Le Templier

Based on Unilocal reviews for this name and address, we tried to visit. But they are not open for dinner, if at all.

Un vrai bistrot parisien pur jus où on vous sert encore le vin à la ficelle et où on trouve de vieux plats authentiques (tête de veau, harengs, etc.) ! Les plats sont bons et copieux pour un prix cher mais qui reste raisonnable pour Paris.
Les petits plus ?
Le serveur est vraiment hyper sympa, vraiment rafraichissant quand on est habitué au service «à la parisienne»… et la déco est vraiment bien pensée, on se croirait dans une vieille photographie de petit bouchon parisien, c’est vraiment sympa !

Un petit bistrot de quartier, dans une rue peu fréquentée.
Très bon accueil, dans un rade qui ressemble à un rade. Ou à un bouchon.
Cuisine franco-​française, de bonne tenue, dans une ambiance franco-​franchouillarde. De la viande, du vin, et de la viande.
Bonne adresse pour faire découvrir la cuisine française à des amis étrangers, ou pour dîner avec des bons vivants. De surcroît, une bonne cave, et un patron amateur de vin.
On reviendra, pour l’ambiance, l’andouillette, les pommes sautées, et le hareng-pomme-à-l’huile en entrée.
Petits appétits et végétariens, s’abstenir.

Top. Un très bon bouchon parisien. Les harengs servis en terrine sont divins. Le museau aussi. L addition reste très correcte au regard de la qualité proposée.

Bön repaire, très bonne cuisine, simple qui nous offre la chance de redécouvrir le GOUT des aliments. Tout y semble organisé pour né proposer que du frais. Le patron déborde de dynamisme, sans trop en faire. Clientèle d’habitués et de tout âge. Restaurant pas très grand mais presque plein. Ah j’oubliais, l’addition: honnête.

Tout y est
En effet tout y est, je connaissais ce restaurant il y a longtemps y suis retournée hier par hasard, mais sans aucun regret. Quel bon moment de détente offert par le patron qui est simple et attentionné, avec de l’humour tout en gardant ses distances. Le restaurant au style que l’on aurait pu trouver autrefois côté des halls, est propre. La qualité de la nourriture rien à dire tout semble organisé pour n’offrir que de la fraîcheur. L’attention dans la présentation de l’assiette est un point supplémentaire de respect de la clientèle. La carte est variée mais pour les plats principaux le soir, attention ceux du midi ont déjà apprécié. Les entrées ont un succès fou. La clientèle est simple et variée dans ce restaurant qui risqué de vite devenir trop petit. Pourtant il semble perdu au bout de la rue, le bouche à oreille fait son effet. J’allais oublier, l’addition? Honnête.

Digne fils de son père
Le templier, un petit bistrot de charme dans le 15ème, le patron alexandre a repris le flambeau de son père marcel hazebroucq qui avait ouvert l’ami marcel et l’ami vin aussi dans le 15ème, tout comme lui il a gardé la traditin des terrines faites maison, des harengs pommes tièdes et de la salade de museau pour les entrées. Pour les plats, vous trouverez sur la carte l’entrecôte, l’andouillette, les rognons, la téte de veau et plein d’autres mets aussi délicieux les uns que les autres. Pour les desserts, la mousse au chocolat ou encore la crème brulée sont à tomber. L’accueil est convivial avec une préférence pour le soir pour plus d’intimité. Le patron prosose aussi des soirées privées pour tous vos événements marquants de votre vie. N’hésitez pas à vous renseigner.

L’une des bonnes tables de Paris
Ce petit bistrot parisien à l’ambiance chaleureuse, invite à la bonne bouffe traditionnelle avec son cuisinier concoctant ses les petits plats dans les grands, ainsi qu’a une bonne bouteille de vin :), la terrasse s’empresse de nous dire de venir déguster une bière belge au soleil et son patron patron invite à la récidive par son accueil chaleureux.

Institution de quartier à redecouvrir
Salut, voila un vieux bouchon parisien comme on en trouve que très rarement, devanture 1900 avec les vitres biseautées d’époque, une terrasse ou il fait bon déguster un ballon de vin de la sélection du patron ou une bière pression accompagnée d’une charcuterie de tradition. Sinon à l’intérieur le cadre retro mais pas poussiéreux rend plutôt convivial l’ambiance, la carte elle propose des plats de bistrots comme l’entrecôte de salers de 300g à 22 € ou encore la tête de veau ou l’andouillette duval 5 A, les entrée comme on voit plus, les harengs servis sur table en terrine tout comme le museau vinaigrette. Sinon coté service, le bistrot est tenu par un jeune patron qui vous accueil comme s’il vous avait invité de longue date, la serveuse tout sourire vous conseillera sur les plats du moments et pour peux que vous ayez de la chance le chef sera également présent pour vous aider en cas d’hésitation ! Essayer c’est l’adopter !

nouveaux proprietaires et coup de jeune pour cette institution du quartier, l esprit vieux bouchon parisien est sauvegardée, la carte sur ardoise propose toujours les grands classiques d entant comme les harengs servis en terinne posée sur la table ou la tartinne de pied de porc, l entrecôte enorme garantie a + de 300g ou bien le marché du jour comme le lapin fermier a la moutarde.
le patron vous acceuille personellement avec un enorme sourire et si vous avez de la chance vous pourrez meme voir le chef qui vous conseillera l un de ses plats et qui reviendra en salle pour vous demander si vous etes satisfait de votre repas.
en bref bouchon parisien a redecouvrir, perso j y retourne des que possible

On est pas la pour faire régime, mais pour ce faire plaisir

Oh ça, c’est VRAIMENT le bistrot parisien comme on l’adore !
Mesdemoiselles, Mesdames, né lisez pas plus loin, car le menu n’est pas pour vous ;-))
Le décor est celui du bistrot typique, avec cependant de jolies nappes en tissu avec des cerises dessus, ça change du papier.
Le patron, un moustachu bourru comme on les adore, vous accueille vraiment. Chaleureux, sympa. Et la carte ! Des rillettes d’oie excellentes, de très belles entrées charcutières et surtout, parmi elles, les tartines de pied de porc, entièrement désossé et cuit sur la tartine… Un ré-​gal.
Les plats sont à l’avenant, avec l’andouillette Duval AAAAA, l’onglet et toutes les viandes de boeuf, les rognons… et là aussi une petite merveille: les cuisses de cailles confites. Huit cuisses ! Presque tout est servi avec des pommes rissolées dans la graisse d’oie, fines, fines, fines et croustillantes…
On a mis là-​dessus un Côtes du Rhôné surprenant d’onctuosité, vendu au compteur — vous payez ce que vous buvez.
Le tout est accompagné du «tour de main de la patronne», dixit le chef, et on veut bien le croire.
Bref, si c’est pas ça le bonheur, ça y ressemble diablement !