Neige d’Eté

C’est le restaurant que le plus adoré en 2015! Et 2016 commence très fort, on s’en doutait et le chef a obtenu sa première étoile Michelin en début d’année.
Le cadre du restaurant est très plaisant, ambiance très claire et lumineuse. On respire le calme et s’y sent agréablement bien. Les tables sont bien espacées, on entend quasiment pas les voisins. J’apprécie cette sérénité qui règne dans ce restaurant.
On est bien accueilli, par le chef lui-​même si vous arrivez en tout début de service. Ensuite deux personnes vous prenne en charge pour le vestiaire et se diriger vers votre table. Super standing.
Au moment de la réservation, la personne au téléphone note toutes les informations me concernant, vraiment un autre plus, on n’a pas besoin de répéter nos exigences à chaque résa.
Le menu est imposé, 40 euros le midi et 70 le soir (45 et 80 à partir du 01/​03/​2016). Les propositions au menu changent chaque mois en général. En ce moment, le chef propose une magnifique tourte, avec une réalisation et une qualité remarquable, malheureusement elle n’est proposée que de décembre à la fin février.
Pour patienter et nous mettre en appétit, une mise en bouche est servie sur un mini plat, puis une seconde. On enchaîné avec l’entrée du moment. Samedi dernier, j’ai pu goûter le tartare de saint-​jacques avec du caviar, une merveille, suivie d’ormeau et de langoustines poêlées. On en voudrait plus!
Pour le plat de resistance, on a le choix entre trois plats. C’est étrange, les intitulés des plats né m’ont jamais vraiment plu, mais c’est toujours une bonne surprise au final.
On peut constater à tel point ils sont soigneux et méticuleux. La présentation des plats est toujours nickel et appétissante. Les cuissons sont toujours parfaites, les découpes ultra précises.
On termine enfin avec le dessert du moment et des mignardises pour conclure ce festin. Les desserts né sont pas leur point fort, mais clairement, ils s’améliorent.
En résumé on né laisse rien sur les assiettes. Et ceci dit, je recommande énormément ce resto pour un repas en tête-​à-​tête ou en famille.

Neige d’été m’a fait fondre de plaisir!
Me voilà en pleine hésitation avec une occasion à fêter et sur les conseils avisés d’amis Unilocaleurs je décide de réserver chez Neige d’été. Le premier contact par téléphone est très positif: je veux dire par là que lorsque j’appelle un vendredi pour réserver pour la semaine d’après on né me rit pas au nez en m’expliquant que tout est complet pour les 3 prochaines semaines (si vous voyez ce que je veux dire…).
La déco de la salle est élégante, moderne et sobre. On sent tout de suite à l’aise. Nous avons été placé à la table à côté des cuisines ce qui nous a permis d’observer le calme qui régnait en cuisine.
Toute l’équipe est japonaise et cela se ressent de l’assiette au service. Ce restaurant respire la délicatesse et le sens de l’hospitalité. J’ai vraiment aimé le service irréprochable et à l’écoute des clients.
Côté cuisine j’ai vraiment été bluffé. Nous avons pris le menu classique avec assortiment mets vins qui comprend 4 plats, 2 desserts et 5 verrres de vin. J’ai adoré le tartare de thon/​oeufs de saumon, le velouté de fruit de mer, le cromesquis de riz de veau accompagné d’un tartare d’huitres et le cochon de lait braisé sur du charbon de bois japonais. Le seul bémol pour moi c’était le dernier dessert: glacé au café, gelée de pamplemousse et crème de marron. Je n’ai pas du tout aimé cette association ni en terme de goût, ni en terme de texture. Mais sinon j’ai été conquise des amuses bouche aux mignardises!
Cerise sur le gâteau Neige d’été a obtenu sa première étoile deux jours avant notre dîner. C’était très touchant de voir leur humilité face à cette récompense qui est amplement méritée!
Par ailleurs j’ai trouvé les prix plutôt raisonnables pour cette qualité. Le menu classique est à 70 euros et 115 euros avec l’accord met vins. Le menu dégustation à 110 euros comprend 5 plats et 2 desserts. Attention suite à l’étoile Michelin les prix vont augmenter de 10 euros à partir de mars.
Conclusion je recommande sans hésiter!

As other reviews stated, the food is excellent, the service is very attentive, and you’ll feel like a prince (ss) during your meal for a reasonable price — € 40 the lunch menu, even on Saturdays (2 appetizers — 2 starters — 1 main — 1 dessert — 1 sweet).
It is a perfect place for an intimate, romantic meal, without it being too intimidating.
Careful through: you have to pay for water (€ 3 for unlimited refills) and some dishes come with a supplement (+€ 15 on your € 40 menu if you take the delicious beef that the waiter will show you at the beginning of the meal).

Sur ce coup, je renforce uniquement les avis précédents ! C’est juste top !
J’y suis allé un midi, le menu est à 40 € et comporte des amuses bouches, une entrée, un poisson, une viande, un dessert et quelques sucreries.
La nourriture est fine, le mélange de saveurs est exquis. Chaque plat est une surprise, les portions sont petites mais largement suffisantes vu le nombre de plats.
Concernant l’ambiance, l’équipe est aux petits soins, les serveurs sont super gentils et guettent le moindre verre vide. Pour le cadre, c’est élégant est calme.
A recommander sans aucune hésitations, très bon rapport qualité prix (même si ma banquière né voudrait certainement pas que j’en fasse ma cantine).

I wish there was some way to acknowledge that this was the best meal I’ve had in recent memory.
I found this restaurant on a food group I’m a part of on Facebook. I made reservations via email about 3 weeks out.
We had trouble finding it as it is not very clearly marked. When we entered I was surprised at how small the restaurant was. There are maybe 12 – 15 tables in the whole place and two tiny rooms, one with the open kitchen. Décor is minimalist but chic with white walls and grey curtains.
All the staff are Japanese and speak Japanese, French and a little English.
We decided on the longer menu, which was very reasonably priced.
Each and every course had me in awe. All the ingredients were incredible and the service was professional.
This is my new favorite meal in Paris. Especially for the price!

Deux syllabes: PAR-​FAIT.
Ce resto est une merveille. L’ambiance est distinguée sans être trop guindée. Les tables blanches immaculées et le calme olympien des cuisiniers visibles de la salle appellent à la zénitude totale…
Dans l’assiette, on a le choix entre différents menus. Nous avons opté pour le menu 6 plats à 70 € (qui existait d’ailleurs avec les vins à 113 €). Et que de découvertes! Les assiettes étaient poétiques, hyper belles et pour certaines vraiment originales. Il va sans dire que les cuissons étaient parfaites. Nous avons découvert des associations vraiment inédites: riz de veau/​tartare d’huîtres, foie gras/​betterave ou encore marrons/​café/​pamplemousse… Nous avons goûté du chevreuil cuit au bois de hêtre japonais, ou encore un chamallow au thé vert…
Le service est parfait, discret mais juste.
Les vins au verre que nous avons dégusté (environ 10 euros) étaient exquis et très adaptés aux plats…
Foncez-​y les yeux fermés, vous y passerez une délicieuse soirée…

There are no words to describe the food. In all my life I haven’t experienced anything like this, EVERYTHING was perfect, food, service, wines, ambiance, … This deserves a star!

Tout bonnement exceptionnel, ce restaurant est tenu par une équipe 100% japonaise. Il faut impérativement réserver car la salle né contient pas plus de 25 couverts. Il y a fort à parier que les délais pour obtenir une table vont vite flamber au fur et à mesure que le bouche à oreille va se développer. Le service est extrêmement raffiné et discret. La carte se compose d’un menu unique avec parfois une variation. Le prix varie entre 85 et 100 euros ce qui est tout à fait correct pour un tel niveau culinaire à Paris. Côté assiette tout est parfait: fraîcheur et qualité des produits mis en valeur par des recettes subtiles qui né les dénaturent pas, qualité extrême des cuissons, et esthétisme des dressages. Ce soir là nous avons dégusté: ris de veau pané et son asperge verte saisie, filet de saint pierre et champignons japonais, homard saisi au charbon de bois, pièce de boeuf grillée au charbon de bois (remarquable!), et pour finir un dessert très subtil et frais mélangeant guimauve, fraise et saveurs du Japon. Allez y les yeux fermés.

Difficile de trouver un défaut dans ce festival de qualité, de raffinement, de saveur et de service. Les produits d’exception sont respectés et leur cuisson remarquable (charbon de bois japonais top), les desserts d’une fraîcheur bienvenue, et l’équipe au petit soin. Avec des vins excellents. Tout cela pour un rapport qualité/​prix pour lequel nous né sommes plus habitués à Paris. Allez, comme il faut un point négatif: l’emplacement dans cette rue improbable et une façade toute banale. Courez-​y tout de même !!!

Voilà une adresse que j’avais hâte de tester !
Sur les conseils d’un ami qui m’avait parlé du lieu comme étant «encore meilleur que Cobea». Le Cobea étant pour moi LE meilleur restaurant de Paris.
J’y vais donc avec beaucoup d’attentes !
Testé un samedi soir, nous arrivons à 19h30 et nous sommes visiblement les premiers. Le lieu est vide mais à 20h30, il né reste aucune place de disponible !
L’accueil est très aimable, à la japonaise.
Le lieu est immaculé mais on s’y sent bien, avec de la fourrure sur les banquettes et une jolie vue sur les cuisines ouvertes. Les cuisiniers sont tous japonais mais on y sert une cuisine française.
A la carte, un menu unique de 6 plats à 65 € (qui passera à 70 € le 1er avril).
On commence par une coupe de champagne Billecart-​Salmon, rosé pour moi, qui est accompagné d’un foie gras avec compotée de coings. Le champagne est un délice mais la portion de foie gras est trop petite pour qu’on puisse vraiment distinguer le goût. On apprendra plus tard que la coupe de champagne est à 20 € !! Un prix exorbitant qui n’était pas indiqué sur la carte…
On enchaîné par un amuse-​bouche délicat et savoureux, une soupe de fruits de mer avec une mousse légère et cake aux olives. Nous sommes conquis !
La première entrée froide est un délice: du saumon mariné. Un assaisonnement parfait, un poisson bien frais, on savoure chaque bouchée.
L’entrée chaude est un œuf mollet accompagné d’asperges accompagné de porc fumé. Le mariage des saveurs est parfait.
On continue avec de la saule meunière accompagnée d’un condiment aux câpres. Le poisson est très bon mais on regrettera l’accompagnement peu présent.
Puis, nous avons eu du pigeonneau accompagné de purée de betterave. Pas trop conquise par ce plat… le goût du pigeonneau est très prononcé et on distingue la pâte de la bestiole !
On passé au dessert avec une délicieuse panna cotta framboise déstructurée. Bémol pour la demi-​tartelette au chocolat sans trop de surprise et avec une portion peu généreuse.
On finit par 2 cafés au goût très (trop) fort à 5 € chaque.
Pour résumer :
— Un lieu très élégant, un service aux petits soins et un personnel souriant. On aura le droit à 2 parts de cake au citron pour le petit déjeuner en partant !
— Une ambiance distinguée et un lieu à la décoration sobre mais travaillée
— Une cuisine maîtrisée bien qu’offrant peu de surprises
— Un tarif convenable pour un repas de qualité et gastronomique
— Mais des à-​côtés à des tarifs beaucoup trop élevés ! (20 € la coupe de champagne, 5 € le café, eau plate payante, verre de vin à 10 €).
On s’en tire au final pour 225 € à 2 !

Au début de cette année 2015, j’avais pris la résolution « Unilocalique» de rédiger des avis plus concis. Autant vous dire que cette bonne intention est bien vite oubliée quand il s’agit de décrire un passage chez Neige d’Eté. La magie a plus qu’opéré pour m’offrir mon meilleur repas d’anniversaire, e-​v-​e-​r.
Ancien du George V, Hideki Nishi a décidé de prendre son envol pour émerveiller nos papilles et a établi ses quartiers dans le 15e arrondissement, dans une rue plutôt quelconque. La devanture est plus que discrète. Tellement discrète que le nom du restaurant n’est suggéré qu’en lettres blanches sur la porte transparente. Une fois le pas de la porte franchi, on pénètre dans un univers feutré à large dominante de blanc immaculé et de gris, où les couverts né sont pas légion (une petite vingtaine). Les lustres à pampilles apportent une note de chic, à l’image des douces couvertures recouvrant la banquette. Pour ajouter une touché de confort, un gros coussin moelleux à souhait. Une fois assis, on est comme sur un nuage. Le voyage peut commencer.
Un peu comme si tout était calculé pour que vous n’ayez rien à penser ou presque, le menu de six plats est imposé (65 euros). Néanmoins, le choix d’un accord mets et vins vous revient, ce que nous né choisissons pas. On ouvre le tiroir sous la table récupérer les couverts et c’est parti. Après avoir commandé une coupe de champagne pour fêter mon anniversaire comme il se doit, le récital peut commencer avec une mise en bouche de foie gras, de coing confit et de pain au raisin. Moi qui n’aime pas le foie… c’est un régal. L’association foie gras/​sucré fonctionne à merveille. Vient ensuite une soupe de fruits de mer absolument divin, on en redemanderait… Mais c’est loin d’être terminé. Le menu né fait que commencer, avec du thon fumé, de la salade de radis assaisonnée à la vinaigrette de truffe. On se régale, on en redemande. La suite prendra la forme de langoustine poêlée, accompagnée de poitrine fumée et d’une purée de panais. Sublime. Encore. On continue avec l’anguille fumée, fois gras poêlé et jus de cresson. L’anguille est une première. Pas le foie gras. Mais l’association est un succès. La suite, la poularde grillée au charbon de bois. La cuisson est divinement maîtrisée, tout est goûteux. C’est le sans-​faute. L’heure de passer au dessert. La panna cotta qui arrive est sublime et élégante, à des années-​lumière de celles que l’on peut retrouver dans les restaurants italiens. Ici se mêlent du sablé, de la meringue, des framboises, de la glacé à la framboise, des morceaux de raisin, des fleurs comestibles. On frôle la perfection. Et puis, les lumières s’éteignent, le silence se fait. Les convives de la salle fredonnent «joyeux anniversaire». Une tartelette au chocolat se fraye un chemin vers la table et je soufflé ma bougie. Les lumières se rallument et le festival se poursuit. La serveuse vient nous demander s’il reste de la place pour le deuxième dessert du menu. Affirmatif ! Ce sera donc le cheesecake au citron, avec un mini-​macaron et une micro tartelette au caramel, le tout arrosé d’une thé vert japonais. Fin du voyage.
On retiendra le service aux petits soins, prévenant, la cuisine ouverte très calme, où le chef et sa brigade produisent leur art dans un silence surprenant, la gastronomie de haute volée sans le décorum pompeux. Si vous craignez de né pas repartir rassasié, détrompez-​vous. Au bout de 8 plats, vous êtes repu et surtout, vos papilles repartent ravies.
La cuisine fusion franco-​nipponne de Neige d’Eté est très fine et exquise. Je né peux que souhaiter longue vie à Hideki Nishi. Pourvu qu’une pluie d’étoiles Michelin s’abatte sur ce bijou d’adresse.

En entrant, on découvre un lieu élégant, épuré, dans les tons gris et blanc: des lustres en cristal, des murs blancs, des rideaux de lin, des meubles en bois «délavés» gris clair/​blanc…
Ayant réservé une table pour deux un samedi soir, on nous conduit dans un petit salon avec seulement 3 petites tables rondes. Un moment privilégié…
La soirée commence parfaitement par la dégustation d’un verre de champagne rosé accompagné de son foie gras et confit de coing.
Puis, nous choisissons de prendre l’accord mets et vins et ainsi de nous laisser guider par les suggestions du sommelier.
On débute le repas par la mise en bouche: un consommé de moules et coques (excellent) et un kouglof de jambon ibérique (que j’ai trouvé pour ma part, un peu sec).
Suivent ensuite, en entrée:
— le saumon mariné, tartare et caviar citron servi avec un Riesling. Je n’avais pas encore eu l’occasion de goûter au citron caviar, celui-​ci apporte du croquant et une touché d’originalité.
— la saint-​jacques poêlé, purée de panais et son verre de Savennière (une couleur dorée, une odeur miellé mais en fait pas du tout un vin moelleux!!). Cette saint-​jacques, parfaitement cuite, était accompagnée d’un morceau de poitrine de porc (très parfumé mais trop gras pour que je puisse le manger).
En plat, nous dégusterons:
— l’anguille, foie gras poêlé et cresson accompagné d’un saké japonais. Pour ce plat, on partait mal puisque je n’aime pas vraiment ni l’anguille ni le foie gras poêlé!! Et bien là, j’ai aimé! L’association des deux fonctionne très bien.
— le pigeonneau grillé au charbon de bois japonais et son verre de Côtes-​Rôtie. Un délice, une viande fondante servie avec des betteraves et du raisin.
A la vue du plateau de fromages, nous nous laisserons tenter par un assortiment: brillât-​savarin crémeux à souhait, conté, chèvre et bleu. Miam miam…
Et pour finir:
— la panna cotta aux framboises. Une jolie présentation, et un dessert très très bon.
— la demi tartelette au chocolat et son sorbet thym-​citron ainsi que deux mignardises (un mini macaron (que je n’ai pas vraiment aimé) et une tartelette au caramel beurre salé (bien fondante)).
Bien entendu, il s’agit de petites portions ;) sinon j’aurais explosé!
Petite déception concernant le beurre accompagnant le pain puisqu’il s’agit d’un beurre doux!!!
Mais dans l’ensemble tout est maîtrisé, les assaisonnements sont justes, les alliances fonctionnent, les produits sont frais et de qualités. La sélection de vin permet de belles découvertes.
Le service est attentionné et l’on repart même avec un petit morceau de cake au citron pour le petit déjeuner du lendemain.
Alors oui, le concept n’a rien d’original: encore un chef japonais cuisinant de la gastronomie française, encore un menu unique… Mais pourquoi changer une formule qui fonctionne?
Nous y avons passé une excellente soirée.
PS: menu déjeuner à 40 € (+25 € avec l’accord mets et vins) et menu du soir à 65 € (+40 avec les boissons). Rajoutez 23 € pour le champagne et son foie gras et 10 € pour l’assiette de fromages.

Je né crois pas m’avancer trop en prophétisant une étoile michelin prochaine à ce restau. Je comprendrais que le guide né s’aventure pas d’emblée jusqu’à cette petite rue perdue et incongrue du 15ème mais si leurs pas s’égarent jusqu’ici — et ce serait absurde que ce né soit pas le cas — il me paraît impossible que le restau échappe à son étoile. En attendant, plus modestement, je lui attribue 5 étoiles Unilocal,amplement méritées selon moi — après deux passages, un déjeuner et un dîner. Ce chef japonais qui cuisine, comme souvent les chefs japonais à Paris, des plats d’inspiration française mais en introduisant des éléments japonais a vraiment beaucoup de talent.
Le principe est semblable à l’Astrance (on leur souhaite le même parcours !) avec un menu surprise dont on exclut seulement ce que l’on n’aime pas du tout, du tout (mais c’est quand même l’occasion d’être un peu aventureux et de tenter l’anguille par exemple) ou les sources d’allergie. Le midi, menu à 40 euros et 4 plats, le soir 60 euros et 6 plats (vous pouvez choisir l’assortiment vin en plus, avec un verre accordé avec chaque plat).
Nous avons pu goûter au cours des ces deux repas (à un mois d’intervalle tellement le déjeuner nous avait plu) avec pèle mêle :
* en mise en bouche un consommé de moule délicieux et une brioche au jambon: très très bon !!
* en entrée le saumon: carpaccio délicieux avec des petites graines de citron qui donnaient une structure sympa et originale et le saumon fumé plus classique, le tout parsemé de fleurs
* autre entrée les saint jacques (parfaitement cuites et onctueuses) et purée de panais
* foie gras poêlé et anguilles: encore très bon et équilibré. Première fois que je mangeais de l’anguille (qui ressemble énormément à du poisson en texture et goût) et les deux s’alliaient très bien ce qui né me paraissait vraiment pas évident. L’ajout de cresson donnait du croquant à l’ensemble: top.
* poularde grillée au charbon de bois japonais: cuisson impeccable, fondante: délicieuse. La purée en accompagnement et la sauce étaient aussi parfaitement réussies
* tarte au chocolat: bonne et bien maîtrisée mais plus classique. Par contre l’accompagnement était à la fois étonnant et délicieux: un sorbet thym-​citron vraiment exceptionnel.
Donc l’ensemble démontre le talent de ce chef, les recettes sont réussies et équilibrées avec une touché d’originalité qui en fait vraiment un restau gastronomique à mes yeux. Et comme tout restau gastronomique, les portions né sont pas très généreuses… l’envers de la médaille. Et à un mois d’intervalle, le menu né se renouvelle pas beaucoup. Ce seront mes deux seuls bémols mais qui né gâche en rien le tout.
Sinon, l’accueil est extrêmement prévenant et attentionné et la déco toute blanche (un peu zen quoi…) très sympa. Foncez avant que le bonhomme michelin né passé par là et que les prix né s’envolent trop !

Charmée par ma première visite dans ce restaurant, j’y suis retournée une 2e fois mais cette fois ci le soir.
Et mon avis n’a pas changé — cela vaut toujours un 5 étoiles !
Le menu du soir est à 65e. C’est également un menu unique composé d’un amuse bouche, de deux entrées, deux plats, deux desserts et des mignardises.
Aucun des 8 plats né m’a déçu — tous s’enchaînaient parfaitement et nous faisaient découvrir des saveurs inattendues …
Le service est très discret, très agréable. La serveuse est d’ailleurs extrêmement physionomiste, m’ayant reconnue de ma 1ère visite 3 mois auparavant !
Bref, à quand l’étoile?

This is it. I came to Paris thinking I have to have the best dinner of my life somewhere in this city. I started looking around on Monday for a Saturday dinner for 1 but 9 out of 10 places I asked were all booked. I went on food blogs etc looking for a clue but didn’t find anything I wanted so I decided to take a risk and try this place that opened 2 months ago. OK. I found it. This place is so elegant and flawless. The food. OMG the food. I cannot imagine how hard it is for a Japanese chef to cook traditional French in Paris, which isn’t rare but based on my experience can most certainly end dismal. The dishes here have fantastic flavors and every single cut of fish and meat is cooked perfectly. Waiters here do not speak English lol and I felt so bad for not being able to speak French/​Japanese but they went out of their way to try to help me. I also loved the pull-​out drawer holding utensils. Wine pairing is insane as well. Please. Just do yourself a favor and come here.

Un moment dont on se souvient longtemps…
J’ai découvert Neige d’été grâce aux avis enthousiastes de la communauté Unilocal et je rejoins le club des convaincus.
Un service aux petits soins d’une gentillesse rare: le bon rythme entre les plats, des anecdotes sur les mets qui font voyager, des attentions particulières
Une ambiance zen et détendue — appréciable dans ce genre de restos qui sont souvent un peu trop guindés.
Des assiettes sublimes avec des goûts originaux (mention spéciale pour le foie gras, mais et anguille). Je vous conseille de prendre l’accord mets vins, les bouteilles se marient à ravir avec les plats et sont exceptionnelles.
Pour couronner le tout, une addition très raisonnable. Le chef nous a offert sa dernière création en plat supplémentaire (homard et caviar rien que ça!). Et chacun repart avec une petite surprise à déguster chez soi…
En conclusion, dépêchez vous avant que l’adresse né devienne trop courue car elle le deviendra, c’est certain!

L’une des découvertes les plus surprenantes de cette fin d’année.
Déjà par son emplacement, complètement improbable: Neige d’Eté est situé tout en haut de la rue de l’Amiral Roussin, dans le 15ème arrondissement, soit un coin plutôt désert et carrément tristounet. D’ailleurs, on né se retrouve pas à ce niveau de la rue par hasard, il faut le vouloir.
Ensuite par son ambiance, ultra-​zen. A l’intérieur, tout est immaculé, des murs aux chaises en passant par les bouquets de roses virginales. Le ton est donné: ici, c’est plutôt Kyoto que Tokyo. Car tous sont japonais, clients, chef, commis et serveurs, même si dans l’assiette, on retrouve peu de choses du pays du Soleil Levant. Évidemment, le service est tout doux, bien qu’encore peu assuré.
A la carte, un menu unique en 3 plats au déjeuner (35 €) et en 6 au dîner (65 €), avec une suggestion de vin au verre pour chaque. J’avais entendu parler dans le premier avis Unilocal sur le lieu d’une anguille au foie gras, que je m’attendais à trouver à la carte. Déception: j’aurai droit en entrée à un gaspacho, à de la lotte en plat (poisson que je n’affectionne pas plus que cela malgré sa belle réputation) et à du melon au mascarpone en dessert. Je né suis pas très emballée. Je demande au serveur où est passée la fameuse anguille au foie gras censée être servie ce mois-​ci, il me répond qu’elle n’est présente qu’au menu du soir. Voyant ma déception, il me propose de nous en offrir en dégustation entre l’entrée et le plat. Eh beh !
Le gaspacho arrive, ou plutôt son accompagnement, totalement inattendu: du poulpe, des langoustines, de la seiche… Je né m’attendais pas du tout à cette explosion de saveurs et de couleurs dans une assiette à part. Le gaspacho, à l’acidité parfaite, est lui servi dans une jolie coupelle type matériel de chimie. Fun, tout comme les couverts que l’on doit aller chercher dans un petit tiroir sous la table.
L’anguille au foie gras et aux grains de maïs grillés tient ses promesses et je suis vraiment touchée qu’ils l’aient préparée spécialement pour nous à cette heure-​ci, sans supplément. La queue de lotte est quant à elle parfaite, autant au niveau de la cuisson que du goût. C’est à ce moment-​là que j’en apprends plus sur le chef japonais qui s’affaire en cuisine (ouverte): Hideki Nishi a officié 13 ans au Georges V, en tant que chef de partie poisson. Ah, d’accord, c’est donc ça… C’est donc aux meilleurs fournisseurs qu’il s’adresse désormais, soit à l’un des meilleurs poissonniers de France basé en Bretagne.
Le dessert est tout aussi délicat, décomposé en deux parties (glacé au mascarpone, billes de melon et poudre de yaourt /​blanc manger, soupe de melon et mousse au mascarpone). Divin.
Une adresse de haut vol qui prendra vite son envol.
A tester sans plus attendre, avant que le cahier des réservations né soit plein.

Je le dis tout de suite, je né suis pas du tout experte des restaurants grastronomiques. J’aimerais avoir plus d’expériences mais je né privilégie pas assez d’occasions…
C’est donc grâce à un connaisseur que j’ai pu connaître ce restaurant gastronomique tenu par un couple japonais. Il est tout nouveau (ouvert depuis fin juillet 2014), donc peu de gens en parlent pour le moment.
J’ai été vraiment ravie d’être parmi les premiers clients de cet endroit plein de charme.
Alors les détails… j’aimerais exprimer cette expérience magnifique avec autant de finsse et délicatesse que leur cuisine mais mon vocabulaire est aussi pauvre que mes expériences !
J’ai passé un moment délicieux, les sauces et leur dose, les produits et la cuisson appliquée sur chaque matière étaient parfaits. J’ai absolument adoré tout ce qui a été proposé ce soir-​là y compris les vins.
Si je choisis ce qui m’a marquée le plus parmi eux c’était anguille avec foie gras de canard et maïs, accompagné d’un vieux sake.
Ils m’ont fait découvrir ce surprenant saké de l’année 1997. Il est rare de tomber sur un saké d’un tel âge, et je né savais même pas que ça se buvait (mais je m’y connais rien) !
Je né sais pas s’ils vont le proposer continuellement, mais aux amateurs je vous conseillerai fortement de le goûter.
En ce qui concerne le décor, mes photos expriment mieux que mes mots :)
Quant au service, impeccable. Le serveur est très sérieux et poli à la japonaise, la patronne est un peu plus décontractée et souriante, le chef (son mari) aussi. Ils expliquent bien leur carte. On sent bien la volonté sincère de faire plaisir aux clients.
Ils proposent un menu unique pour midi (3 assiettes, 35 €) et soir (6 assiettes, 65 €). Honnêtement je n’ai pas trouvé les prix excessifs. La personne qui m’accompagnait les trouvait carrément bons marchés pour la qualité.
Pour le moment ils changent la carte tous les mois, mais ils espèrent pouvoir le faire plus souvent possible.
Ils m’ont dit qu’un client est déjà revenu 2 fois. Je le comprend (et lui envie).
Réservation conseillée si vous voulez une table dans le salon privé.