Paradis

Le Paradis est un restaurant à l’ambiance cosy et sympathique. Il est très grand, réparti sur 2 étages, mais il est préférable de réserver particulièrement le samedi soir.
Velouté de potiron et noisettes grillées en entrée, rascasse rôtie et risotto au chorizo en plat principal, puis mousse au chocolat 70% avec sorbet cerise griotte. Un Gin fizz pour accompagner le tout, ce qui fait environ 45 €/​pers. C’est pas donné mais les plats sont vraiment bons, raffinés, et l’endroit vaut le détour. J’y retournerai avec plaisir.

Really nice food in a simple but nice place in a changing and hipster invaded area. The staff is very helpful and friendly. They focus on fresh seasonal products so the dishes constantly change. The dishes are both creative simple and elegant. Perfect place to spend an evening with friends.

Juste à côté du boulot, on se décide à y aller un midi à 5, nous sommes arrivés relativement tôt (12h45−13h) et nous avons eu l’avant dernière table.
L’endroit est très joli, avec un coup de coeur spécial pour la grande table en bois du milieu. Le menu du midi vaut vraiment le coup (16euros amuse bouche (la taille d’une entrée!), plat et dessert), à la carte comptez une vingtaine euros le plat.
Dès que l’on commande, on nous met au parfum: il faudra attendre une vingtaine de minutes pour le plat, car ici tout est fait minute.
On est ravis! Mais il est vrai qu’il faut mieux avoir du temps pour déjeuner lorsque l’on tente l’aventure Paradis.
Tout était très bon, leur assiette de fromages a une très bonne sélection même si pour le prix (12 euros), elle gagnerait à être mieux garnie…
Seul bémol, le service n’était pas au top, la serveuse n’était vraiment pas aimable (et il m’en faut beaucoup pour être amené à l’écrire).
Une adresse sympa et original pour un déjeuner dans le quartier.

Etablissement visité un jeudi soir, la salle du premier est fermée. Nous prenons donc place au rez-​de-​chaussée au pied de l’escalier et de sa fameuse rampe conçue par Baptistin Spade et qui ornait autrefois l’escalier des premières classes du paquebot France. Le cadre est incontestablement plaisant, quoique un peu bruyant.
La carte est classique. A signaler, et c’est remarquable, que la carte offre un large choix tout en proposant des produits frais. En entrée, œuf parfait et raviole de volaille très réussis. Pour les plats, un original tartare de veaux. Un ton en dessous le pavé de porc qui manqué un peu de saveur. Les légumes en accompagnement sont bien travaillés, on sent que le chef est passé chez Passard.
Carte des vins assez originale également. Service correct mais sans éclat.
L’addition revient à 90 euros pour deux (entrées et plats plus une bouteille de Saumur).
A essayer.

C’est un établissement charmant, très année 30. L’ambiance est tamisée avec des bougies et la salle accueillante.
On se sent à l’aise très vite :) Nous nous sommes installés à une petite table ronde pour 2 dans un coin au calme ! Il y a également de grandes tables pour les groupes.
Cette brasserie traditionnelle concocte des plats généreux et goûteux. On déguste une cuisine de saison sans prétention, étonnement bon marché.
Au menu: salades, œufs, coquillages et crustacés, cochonnaille, légumes, pâtes, poissons ou encore viandes.
Pour commencer cette soirée, assiette de saucisson sec d’Ardèche 6 € et terrine de cochon, jeunes pousses, noisettes et vinaigrette 10 €, le tout accompagné d’un bon vin rouge.
Mon choix s’est ensuite porté sur une boulette d’agneau rôti, quinoa à l’orientale, jus de tomates épicées, 18 € Un plat original revisité avec des saveurs agréables et des assaisonnements justes.
Quant aux desserts, je n’avais plus de place pour la crème onctueuse de citron, meringue, spéculoos et sorbet passion (7 €). Dommage !
Pour info :
— Le Paradis est aussi connu pour ses cocktails (10 et 11 €).
— privatisation du restaurant possible
Un conseil, réservez !

Je suis pas du genre à distribuer les éloges à droite et à gauche. Pourtant Paradis m’a conquise et je me dois de le dire haut et fort !
Voulant fêter le jour de l’an à l’Hotel Amour, on m’annonce que c’est complet mais on me refile l’adresse d’un nouveau resto Rue de Paradis. Je le met sur ma «to do list».
Quelques mois plus tard, je m’y dirige pour y dîner.
Entrée plat dessert, formule ou pas, je suis décidée à me faire plaisir !
L’endroit est entre deux, ambiance très romantique avec des bougeoirs à table, une musique assez calme.
La carte est plutôt longue, divisée en plusieurs thématiques: oeufs et soupes, pâtes, viandes, poissons, légumes.
En entrée allons y pour l’oeuf parfait, champignons en crème et jambon serrano. C’est simple mais qu’est-ce que c’est bon. Je compare à la soupe de cepes, serrano et comté que j’ai mangé hier au Richer, et celui de Paradis était carrément mieux: le goût parfaitement relevé, le serrano grillé pour donner le croustillant idéal au plat. 9 €.
En plat: Risotto au jus de viande et langoustines avec quelques brins de laitue braisée. C’était encore une fois magnifique. On rigole pas sur la quantité (quoi que le prix est un peu élevé mais oh! c’est des langoustines quand même). 26 € le plat.
Dessert: Crème de cheesecake et sorbet myrtille. La crème est épaisse mais légère et en effet, elle renferme bien tous les goûts sucrées du cheesecake. Le sorbet rafraîchit. Parfait.
Vous l’aurez compris, chez Paradis, on monte quasi au 7ème siècle de la simplicité.
Vous né trouverez pas ici une cuisine extrêmement inventive ni complexe, mais on n’est pas non plus dans un bistrot gourmand. On tape dans le goût, l’esthétique vient après. parfois ça fait du bien de savoir que notre ventre passera avant nos yeux. A faire !

Cadre ample et agréable, serveuses charmantes et formule déjeuner savoureuse et très abordable: 16 € pour entrée plat dessert et café. Pour ce prix là, les rations sont évidemment petites, mais suffisante pour que l’ensemble constitue un excellent repas. Système audio qui semble un peu surdimensionné, et grande salle à l’étage. Un lieu où organiser des fêtes?

Un restaurant tenu par un disciple de Passard qui propose une cuisine épurée avec un menu déjeuner à 16 euros, clairement une bonne affaire du quartier.

Ce restaurant ouvert il y a peu rue de Paradis, non loin de Gare de l’Est, a tenu les promesses suscitées par son joli nom et celui de sa rue, et m’a ravie lors d’un déjeuner vraiment presque parfait. La formule du midi à 16 € inclut une mise en bouche, qui a quasiment la taille d’une petite entrée (le mot «mise en bouche» peut effaroucher les gros appétits): ce midi-​là, la faisselle, avec radis coupés en fines lamelles sur de la mâche était très bien assaisonnée, finement relevée, une entrée pleine de fraîcheur et accompagnée d’un bon pain de campagne, qui toute simple qu’elle semble était néanmoins bien tournée. Si je préfère la baguette et de loin, leur pain me l’a un peu fait oublier (ma baguette). En plats, les fregolas (toute petites pâtes rondes comme des mini billes) aux coques étaient légèrement crémeuses et cuisinées un peu en risotto, vraiment excellentes, malgré l’invasion de coriandre (invasion sourde qui menace notre cuisine — je déteste ça mais au delà, la coriandre né va pas avec tout !) et les coques étaient parfaitement cuites, sans la texture de plastique qu’on trouve parfois. En dessert, la crème au chocolat aromatisée à l’orange et la boule de glacé framboise étaient délicieuses et bien assorties, et pourtant je né suis pas fanatique de l’alliance chocolat /​fruit (il n’y a rien de pire qu’un Pims). L’ensemble du menu était donc vraiment très réussi et pour un prix très correct et surprenant vue la qualité.
Le reste de le carte est présentée de façon originale et déstructurée, par catégorie: «pâtes», «cru», «bouillons» etc. Ce déjeuner m’a convaincue de la qualité de la cuisine et m’a donné envie d’en goûter davantage. Le cadre est par ailleurs très beau, avec une belle hauteur sous plafond, une profusion de bois (tables, sol), des lampes et des banquettes rouge aux allures de bistrot, un escalier forgé charmant, des grandes baies vitrées ouvertes sur la rue de Paradis. Le service était adorable.
La formule déjeuner au rapport qualité prix si éclatant me fait craindre que ce né soit qu’une offre de lancement, alors courrez y tant que le Paradis n’est pas encore installé sur des lauriers inaccessibles. Le déjeuner paradisiaque du paradis né durera sans doute pas toujours.

Après avoir été le chef de plusieurs autres restaurants (dernier en date le racine 2), le chef Nicolas Gauduin nous enthousiasme encore une fois dans les cuisines du Paradis.
Des plats aux saveurs fines en toute simplicité… Un régal pour vos papilles…
Attention, n oubliez pas de réserver si vous voulez y dîner…

Nommer un restaurant Paradis pourrait sembler présomptueux. Et puis… Le paradis des uns n’est pas forcément celui des autres. Sauf quand on a une (ou plusieurs) bonne (s) excuse (s), la première étant une localisation rue de Paradis. D’où le nom. Logique. La prétention, elle, est ailleurs, dans d’autres rues, d’autres quartiers…
Après avoir poussé les portes du Paradis, ma première réaction fut pour l’atmosphère apaisée, malgré un fond sonore pour le moins rock. Belle combinaison, étonnante, certes, mais pas désagréable. La déco, empreinte de tonalités scandinaves (couleurs claires, bois brut), y est aussi pour quelque chose. Pour peaufiner sobrement le tout, quelques photos de Man Ray, par-​ci, par-​là.
La lecture de la carte nous fait constater que la cuisine reste assez traditionnelle. La patte du chef Nicolas Gaudin lui donne néanmoins un soufflé nouveau. En entrée, on tente l’œuf parfait plongé dans une crème de trompettes et jambon et cuit, comme précisé sur le papier, à 64°. Personne n’a vérifié. Pour le plat, ce sera boudin noir revisité (de chez Christian Parra), écrasé de pommes de terre et jeunes pousses pour M; j’opterai pour la caillette de cochon rôtie et salade de lentilles vertes du Puy, après avoir demandé quelques explications à la serveuse. Le tout est simple et efficace, sans pour autant nous envoyer au septième ciel. Mais on reviendra, lorsque nos papilles seront en manqué de cuisine de grand-​mère version XXIème siècle, mais aussi pour goûter les desserts. Par ailleurs, les prix restent classiques, pas spécialement choquants dans un endroit capitalesque comme celui-​là: compte entre 6 et 12 euros pour une entrée, entre 15 et 22 euros pour un plat et en moyenne 7 – 8 euros pour un dessert. La formule déjeuner paraît alléchante et intéressante: mise en bouche, plat principale, café et gourmandise pour 16 euros. A découvrir donc.
Enfin, note un fait important, bien rare: la grande table centrale, ce soir-​là partagée par plusieurs petits groupes, mais pouvant accueillir facilement une dizaine de personnes. Et pour info, une seconde grande table se trouve au plus près de la baie vitrée donnant sur rue, au cas où tu t’y serais encore pris trop tard pour réserver.

Superbe découverte ! Il nous manquait ce genre de restos dans le quartier. La carte change souvent en fonction des arrivages. Les plats sont succulents et copieux. Une véritable petite pépite. Le service est très sympathique quoiqu’un peu maladroit. A conseiller !

Une cuisine formidable!!! Un goût innovant et délicieux. Le carde est un peu rétro mais sympa.

Paradis was far from Paradise. At least when it came to the food which sorely lacked originality and any depth of flavor.
The menu is diverse and appealing, ranging from hearty soups and scallop carpaccio to thick veal steaks, rissotto and fish.
Since many of my friends went with the fish, I decided to order two appetizers that appealed to me: a self-​proclaimed «perfectly cooked» egg in a creamy leek and ham sauce and a plate of roasted winter vegetables. The egg was way too runny and actually cold on the inside. I should have sent it back but it had taken some time to order and get our food so I just ate around the offending parts. The vegetables were tasty, but not seasoned well enough so a bit flat on flavor. When I asked around the table, everyone felt about the same: the food was fine, but far from stellar.
The space, however, is lovely, very low-​lit-​romantic-​hip with big bay windows that look out on to the street. On a Friday night the place was packed, and full with a very fashionable crowd. Definitely a place where one would go to go to see and be seen, not necessarily where one would go for an inspired meal.

Peut-​être qu’on ira pas tous au Paradis, mais en tout cas on devrait !
La rue de Paradis est en pleine métamorphose et les bonnes (ou un peu moins bonnes) adresses pullulent depuis quelques mois, et le Paradis est une chouette représentation de ces changements.
Le lieu est sobre et accueillant, le service aimable: on se sent vite très bien, bien qu’on regrette la lumière un peu trop tamisée.
La carte est pointue et sait donner envie. J’ai opté pour l’oeuf parfait en entrée (pas si parfait que ça car un poil trop tiède) et le canard en 2 façons avec petits légumes, mon copain était ravi avec son potage au potimarron et ses Saint Jacques cuisinées à la Truffe + purée de céleri.
Petits soucis au niveau de la prise de notre commande, nous avons du attendre un bon moment avant de recevoir nos entrées mais nous mettons cela sur le compte de l’ouverture récente et des rodages en cours (sympas hein).
En somme, nous étions 2 et avons pris chacun entrée+plat + apéritif + 1verre de vin et 1 dessert partagé et en avons eu pour moins de 90 € en tout. Un prix pas si élevé que ça en comparaison avec d’autres restaurants de cette gamme !

Mon diner au Paradis pourra se résumer très simplement: Très bon, mais un peu trop cher pour ce que c’est.
Certes, les recettes sont vraiment élaborées et recherchées, mais il y manqué le petit truc qui les rend incontournables. Du coup, les prix deviennent un peu élevés et même si je né regrette pas mon plat, c’est pas le genre de resto dont je deviendrai une habituée.
Je me suis laissée tenter par la crème de lentilles aux éclats de foie gras, noisettes et herbes en entrée, et un médaillon de veau accompagné de crosnes, poireau grillé et d’une purée de potiron en plat principal. La cuisson de la viande était parfaite.
A côté de cela, il y a de grandes tables, ce qui permet de venir assez nombreux, et beaucoup de couverts, ce qui né rend pas la réservation indispensable. La décoration intérieure est sobre, et une baie vitrée ouvre la salle sur l’extérieur. Le service manqué par contre d’un peu de sourires, ce qui est dommage, car le lieu est attrayant, mais manqué d’une ambiance agréable.
Ceci étant dit, je vous invite tout de même à découvrir cet endroit si vous passez dans le coin, que vous né savez pas où manger et que vous avez envie d’un plat raffiné.

Quartier vraiment cool pour ce restaurant prometteur de l’extérieur… Une grande capacité en termes de couverts, une salle du bas spacieuse et décorée avec goût. La salle du haut fait plus cantine, il y a vraiment moins d’ambiance et le service est moins présent donc il vaut mieux être attablé en bas à mon avis.
Côté carte, pas beaucoup de choix et des prix assez élevés…
Dommage car il y a de la recherché et du raffinement en cuisine ça se sent… les œufs parfaits sont très bons, les saint Jacques aussi… mais chères pour ce que je retrouve dans mon assiette…
Ça reste une bonne adresse pour moi puisqu’on y mange bien mais déception pour ma part sur la salle du haut et les prix…

Solide.
Nous avons finalement été tester cette adresse qui nous intriguait depuis quelque temps. Cuisine vraiment intéressante, variée et osée. Pas mal de plats assez originaux ou du moins suffisamment travaillés pour pas qu’on ait l’impression de manger la version basique de monsieur tout le monde.
En entrée on a pu tester un œuf parfait (64° s’il vous plait) dans un velouté de maïs ultra crémeux. Excellent. Aussi des noix de saint Jacques à peines cuites coupées en carpaccio dans un jus de coquillages au beurre. Très bon, seul bémol concernant la laitue de mer qui est coupée trop fine et qui du coup n’est pas hyper agréable en bouche.
Le plat par contre m’a un poil déçu comparé aux entrées qui étaient vraiment terribles. C’était un morceau de carré de porc ibérique qui était à peine rosé. Alors du porcelet de cette manière j’aurais dit oui et re-​oui, mais là sur une viande adulte je né suis pas sur que ce soit la cuisson la plus géniale pour sublimer cette viande mine de rien assez exceptionnelle. Du coup j’ai pas forcément pris mon pied mais bon l’accompagnement était top, purée parfaite et légumes au wok bien croquants.
Mon seul point négatif est plutôt sur l’ambiance, un poil terne, et le boss vraiment pas agréable qui né se gêné pas pour pourrir une de ses employée devant des clients. Pas cool :/​je pense qu’on est pas tombé au bon moment on dira.
Bref j’y retournerais, l’endroit est plutôt cool qui plus est.

Coup de coeur pour cette adresse fraîchement ouverte par l’équipe de l’Hôtel Amour et du restaurant Racines et Racines 2. Aux fourneaux, on y retrouve l’excellentissime Nicolas Gauduin, formé chez le chef 3 étoiles Alain Passard et qui nous régalait depuis déjà quelques années chez Racines 2. On est sur une cuisine de produits où la qualité prime avant tout, rien n’est laissé au hasard niveau fournisseurs. Mais au delà d’un produit d’exception, c’est une cuisine inspirée et inspirante que nous livre Nicolas (foie gras, passion et café) en allant du registre bistrotier (velouté butternut/​fèvre tonka/​foie gras, gratin d’oignons, canard de challans et légumes) au beaucoup plus gastronomique (ouh ces saint jacques mi cuites dans un jus de coquillage monté au beurre… ouh ce risotto aux deux riz…). Tout ça sans taper niveau prix, avec une jolie carte de vins nature (mmmh le sancerre de Riffault.), un cadre branchouille sympa et un service PARFAIT. Hate que ce soit ouvert toute la journée pour venir y tester les pâtisseries au goûter.