Le Bon Saint Pourçain

Our best dinner while in Paris last month. Everything was excellent except the leeks with peanut sauce. I’m still scratching my head over that one. Must have got lost in the translation. The red wine is actually served at the proper temperature, something no restaurant in the US has figured out yet. Cost is about 60 euro per person with wine. Was listed in an article on CNN as top 10 best new restaurants in the WORLD for 2016!

Encore une fois, le «serial restaurateur» David Lanher (Racines, Caffé Stern, Noglu, Vivant Table &Cave et j’en passé) a fait des siennes! Visité quasi dès son ouverture par l’équipe de Très Très Bön, j’étais déjà convaincue.
Pour cette nouvelle adresse il bascule côté Rive Gauche pour prendre place au Bön Saint-​Pourçain micro-​bistrot où il vous faudra jouer des coudes entre deux Figaro pour vous installer sur la banquette moelleuse.
Le choix des assiettes se fait à l’ardoise. On né viendra pas vous présenter la carte ou vous faire de l’esbroufe. En même temps je né pense pas que l’on ait besoin d’explications pour lire «Poireaux vinaigrette» ou «Veau rosé du Limousin». Carte tradi-​moderne si tel est possible, on joue la saisonnalité, les bons produits sans se la raconter et le tout dans la générosité.
On n’y réinvente pas la cuisine certes mais on s’acoquine des classiques. Attention à la cuisson du veau, un chouïa trop poussée cependant.
Côté douceur, du gourmand avec ce crémeux chocolat façon espuma et son croquant de café. Mmmm j’en rêve encore!
Côté prix on est dans les 9 € l’entrée et dans les 28 € en moyenne pour le plat. Pour un combo bistronomie + rive gauche cela reste honnête.
Si lors de votre visite vous cherchez les toilettes vous vous amuserez de constater que lorsque l’on passé la porte du fond du restaurant on donne sur le hall d’immeuble d’à côté où l’on trouvera au fond les toilettes… et la cuisine!
En conclusion on dira de cette adresse qu’elle est digne représentante d’une cuisine bistrotière sans abus d’assemblage ni de yuzu. Un bistrot dans son jus, qui a d’ailleurs tapé dans l’oeil du Fooding qui lui a attribué le prix du bistrot de l’année, rien que ça!

Tomber par hasard sur ce restaurant d apparence sympas. L endroit est petit ce qui devrait faciliter la tâche du serveur mais apparement non !!
Donc ca m agace un peu quand même.
Après le repas servit était correcte, le prix des entrées entre 9 – 15 € les plats 25 – 29 €.
Le lieux est très calme et c’est très plaisant.
J aurais mis 4 étoiles si le serveur avait été plus sympas et réactif.

restaurant qui a nouvellement ouvert après des travaux et un changement d’équipe. j’y suis déjà allé 2 fois depuis et je confirme que la cuisine y est délicieuse. j’ai cru comprendre que le chef est un ancien de l’équipe de Ducasse, ce qui doit expliquer certaines choses. j’espère que les photos que j’ai pris rendent justice à la beauté de la présentation. de très belles couleurs pour un super goût, rien n’est laissé au hasard. une cuisine très haut de gamme et pourtant loin d’être hors de prix alors que vu la qualité des produits et du goût, cela pourrait tout à fait être servi dans un restaurant d’hôtel 5 étoiles. en moyenne 12 € pour entrées, 25 € pour le plat et 9 € pour les desserts. le bon saint pourçain offre une cuisine vraiment française, belle à regarder, bonne à déguster, et généreuse! on en a pour son argent et tout le monde n’aura pas de la place pour un dessert. les abricots poëlés avec la crème fouettée à la praline valent pourtant le détour! sûrement la meilleure table de cuisine française du quartier, selon moi, loin devant Lipp ou Le Flore.

Heureux changement de propriétaire et de cuisinier.
Formule de 3 entrées, 3 plats, 3 desserts séduisante.
Présentement un peu débordé par le succès,

Voilà, c’est ouvert, la maison a subi un re lifting complet et la nouvelle équipe a pris les choses en main. Période de rodage mais déjà une indication sur la qualité de la cuisine qui est un peu chère mais vraiment très bonne. Une cuisine de marché aux cuissons parfaites. Seulement quatre étoiles Unilocal cette fois ci car pour le moment le lieu, assez joliment rénové, manqué de chaleur et de convivialité sous l’influence d’un patron timide, d’une serveuse brusque et d’un chef méditatif, l’attelage devra évoluer vers plus d’accueil.