Les Routiers

Le meilleur resto que j’ai fait à Paris à ce jour et il est dans le 18, un rapport qualité-​prix exceptionnel, un resto très terre à terre et dans l’esprit routier, j’adore et c’est toujours plein, réservation fortement conseillée !

Le meilleur resto/​bistrot à l’ancienne du coin !
Ok, le service est rustique. Ok, la salle mériterait un rafraichissement. Mais par contre, qu’est qu’on y mange bien. Et copieux. Et à prix raisonnable !
On y trouve des plats rares (rognons, cervelle, gibier, poissons qui né soient pas que du saumon ou de la truite), et des grands classiques du bistrot.
Le plateau de fromage est une merveille, les cuissons des viandes sont toujours réussies, le vin du patron est plutôt bon, et la cave bien fournie.
Et enfin, les portions :) même un gros mangeur aura du mal à finir son plat principal. Prendre le menu et tout manger est une gageure.
A recommander, encore et encore.

Kitschissime et hors du temps, ce restau remplit son contrat: plats copieux et goûteux pour un prix raisonnable.
Mes choix: œufs cocotte aux trompettes de la mort /​carré d’agneau, pommes sautées /​fromage blanc, crème de marron.

vive les routiers !
toujours bien reçu avec de supers assiettes un menu très correct et une carte bien fournie j’ai un souvenir ému de cuisses de grenouilles ou de foie gras poilé (sur commande UNIQUEMENT pour le foie) de plus le patron a de très bon vins !! n’en parler pas mais allez y car le resto n’est pas très grand possibilité de réserver la salle du fond

des amis
ce routier très connu et comment une ambiance avec une équipe extraordinaire cet endroit n est fait pour les petites faims

Survivance d’une autre époque ou digne d’un autre lieu, peut être le Paris d’avant mais certainement pas le Paris de nos jours: c’est pour ça qu’on a envie de revenir, et puis aussi pour les bonnes plâtrées généreuses de choux farcis, bourguignon, morteau, gibier, servies avec gentillesse. Derrière la devanture en verre et auvent rouge qui s’avance sur le trottoir de la rue Marx Dormoy, typique des troquets PMU un peu pourris, se cache une cuisine rustique, copieuse, bonne et simple, dans un cadre bon enfant, avec affiches, vaisselles en cuivre au mur, un bric à brac réconfortant où on peut s’épanouir tranquille face à sa purée au cantal. L’ambiance est chaleureuse, le service gentil, teinté d’un autre temps aussi, à la fois bourru et attentionné, à mille lieux de nos habitudes et quel soulagement. On pourrait traîner là longtemps dans ce brouhaha amical, au milieu des assiettes de charcuterie, saucisse, purée, oeuf cocotte, fillette de vin rouge, qui filent au dessus de nos têtes. Et cerise sur le gâteau, le bon plateau de fromage géant qu’on vous dépose sur la table en toute confiance comme à des amis de passage.
Ce restau a de la personnalité et du courage dans Paris qui vacille sous l’assaut d’endroits sophistiqués et finalement froids, banals. C’est peut être çà la classe.

Can’t really understand the hype. The place is pricey for the shitty area where it’s located and the waitstaff is famously rude. Food is ok but really not worth slumming it here for any reason

On né vient pas chercher de la cuisine raffiné mais des plats simples et très consistants servis dans une ambiance «dans son jus» mais sympa et bonne franquette.
Beaucoup de choix, du terroir pas forcément de saison, regardez surtout du côté des plats du jour.
Une chose est sûre, vous ressortirez repu-​e-​s (voir sans avoir pu finir votre assiette, même les gros mangeurs ont calé !).
Rapport quantité/​qualité/​prix imbattable. Pas conseillé pour un date, mais plutôt pour une grosse bouffe entre potes !

Certe la tôliere n’a pas fait l’Ecole Hôtelière mais quand on aperçoit le cusito dans son couloir cuisine la t as tout compris. Carte du jour pléthorique et portions gargantuesque. A voir absolument

C’est en versant une larme que je repense aux Routiers.
Des rognons sublimes arrosés d’un petit rouge coquin, un onglet délicieux et saignant avec une bière, le tout pour un prix abordable. Mais surtout la grande gentillesse de la patronne et l’authenticité du lieu: c’est magnifique!

Un ovni dans la rue Marx Dormoy, au long de laquelle les kebabs et fastfood hallal sont visuellement les seuls à dominer. Mais un ovni qui tient ses promesses. Une fois entré aux Routiers, bienvenue dans la France d’antan. Accueil personnalisé à l’ancienne, service attentionné, sourire et tranquillité qui font du bien, le cadre est bien authentique car le patron exerce ici depuis plus de 25 ans maintenant. A la carte, deux menus à 18 ou 27eur, et plusieurs plats variés, reflets des terroirs. A découvrir.

surprising and perfect. I had the chèvre chaud, the serve the goat cheese on skinned baked apples, delicious. the saumon fume and pommes de terre were also really simple and good. felt like a neighborhood spot, great service and just a few blocks from train.

Un vrai dernier resto routiers typique en pleins Paris. Deco tres simple, bar en zinc. On y est recu sans chichi. Carte simple, bonne cuisine Francaise, meme si un peu cher a mon gout

Plats de qualité (œuf cocotte aux morilles, pigeon.) en quantités astronomiques, bon vin. Bön rapport qualité prix même s’il n’y pas vraiment de menu si mes souvenirs sont bons (la carte est longue comme le bras, vous trouverez forcément votre bonheur) Je le conseille à tout le monde.

Merveilleuse cantine rescapée du Paris populaire. A l’heure du déjeuner, on s’attend à voir entrer Philippe Noiret et Thierry Lhermitte. Très bonne cuisine (dans le genre «qui tient au corps»), bons vins, accueil adorable. Génial.

Un déjeuner grapillé aux Routiers, et nous voilà propulsés à des kilomètres de ce quartier pas forcément des plus charmants de Paris, à une autre époque, celle où les clients poussent bruyamment la porte de leur cantine en claquant la bise aux patrons, dans une atmosphère aussi détendue que joviale.
Pas question, pour autant, de prendre les néophytes de haut: la patronne, énergique et souriante, me complimente sur le choix de mes bijoux entre deux commandes.
Et parlons-​en, de la commande: une carte simple, sans fioritures, sans surprises non plus, composée de plats de terroir, de classiques de la gastronomie française, en version gargantuesque bien entendu.
Monsieur se sera régalé d’une pomme de terre au Munster et d’une belle brochette de boeuf accompagnée de ratatouille; moi de non pas un, mais deux oeufs cocottes aux trompettes de la mort, suivis d’une cuisse de lapin à la sauce moutarde dévastatrice, qui a vu y passer trois morceaux de pain.
Et que dire de l’exceptionnelle galette aux pommes qui a clôturé comme il se devait ce repas…
Un retour aux sources des plus salvateurs, loin d’une prétendue sophistication pompeuse qu’il devient bien difficile d’éviter.

Je voulais aller défier la légende depuis un moment, et je dois dire qu’elle a été dépassée, largement. Je laissais la rue Max Dormoy derrière moi et ouvrait la porte au son du morceau «à mon frère revenant d’Italie» de Brassens, la patronne dégageait une table dans le devant de la salle et me servait un pichet de côtes-​du-​rhôné. Calé sur Max Dormoy, sans le bruit des voitures et avec l’ambiance familiale du restaurant, c’est presque spirituel.
Ça m’aurait suffi, mais non, le reste s’est déroulé comme dans un film de Mankiewicz, avec classe et sens du rythme. Il se faisait tard, il n’y avait plus grand monde, on m’offrait une assiette de saucisson et les deux dernières tranches de Cantal, j’étais aux anges. Pas que j’avais faim mais c’était bon. Ça blaguait sévère derrière le comptoir, il y avait des habitués dans l’assistance. Je matais les assiettes des derniers clients: énormes, je regardais la carte, constatais que ce n’était pas donné, mais honorable en quantité. «Heureux qui comme Ulysse» enchaînait à Reggiani, la boucle était bouclée, je reviendrais demain.

Parmi les restaurants que j’aime à Paris, Les Routiers figurent dans mon Top Ten. Ce n’est pas simplement une histoire de jeunesse car j’ai passé mon enfance accoudé à ses tables, c’est aussi sans nul doute en raison de sa cuisine française d’exception.
Dans une ambiance 100% franchouillarde et avec des portions gargantuesques, on profite pleinement d’un Chateaubriand et de ses frites en se croyant non pas en plein cœur de la rue Marx Dormoy mais au septième ciel.

Un lieu incroyable, fréquenté par des gens du quartier et les quelques rares routiers qui s’aventurent encore dans Paris. Ici, tout est authentique: la décoration, kitsch à souhaits, mais surtout les plats.
Charcuterie, poisson, viande, volaille, la cuisine traditionnelle française y est roborative et, surtout, excellente. Attention à né pas avoir les yeux plus gros que le ventre, car une entrée et un plat suffisent déjà largement.
Les deux énergiques patronnes seront ici aux petits soins, et né soyez pas effrayé par la familiarité de celles-​ci. Allez-​y entre amis, pour profiter de l’ambiance (j’ai eu droit à une compilation intégrale des années 80 la dernière fois); à deux, parce que partager ces plats est toujours un plaisir, ou même seul, car on né s’y ennuie jamais !

Sympa…
… avec un accueil bon enfant très agréable, les plats sont classiques et de bonne facture, l’addition est honnête, cela en fait donc un endroit recommandable dans le quartier.

Une adresse incontournable !
Les Routiers, rue Marx Dormoy. Si vous passez devant sans savoir ce que c’est, ce n’est pas la devanture de ce qui ressemble à un petit resto-​bar parisien quelconque qui vous fera vous arrêter. Si vous déchiffrez l’écriture de Monsieur Bernard sur la vitrine, vous commencerez à distinguer des plats classiques et de saisons… Pot-​au-​feu, rognons de veau, lapin chasseur, salade de figues farcies au foie gras… Là votre intérêt devrait être aiguillonné et si vous poussez la porte, vous allez découvrir le dernier restaurant de routiers de Paris ! Le service est parfois dépassé par le succès du lieu et en cuisine, Jean-​Luc houspille Jocelyne quand les plats né partent pas assez vite. Au bar, le patron Monsieur Bernard officie et disparaît parfois englouti sous son zinc pour accéder à la cave dont il vous remontera quelques bouteilles fabuleuses ! Les viandes et poissons reviennent chaque matin de Rungis et sont exceptionnelles, les portions sont à l’image du cuisinier: costaudes ! Sans nulle doute la meilleure et la plus typique des adresses de restaurant français de tout le quartier, à découvrir d’urgence !

C’est simple, c’est frais, c’est populaire.
Les routiers adorent, moi aussi.
Le cadre est en deça de l’assiette et c’est tant mieux.
Né pas y aller pour impressionner sa copine !!