Le Mathis Bar

Superbe !!!
Lieu incontournable de Paris la Nuit ! Un service de qualité, des cocktails à tomber ! très très bonne musique.

L’institution
Évidemment, le Mathis est un drôle d’endroit… avec de drôles de personnage. Une fois la sélection à l’entrée passée, vous avez le bar à droite et le restau à gauche. Je né connais que le bar où j’ai passé des merveilleuses soirées. Le regretté Gérald N. animait ce lieu jusqu’à récemment mais l’ambiance subsiste. En salle, embrassez Danièle, figure historique du Mathis qui prendra soin de votre confort avec une drôlerie bien caustique. Présence de people garantie jusqu’au bout de la nuit.

En route pour la ringardise
Le Mathis bar se veut mode, branché, trendy. Il n’est malheureusement qu’une de ces énièmes adresses qu’affectionnent les has been en recherché de succès lointain ou de pseudo stars sur le déclin. L’accueil annonce la couleur: il est de bon ton d’être désagréable, plus on est méprisant et plus on se croit dans le coup. Peut-​être a-​t-​on oublié au Mathis que le politesse est à nouveau dans l’air du temps. Le kitch du décor complète ce triste tableau. Entre la faune pathétique qui y sévit et l’aspect limite loufoque des serveurs qui vous accueillent, il est préférable de passer sa route. Le quartier regorge de bars sympas, inutile de se ringardiser prématurément.

Très très select…
Avec mon meilleur ami, on y est allé sans trop vraiment y croire. C’est vraiment très select et soit on va vous refuser l’entrée car plus de place, soit vous né correspondez pas aux critères maison (qui semblent être jeune homme ou jeune femme sublime, la trentaine et riche). Mais par un heureux concours de circonstances, nous y sommes rentrés (merci O.). La patronne est très souriante et l’endroit très cosy, avec ses tapisseries en velours pourpre. Très très peu de tables et une musique d’ambiance assez sympa. Les cocktails sont très bien préparés (le mojito était particulièrement bon). Mais si vous n’arrivez pas tôt, plus de table, donc vous né resterez pas des heures. C’est plus pour voir, à voir, et pour être vu !