Le Bar à Sushi Izumi

Le cadre est confiné et cela participe vraiment au charme de ce restaurant. C’est succulent. Bien sûr, les poissons sont extra et les sakés aussi… Haut de gamme en nigiri et autres poissons crus mais ça vaut le coût.

Oishi katta desu.
Tel pourrait être le résumé de mon passage au bar à sushis. Merci à Fujiko pour son avis qui m’a poussé à y aller: je suis quasi en tout point d’accord avec elle.
Un serveur enjoué et un chef un peu austère mais qu’on sent aimer son travail. Une petite salle mais quasiment vide, bien agréable à la pause déjeuner.
Une qualité de sushis bien supérieure à toutes les chaînes et fauxponais de Paris qui m’a fait penser à ceux de Mr Nagano à Clermont-​Ferrand. Un riz un peu trop cuit (et surtout chaud), mais ça né m’a pas dérangé outré mesure. Un menu midi à un prix imbattable de 14 €. Ça reste par contre cher pour les plats à la carte pour le soir.
Mais c’est tout à côté de chez moi, donc j’y reviendrais. Autre chose: faites-​vous plaisir avec des sushis exclusifs comme ceux à la daurade et huile de truffe (5 € 50 quand même), une super dégustation.
UPDATE 29/​05/​2015: riz à la bonne température depuis la dernière fois :) Et le chef est très sympa sous ses airs très réservés… Je né mets pas la 5e étoile à cause du prix… Mais voilà, très bonne adresse!

Bien sûr, c’est bien au-​dessus de la moyenne. Mais j’ai été un peu déçue car si la découpe de poisson était plus qu’impeccable, le riz était trop cuit presque comme chez les chinois… C’était peut-​être seulement ce midi-​là, mais ce n’est pas tellement acceptable.
Vraiment dommage car ces menus de midi sont de bon marché compte tenu de la qualité: la salade de l’entrée n’est pas une simple salade de chou, et la soupe miso varie apparemment selon le marché (on a eu droit aux moules). Un menu sushi à 14 € à cette qualité-​là, c’est un cadeau.
Le chef actuel serait un ancien chef de Comme des poissons. D’ailleurs il était comme sa réputation, quelqu’un qui n’est pas du tout souriant et effectivement ça pourrait faire fuir certains. Pourtant quand j’avais salué à l’entrée et à la sortie du restaurant, il m’a regardé dans les yeux a répondu poliment. Il n’était pas hautain, simplement pas souriant. Ca m’a rappelée un peu mon père. Je pense que c’est son style qui est mal compris.
Par contre le serveur était souriant et serviable.
Je retenterai à l’occasion, mais comme Kokoya n’est pas loin ça va être difficile de revenir.

Semi-​dumbed down sushi for gaijin /​/​Les sushi dillués à moitié pour les yeux-​ronds
[English version below]
Sans doute j’étais connaissant que mon premier sushi après revenir du Japon serait décevant mais je n’attendais pas ce niveau de profondité chez un resto qui avait l’air capable de vaincre ce défi. Après avoir fait les course au marché bio de Batignolles, j’ai loupé mon sushi habituel du quartier (Kokoya) après avoir remarqué Izumi et son menu correct, prix raisonnables et plus important la variété des poissons bien au delà du mauvais choix de saumon et thon chez la majorité des fauxponais à Paris.
La vitrine annonce qu’il y a un «chef japonais» — qui peut être un encouragement ou même un avertissement. On est entré quand même.
À l’intérieur le resto souffre de le syndrome Conforama — des meubles et des surfaces lacqué au cheap en prennat l’air «lounge» encore un avertissement pour des restos parisiens. Prochaine souci: Pas d’affichage en japonais et un plat du jour contenant l’huile de truffe. Pas d’importe, on était là pour des choses plus simples.
Le menu de midi commençaient bien: une salade de l’algue wakama et de la laitue bien loin du choux ou l’iceberg des restos inférieurs. Suivie par une soupe de miso encore plus impressionnante avec des moules entières dedans. Nous salivions pour le plat principal car avec des entrées comme ça, on peut attendre des très bons sushi.
Mais … tant pis. Bien sûr la variété de poisson était comme promise: du thon et du saumon typique mais aussi des mi-​cuits de saumon et de sardine, même les oeufs de saumon et l’anguille grillé — tous à qualité minimale. Bien sûr le dernier sushi que j’ai mangé est devenu directement du marché Tsukiji à Tokyo mais même après bien baisser mes attentes sachant la qualité merdique des poissons d’un ville loin de la mer, c’était pas bon quand même. C’est tout pardonnable si le riz — le composant primaire du sushi — était bon mais encore … sur-​assaisonné et mou.
C’est dommage car il me semble que les mecs chez Izumi font l’effort … alors cet effort est concentré en chasser les euros du 17ème arrondissement au lieu de perfectionner l’art du bon sushi.
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Without a doubt, I knew my first sushi meal after coming back from Japan would be a relative let-​down, but I didn’t expect to dive this low, from a place seemingly up to the challenge. After a round of shopping at the Saturday organic market at Batignolles, I skipped out on the usual sushi stop at nearby Kokoya when Izumi caught my eye instead — a proper menu, reasonable enough prices, and most important of all a variety of fish beyond the godawful French spectrum of salmon and tuna served at the majority of inauthentic sushi places.
The window prominently displayed the words «Japanese chef» — which I should have taken as a warning rather than encouragement. We went in anyway.
Inside, the restaurant suffers from what I call Conforama syndrome — cheap laminate surfaces that attempt to look luxurious or lounge-​like, another red flag for any Paris restaurant. The next red flag: No signage in Japanese, and a special of the day featuring truffle oil. No matter, we were just here for the simple stuff.
Our lunch sets started with a wakame seaweed and lettuce salade — a very good beginning, a far cry from the typical shredded cabbage or iceberg-​and-​out-​of-​season-​tomato served at so many sub-​par Japanese restaurants. It was followed by an even more impressive miso soup loaded with mussels in their shells. The bar was set high and I was already salivating over the sushi to come for the main course.
Too bad it wasn’t possible to just leave after the soup. While the fish selection, as the menu out front promised, was excellent (everything from the typical tuna and salmon to partially cooked salmon and sardine to salmon roe and grilled eel) the quality was unimpressive — even adjusting for the fact that I’d last eaten sushi fresh from Tokyo’s Tsukiji Market. This could’ve been forgivable (after all, Paris is inland and the fish here is notoriously craptacular by global standards) had the shari (sushi rice) been any good, but it was overseasoned and mushy.
It’s all a shame, because it seems like the guys at Izumi are putting in an effort… although the effort seems to be at chasing the 17^th arrondissement euros rather than perfecting their craft.

Avis un peu mitigé pour ce bar à sushi qui a de bonnes critiques ailleurs sur le net. C’est clair que c’est un cran au-​dessus que le jap de base, mais on est quand même pas niveau de ce qui se fait de mieux dans cette gamme de prix (compter min 40 euros par personne environ). C’est par contre une occasion de gouter du vrai bœuf wagyu, exceptionnel malgré un prix prohibitif (mais justifié pour ce type de viande — 23 euros l’assiette de fines tranches qui doivent faire moins de 100 gr au total). Ajoutez à cela une salle minuscule où on pourrait presque partager le repas avec ses voisins, et un service pas très sympathique, et vous comprendrez pourquoi ce n’est pas vraiment le coup de coeur espéré.
Je né suis jamais allé au Japon mais j’ai testé pas mal de sushi bars, à New York ou San Francisco en particulier, et on y joue clairement dans une autre court (encore une fois, pour la même gamme de prix, car il y a aussi mieux pour beaucoup plus cher). J’espère retrouver ça un jour à Paris sans avoir à débourser plus de 100 euros par tête !

Quel endroit intimiste ! Quel service souriant ! Et surtout quelle fraîcheur de poisson !
Il parait que le patron, un français féru de nourriture japonaise, avait écrit un guide des meilleurs resto japonais de paris avant d’ouvrir le sien…
Seul bémol les prix, qui sont plus élevés que la moyenne (compter 6,5 euros les californias 3,5 euros la paire de sushi saumon, 18 euros le shirashi saumon). Mais vu la qualité ça se comprend…
Je n’y suis passée qu’en coup de vent hier soir pour prendre a emporter mais je n’ai pas dit mon dernier mot.

Le meilleur japonais du quartier et même de Paris (à mes yeux). Le poisson fond dans la bouche Que du bonheur !

Pour commencer, le chef est vraiment japonais ce qui est assez rare pour être signalé. Le restaurant est un mouchoir de poche mais très gentiment arrangé et la déco évite les poncifs habituels (lanternes, chats en plastique…) pour se concentrer sur de belles photos en noir et blanc.
Les sushi servis ici sont tres purs et bien sûr très frais. Nous avons craqué pour l’anguille (je n’en ai jamais goûté d’aussi fondante) et pour la sardine, poisson souvent ignoré mais délicieux lorsque servi ultra frais comme ici avec une pointe de gingembre râpé et de la ciboulette. Autre originalité de ce restaurant: la présence de vins rouges (très bien choisis) sur la carte des vins. Quelle barbe d’habiter si loin… On y serait tous les jours sinon.

Depuis que j’ai découvert cette adresse en janvier dernier, je né peux plus manger des sushi ailleurs ! Il suffit de regarder travailler le chef (ce qui est possible si on s’asseoit au bar) pour comprendre qu’on a affaire un un vrai professionnel. Du reste, pour qu’il n’y ait pas de confusion avec les sempiternels sushi brochettes à la chinoise, la vitrine annonce en grosses lettres Chef japonais. Il faut absolument goûter les poissons blancs comme la daurade ou le bar, d’une incroyable fraîcheur, mais aussi des poissons bleus comme la sardine ou le chinchard qu’on né trouve pas dans toutes les sushiya. Mais le top du top, c’est l’anguille que le chef prépare lui-​meme de A à Z (il les reçoit vivantes !) et qui fondent littéralement sous la langue.
Comme le spuligne Natnutella, c’est vrai que le restaurant n’est pas grand mais ils ont fait des aménagements tout récemment (début mars je crois) et la salle peut à présent recevoir plus de 10 personnes
Une adresse à né donner qu’aux vrais amateurs de vrais sushi japonais.

Ce petit bar à sushi, qui annonce tout de suite la couleur avec son nom le bar à sushi, a ouvert ses portes en septembre 2011, et pour l’instant (curieusement) il n’est pas pris d’assaut, le midi en tout cas. On né s’en plaindra pas, car c’est un point de chute tout à fait appréciable (surtout au déjeuner) pour déguster de très bons sushi, maki, et sashimi préparés par un véritable sushiman japonais.
Je recommande particulièrement les makis qui sont particulièrement savoureux.
La confection est parfaite, le riz au top, le seul point un peu moins bien, c’est que le poisson pourrait être de meilleure qualité. Il est bien frais, mais pas d’une saveur folle comme c’est le cas chez Kokoya (
) par exemple. Je conseille plus le midi car le soir, les prix devient vraiment très élevés. Il faut compter dans les 25 – 30 EUR pour un menu complet, alors qu’avec les menus du déjeuner on s’en sort pour 12 – 15 EUR en général.
Et vu la petitesse de la salle, on n’a pas forcement envie d’y passer des heures.