À éviter un samedi soir! Cela n a plus rien à voir avec le piano bar un peu soul! De la musique super commerciale, même pas de DJ et une clientèle très jeune(20 – 25 ans) en mode fête de lycée. Les tables et chaises en bois sont poussées contre les murs donnant une impression de désolation Le fumoir a gardé un peu de cachet. Si vous arrivez à faire abstraction de la musique c est l endroit le plus agréable.
Romane L.
Rating des Ortes: 5 Bordeaux
00h00 chez Baranaan : — on va en boîte ? — ouaiiiiii, on va au Carmen, ça fait longtemps que j’y ai pas été ! 00h30 au Carmen : — sorry les filles, soirée privée ce soir. 00h30, dans la rue aka Pigalle street : — attend je check sur Unilocal pour voir les boites à coté ! 00h45 chez Moune : — la musique est nulle non ? — ouai, on y va ? 00h45 dans Pigalle Street : — ah je sais, on va aller à l’Orphée, c’est tout à coté ! — bah mince, c’est ou ?! — ah mince on l’a passé attend ! Marine dit dans son avis qu’il faut rentrer dans un immeuble et sonner à la porte ! 1h à l’Orphée : — Mais c’est trop stylé ici, on dirait qu’on s’est incrusté à une soirée privée, on a l’impression d’être chez des gens, dans un appartement ! — Oooooh les filles, regardez ce mec est canon !!!(C’est pas moi qui dit ça bizarrement !) — Bitch better have my money, Bitch better have my money… J’adoooore cette chanson ! On a dansé, on danse, on dansera ici ! J’adore cet endroit, j’adore l’Orphée, je reviendrai !
Sébastien M.
Rating des Ortes: 4 Paris
Une bonne adresse de plus dans le quartier et qui plus est bien cachée ! Il faut sonner au 7 rue Pierre Fontaine et ensuite rentrer dans le 1er appartement du RDC sur la gauche. Le cadre est top bien que le lieu soit assez petit, les cocktails sont bons et la musique sympa ! A faire !
Marine B.
Rating des Ortes: 5 Paris
Un petit bar de nuit là où l’on s’y attend le moins, c’est à dire derrière une porte située dans le hall d’un immeuble. Pour y accéder, mieux vaut saluer très gentiment le monsieur assis sur une chaise haute devant la porte cochère. On est videur ou né l’est pas, hein. J’adore ce genre de concept d’endroits cachés, même si, disons-le, il n’est plus vraiment secret maintenant. Mais il y a quand même quelque chose d’excitant à se faufiler discrètement dans cet antre de la nuit, tel un VIP en habit de lumière. Bön en vrai, pas besoin d’habit de lumière pour entrer. L’ambiance est décontractée, tout comme la musique, qui est à mon sens LE point fort du lieu hormis sa situation inédite: ici, on passé du gros tube des années 90 à aujourd’hui ! Et personnellement, c’est tout ce que j’aime dans un endroit pour danser. En tant qu’habituée de l’étage du Bus Palladium juste en face, où ils passent du rock en tout genre — ce qui me plait tout autant -, je trouve que ça change et que ça fait une bonne transition avant de s’y rendre. Côté cocktails, je né pourrais pas m’étendre, je n’en ai bu qu’un. Mais il était vraiment très très bon, et à 12 € «seulement»(n’oublions pas que c’est un bar de nuit). Pas trop sucré, pas trop fort, avec des graines de fruit de la passion… Un délice. Et côté populace? C’est un vrai melting-pot. J’ai trouvé l’ambiance ni trop branchée, ni trop guindée, ni trop Saint-Tropez. Bref, 5 étoiles à confirmer avec une prochaine visite !
Axelle A.
Rating des Ortes: 3 Florence, Italie
Un endroit déconcertant. Je suis arrivée timidement croyant faire irruption dans un endroit ultra branché après avoir lu Time Out qui présentait le bar ainsi, comme une sorte de speakeasy qui né dit pas son nom avec ce côté il faut rentrer dans un hall d’immeuble et sonner ouhlala. Pas de pignon sur rue pour le Orphée donc mais une porte quasi anonyme dans un hall. De quoi susciter la curiosité des gens cools de Paris non? Ajoutons à cela le fait que nous sommes à SoPi — toujours se rapporter à NY quand on veut être cool, speakeasy, SoPi réminiscence de SoHo-. En passant la porte, je m’attendais donc à recevoir une décharge de hype et à me sentir comme un cheveux pas hype sur la soupe. Et finalement ! Non — pas de ça. Plutôt comme un karaoké dans une ville sympa de province. D’ailleurs, il y avait au sens propre un karaoké et qui voulait pouvait chanter. Donc rien de hype mais plutôt une ambiance détendue et bon enfant avec visiblement un grand groupe de potes habitués, tranquilles. J’étais presque déçue de pas pouvoir pester contre les parisiens branchés, les hipsters, jusqu’au cou dans le joyeux paradoxe d’être là malgré tout. Mais non Orphée m’a déstabilisée. J’ai donc aimé que Orphée né soit pas ce qu’il paraissait(en tout cas un soir de semaine) et aille au rebours des attentes. Et puis je me suis sentie à l’aise dans le bar. Mais… je n’ai pas trop aimé le service froid au bar, les verres à vin en forme de grosses vasques années 20 et le vin lui-même. et puis les prix étranges: ce soir là, 15 € l’entrée(justifié par le karaoké, hum…), y compris une boisson mais une boisson à 10(les cocktails sont à 12 €), une offre tarifaire pas méga maline: c’est un peu ridicule de devoir rajouter 2 € si on veut un cocktail, surtout lorsque le barman vous le dit aussi désagréablement. Et puis en semaine payer une entrée pour assister non pas à un concert mais à un karaoké ça surprend(même si les gens chantaient bien !). Et je n’ai pas trop aimé la déco non plus.
Lucas V.
Rating des Ortes: 3 Vancouver, Canada
Alors, Orphée, c’est le bar club, t’as beau savoir qu’il est là, t’as vraiment du mal à le trouver. C’est pas comme les speakeasy où tu te dis qu’il y a un truc derrière les rideaux noirs et l’imposant monsieur devant l’entrée. Non là il n’y a juste rien jusqu’a ce que tu voies le petit bouton. Tu sonnes, tu frissonnes, un monsieur sort dans le couloir de l’immeuble, et te fait entrer dans ce qui était auparavant un club décadent ou un sauna«chaleureux» selon les versions et les époques. Quand j’y suis allé, apparemment bien trop tôt dans la soirée, c’était vide, la musique était forte et du genre discothèque de province et j’ai bu un martini aux fruits rouges improvisé par la barman assez peu convaincant… Je commençais à me demander d’où venait tout ce micro buzz autour de cet endroit. Jusqu’à ce que de lassitude, je me dirige avec ma courageuse amie exploratrice de plans bizarres vers les douches qui sont en fait… le fumoir. Et là, changement d’ambiance, jolis meubles, lumières agréables et j’ai passé un bon moment à discuter avec l’impression d’être dans un lieu à part, un peu coupé du monde, accompagné d’un petit vent de liberté(j’étais sous la clim faut dire…) Au bout du verre, nous sommes repartis, non sans glaner quelques infos comme quoi, la semaine est plus intéressante que le week-end, et qu’ici tout se joue autour de la scèné(parfois ouverte), des artistes, et de la musique. A restester dans d’autres conditions, mais bref, j’ai testé l’Orphée Privé.