If your looking for an epicurious experience in Paris this is the place. The six course meal takes you on a gastronomic tour. From the street, you could easily miss this place as there is only a large door marked with«Port 12». But through door and down a hall is the cozy, warmly lit, open dinning room with about a dozen tables. A glass wall between the eating area and kitchen allows you to see chef Vincent Crepel and his team carefully prepare your meal. Each course is creatively plated and a reasonably sized portion. What stood out most was the masterful use of fresh local ingredients, where each subtle flavor was present and also played its part in scrumptious result. Unlike a typical Parisian Bistro menu, Port 12 delivers unique, interesting dishes that are prepared with perfect technique.
Taylor W.
Rating des Ortes: 4 Gramercy, Manhattan, NY
Very cozy and delicious food! We were recommended to go here through our hotel after another place was completely booked for the night. We weren’t really sure what to expect but we had a wonderful experience. You have to be open to whatever they serve you and trust that it will be good. The main lamb course was absolutely amazing and the dessert dishes were up there too. I highly suggest doing the wine pairings as well to get the full experience. The staff was so sweet and tried their best to explain everything in English!
Pumpkin P.
Rating des Ortes: 4 Paris, France
What a delicious meal. every mouthful was good. The service was great too. The food just lacked a tiny bit of originality but otherwise it was a lovely experience! The restaurant itself is charming and quiet.
Maurizio A.
Rating des Ortes: 2 London, United Kingdom
We had quite some expectations from this place. Owned by André Chiang(former head chef at the three starred Le Jardin des Sens and now at Restaurant André in Singapore), the head chef is Vincent Crepel, a young chef from the Midi-Pyrénées who worked at the three starred Hotel de Ville in Crissier, Switzerland. That’s why we really expected something delightful from this evening, but unfortunately the place failed to deliver. The menu, 6 courses for 75 €, was much uninspired and lacked of thought. With the exception of the last course(the usual black-on-black chocolate and beet combination, he almost always uses these two elements in creating the last dish), everything else showed errors and lack of ideas. It was really discouraging. The worst part probably was the Fois Gras dish, served as a crème with japanese raw mushrooms with chinese bun. The dish was completely out of mind. It was so fatty and so wrong in taste we actually thought to send it back. The mushroom is absolutely unable to keep up with the fois gras, and the bun adds fattiness and oily consistence to something that already has plenty. I did not expect such a mindless combination, this was not an error in the preparation, it was a concept mistake. The fact that the dish was followed up by a pollock in orange sauce with the intention of cleaning up the palate was even worse. After filling my mouth with fat you actually overdose the acid part. Such an error is unbelievable. Looking at the culinary scene in Paris you can definitely look for something else and experience something definitely better.
Elsa M.
Rating des Ortes: 4 Maisons-Alfort, Val-de-Marne
Porte 12 était l’une des sensations de la rentrée dernière et j’avais décidé d’y inviter une amie exilée aux Etats-Unis. J’avais connu le restaurant dans sa vie d’avant et je pris plaisir à retrouver le cadre intime de la rue des Messageries. Le menu du midi à 35 euros n’est pas donné mais en vaut la peine, il permet de découvrir la cuisine élégante d’un chef inspiré. Tout est savamment préparé avec subtilité, c’est vraiment le terme qui pour moi définit le mieux l’assiette. Les saveurs sont claires mais les arrangements audacieux. C’est réussi pour ceux à qui ce genre de cuisine plaît, je n’y emmènerais pas forcément des palais trop classiques… Mais j’ai beaucoup aimé.
Morgan A.
Rating des Ortes: 4 Paris
On n’ouvre pas la porte 12 par hasard, on suit la réputation du chef chinois André Chiang à la tête du célèbre restaurant André à Singapour(et du tout récent Raw à Taïwan). Ce chef superactif a mis son second Vincent Crépel aux commandes de ce tout nouveau restaurant. On entre sans trop savoir ce qu’on va y trouver. On pénètre dans cet endroit dépouillé sans fenêtre mais avec une grande verrière pour assurer l’arrivée de la lumière du jour(indispensable pour déjeuner, curieux de savoir ce que cela donne le soir). On espérait y trouver au moins quelques signes de l’ancienne lingerie fine mais tout a disparu. Murs blancs, escalier en colimaçon vers une mezzanine qui abrite de larges fauteuils et tables basses, la cuisine ouverte qui montre la brigade qui ajuste les assiettes et très peu de tables, bien espacées pour garder une certaine intimité. Le menu mémoiré du midi est à 35 €, pas donné mais on sait qu’avec André Chiang, on est dans un endroit d’exception. Choix parmi 2 entrées et 2 plats, le dessert né se discute pas(bien sûr, c’est au chocolat!!!) A 2, on décide de tout tester : En entrée : — Poireau, Noisette, Anguille — Saumon d’Ecosse AOC, Poire, Crème fumé En plat : — Caille d’Anjou, Kale, Panais — Volaille des Landes, Courge Butternut, Grenaille de Noirmoutier Et donc le dessert : — Chocolat Grand Cru, Betterave Les assiettes qui arrivent sont de véritables tableaux: pas sur de tout reconnaître à première vue. On est surpris par la quantité un peu chiche mais on se concentre sur la finesse des mets, pas besoin de sortir trop lourd d’un déjeuner. On attaque, c’est très bon, tout est cuit à la perfection. Le saumon est mi-cuit, incroyablement fondant en bouche, les crèmes des entrées ont beaucoup de gout et tout se mélange à la perfection. Pour les plats, la comparaison est très rude car la caille(bien que minuscule) est très gouteuse et il vaut mieux éviter de manger la volaille des landes en parallèle qui semble plus fade en comparaison. Le Kale(chou frisé) que je né connaissais que dans les jus, est incroyablement bon. Excellentes purées(panais, courge butternut et grenaille). Le dessert est un festival de chocolat, on comprend pourquoi le reste était si léger car là on attaque l’orgie de chocolat avec cette crème, ces céréales? et le sorbet à la betterave. Attention, le chocolat est tellement fort qu’il est impossible de gouter la betterave. On prend un bon verre d’eau pour nettoyer le chocolat et redécouvrir la betterave. Les vins sont à la hauteur des plats, le bordeaux au verre est excellent. Entre le menu à 35 €, l’eau gazeuse et le vin, on s’en tire pour 45 € par tête. Pas donné pour un déjeuner mais vraiment excellent. On aurait apprécié des plats un peu plus généreux pour la caille et l’anguille et on aurait apprécié un cadre plus travaillé, reprenant la sophistication des assiettes.
Julie L.
Rating des Ortes: 3 Paris
Bel endroit, bon repas mais un peu cher par rapport à la quantité et l’originalité des plats: environ 45 € 5 plats, 60 € 7 plats(comparaison avec l’offre assez compétitive du quartier) Accord met /vin très cher, idem pour le supplément truffe
David M.
Rating des Ortes: 5 Strasbourg-St Denis/Bonne Nouvelle, Paris
Entrées et desserts orgasmiques, plats délicieux, service impeccable. 6 plats + 2 desserts Langue d’ oursin Risotto façon sushis Daurade Émulsion d’étrille Brioche Vanille de Madagascar Topinambour Émulsion de truffes Filet de caille Kaki Oignon a la crème d’oignon Cabillaud Crème butternut orange Carotte cuite sous vide Pigeon Crumble chocolat framboise Purée de panais Émulsion coco Chips de pomme Pommes fondantes Crème de chocolat Croustillant de chocolat Sorbet de betterave Financier
Christophe E.
Rating des Ortes: 3 Clamart, Hauts-de-Seine
Une table très dans l’air du temps avec cuisine ouverte et aux fourneaux Vincent Crepel ancien second du restaurant Singapourien Chiang, pas grand chose à dire sur la cuisine même si je trouve que les conditions né sont pas réunis pour la savourer à sa juste valeur et puis si vous n’êtes pas un cadre de la cinquantaine évitez le repas du midi.