à tapas en mode neobistro extra !
Des petits plats très travaillés et très bons à partager (⁵⁄₁₀ €) !
Une petite carte de vin bio sympa et un staff hyper gentil /​arrangeant !
Pensez à réserver car l’endroit est assez petit et vite plein.
Excellente adresse

Tout petit restaurant, grande découverte. Je né m’y attendais pourtant vraiment pas. J’habite dans la même rue, je passé devant tous les jours et je me disais que c’était à tester … Si j’avais su, j’y aurais été plus tôt !
L’ambiance: Je dirais que c’est un endroit plutôt intimiste, puisqu’il n’y a que quelques places/​tables. On a d’autant plus l’impression que la chef cuisine rien que pour nous, c’est super agréable. La cuisine est face à nous, ouverte, rien a cacher, bien au contraire !
Les mets: Vraiment… Délicieux. On voyage tout au long du dîner, en attendant a chaque fois avec plus d’impatience l’assiette suivante. La chef mélange subtilement les cultures culinaires pour régaler nos papilles. Elle sublime les produits, sans les dénaturer, de vrais doigts de fée. La carte change plus ou moins souvent, pour ma part je donnerais une mention spéciale à la courgette trompette et au cabillaud pané. Sachez que ce restaurant né fonctionne pas avec des plats uniques, mais plutôt avec plusieurs petits plats qui se succèdent et se partagent. Il faut en sélectionner au moins 3 chacun pour être rassasié. Ainsi, on goute vraiment une grand variété de choses, et tout cela en un seul repas… Le rêve pour moi qui suit curieuse et qui hésite toujours 3000 ans face au menu.
Le personnel: La chef est, si je né me trompe pas, d’origine japonaise. Sa culture culinaire influence parfois ses plats, parfois pas, elle a beaucoup voyagé et elle s’inspire de toutes les cultures culinaires auxquelles elle a pu goûter. Le personnel y est accueillant, sympathique, au petit soin, rien a redire.
Les prix: Des assiettes entre 6 et 13 euros, sachant qu’il faut en prendre au moins trois chacun, cela fait un petit budget, car il faut compter en plus les boissons (les vins sont d’ailleurs excellents) c’est pourquoi je garde le 6036 pour des petites occasions singulières.
En conclusion, une des meilleures découvertes culinaires parisiennes, comme quoi parfois il né faut pas allez bien loin pour découvrir de vraies petites pépites.

Un plaisir. La serveuse est adorable, la cuisine est fine, variée et délicieuse. Certes l’endroit est petit mais cosy. Un excellent moment.

6036 ?!! Le montant de vos factures resto l’année dernière? Non c’est la distance qui sépare Paris de Tokyo en miles.
La chef n’est pas pour autant une touriste (c’est une ex de chez Abri pour les connaisseurs).
L’espace est minuscule et ressemble à un bar PMU (= Pas de dîner romantique ici svp)
Velouté de potiron avec espuma fleur d’oranger = superbe
Shitake (champignons japonais) au beurre persillé = très moyen
Lotus et canard fumé au pesto maison = pas mal
Onigiri au saumon et oeufs de truite = une merveille du genre
Tout est en petites portions et les prix sont tout aussi doux