Un petit restaurant: une grande table La surprise c’est qu’il n’y a pas de contrôle de la quantité malgré la qualité de ce qui est servi. L’apéro… les terrines… le plat principal… des vraies morilles de saison… une vraie cote de veau … plateau de fromage… des vrais desserts du pâtissier… bref… prévoyez de réserver à cette adresse confidentielle et étonnez vos amis… en réservant«le restaurant» pour une soirée gastronomique inoubliable et signer des contrats dans la bonne humeur.
YO L.
Rating des Ortes: 5 Nice
La dernière fois était en 1995. Depuis le restaurant à été repris en 2002. Le nouveau chef a perpétué la carte(la même depuis 1936) sans perdre bien au contraire cette magie de la simplicité ou le goût et ce savoir cuisiner, sublimé dans cette authenticité tellement évoquée par d’autres et tellement présente ici. Merci pour nous avoir fait passer une excellente soirée autour de mets savoureux, tels que les ris de veaux, la côté de veau aux morilles, les terrines d’un autre monde et ces desserts qui ont permis de finir ce repas presque familiale. Une carte des vins extrêmement bien choisie, chers certe, mais de petites merveilles y sont cachées. Accueil très chaleureux, on se sens un peu chez soi ici. Merci encore.
Alexis B.
Rating des Ortes: 5 Paris
Cartet fait parti de ces tables dotées d’une sensualité rare, où les plaisirs du ventre se conjuguent pour combler les appétits des initiés. Dans ce concupiscent sanctuaire de volupté le factotum en cuisine, seul face aux fourneaux et aux clients, vous fera partir dans une lucullus nébuleuse où règne la gourmandise, la générosité et l’excellence. Ce petit endroit décroché du temps est une bonbonnière cristallisée dans son époque, une expérience comme il vous sera presque impossible de retrouver ailleurs. La cuisine y est sublime et empreinte d’une bouleversante magnanimité. Une déclinaison de terrines faites maison mariant des sensations sauves, rondes et d’une incroyable richesse aromatique, ici le jambon persillé rencontre la terrine de volaille aux épices et vous sacre voyeur de la précision de leur exécution. Une côte de veau nimbée d’une sauce aux morilles dont la cuisson est candidement parfaite, elle nous dévoile un coeur insolent de tendreté. Des rognons flambés à l’armagnac et au porto comme pour mieux vous ébranler… Enfin les desserts vous seront servis toujours dans cet largeur d’esprit pour finir de vous rendre les armes… Pour les assotis des tartes au citron sachez que vous y trouverez la meilleure que la terre ait porté.