Le Louchebem

Un mot qui définirait Le Louchebem (Le Boucher)? Authentique ! Ici, au dessus du marché Victor Hugo, pas de chichis, on mange local, et copieusement. Pas de réservation possible à l’avance, donc on commande une table, et en attendant, on prend l’apéritif au bar (si possible avec une assiette de foie gras «Deschamps»). Une fois à table, ambiance assurée: du monde, du bruit mais on y mange bien. Dans l’assiette: un plat me suffit amplement ! L’incontournable saucisse de Toulouse est un délice, avec sa purée à tomber. Cassoulet, pied de porc, canard et entrecôtes… Le Louchebem est, pour moi, un incontournable de la ville !

Rapide, simple et traditionnel, c’est bon et pas très cher. Prévoir d’arriver tôt les restaurants du marché ouvrent a 12:00 mieux vaut y être vers cette heure là car ça se rempli vite.

Un dimanche, 12h, on arrive à 3, sans réservation. Il y a déjà beaucoup de monde. On nous trouve une petite table en bout de grande tablée!
Niveau plats, il y a du choix. Et qu’est ce que c’était bon ! Et copieux ! Prix correcte.
Service rapide, personnels corrects mais pas très souriants.
Beaucoup de bruit, pas t’intimité, on mange devant les gens qui attendent une table … Qui nous fixent nous et notre assiette. Pas forcément très agréable, surtout quand ces même personne font des commentaires … Comme quoi nous mangeons pas assez vite … Et que ça fais une heure qu’ils attendent ! Bref, pas sympa les «vieilles» toulousaines le dimanche midi! ;)
Je conseille ce restaurant pour les amateurs de bonne viande (viande venue toute droite du mârché Victor Hugo) mais pas pour ceux qui aiment les restos sympas entre amis, ou Cest agréable de faire durer le repas.

Toujours agréable d’aller manger un morceau au marché Victor Hugo même si le lieu est très fréquenté. Et le louchbem est un bon choix pour ceux qui préfère la viande. J ai mangé dans le menu à 18 euros une bonne salade de boudin chaud et un très bon foie de veau bien cuit et copieux. En revanche le dessert n’était pas terrible. Un quart de vin est également compris dans le menu. Ambiance décontractée, bruyante et conviviale.

Un très bon resto maitre-​restaurateur avec des produits de qualités. Seul la salade n’était pas top.
Bizarrement notre table a eu un peu de retard.

Passable.
Pour les amateurs d’additions salées & de «collé-​serré». Arrivés à midi pétante pour avoir une table & bénéficier d’un meilleur accueil, nous avons tous choisi le menu à 18 euros, celui avec le supplément de 3 euros pour une entrecôte. Hormis la qualité de la viande de boeuf (heureusement), le reste n’a rien de goûteux. Ce n’est même pas gastronomique.

Passable !
Pour les amateurs d’additions salées & de «collé-​serré».
Nous sommes arrivés pour midi pétante, donc nous avons pu bénéficier d’un bon placement.
Nous avons choisi le menu à 18 euros, celui avec le supplément de 3 euros pour une entrecôte.
Hormis la qualité de la viande de boeuf (heureusement), rien n’est goûteux. Ce n’est même pas gastronomique !

N.B. This is only my second five star review.
To say that Le Louchebem is an essential part of my life, is to say that my body needs oxygen. Saying a Cote-​de-​boeuf avec fois gras is what makes me feel alive, is to state that the sun rises in the East and sets in the West i.e. Essential. All very dramatic I must admit, but bare with me.
By far this should be one of the first places you visit, if you ever have the pleasure to be in Toulouse. A place that doesn’t need to take reservations, is a place you need to make sure you’re a part of. The rule is; two seatings. The first one you have to arrive before high noon. The next one you arrive about 13:30 p.m.
In good weather sit on the balcony, if not get amongst it inside. Order a pichet de vin and anything on the menu! Le carte de jour is always great value, but when you see a chopping board come out of the kitchen you know it’s a proper bit of meat. I remember when le Cote-​de-​boeuf was 35 Euros, I think it’s about 65 now. However, I always order it whenever I’m there (they will laugh, if you ask for it to be cooked any other way apart from how it comes) My brother polished it off in 20 minutes and asked for more! It’s at least 2lb of cow.
My friends and I have travelled the world many times, this is still the place we talk about when we refer to steak. See you in August!

Bof !
C’est la cantine du samedi de mon neveu. Il adore. On m’invite en famille. J’ai été très déçue car je m’attendais à un succulent repas. Que nenni. Une entrecôte frites quelconque, alors que le restaurant est au-​dessus du Marché Victor Hugo, donc très bonne viande. Chez moi elle est vraiment plus savoureuse. Une attente de plus d’une heure !!! pour passer à table. Proximité, bruit, service impersonnel, quelle horreur ! Addition conséquente. Je mange dans des restaurants HUMAINS, CONVIVIAUX, où on a un minimum de considération pour les clients. Le film de Charlot (à la chaîné dans une usine) c’est la même chose. Vous n’existez pas. Encore heureux que l’on vous serve à manger et en plus vous dites merci parce que l’on vous accepte. Vous faites ce que vous voulez mais moi je n’y retournerai pas.

Le Louchebem fait partie de ces restaurants situés au premier étage du marché Victor Hugo. Ces restaurants profitent de leur situation pour se fournir en produits frais aux Halles… Ils ont été modernisés il y a quelques années et ont perdu un peu de leur âme… Louchebem en argot des bouchers veut dire, justement, boucher ! On est donc au paradis de la viande… N’hésitez pas, elle est toujours tendre et généreuse !
Un endroit à connaître pour casser la croute au centre ville de manière originale !

The best restaurant in the Halls of Victor Hugo. Lunch here on Sundays is the experience I most powerfully associate with Toulouse. If you go alone or in a small group you’ll most likely end up at a communal table, which is half the fun. The menu for 26 euros has a great foie gras salad, one of the best cassoulets I’ve had and a mediocre dessert, as well as more wine than I can drink.

C’est rare mais il m’arrive d’avoir à travailler le dimanche, toute la journée. En guise de rituel, on va déjeuner au Louchebem avec quelques collègues, aussi sympathiques que bons vivants.
Le Louchebem! rien que ce nom fait saliver les amateurs de boeufs… moi la première. Ici, avec les produits du marché Victor Hugo, la qualité (et quantité) est au rendez-​vous.
Ce dimanche là, on part à trois en éclaireur vers midi pour réserver absolument une table. Les autres arrivent un peu plus tard. Mince, quand on arrive, on apprend qu’on né peut pas réserver. il faut attendre que tout le monde arrive. Heureusement le reste du petit groupe né tarde pas à nous rejoindre, ouf! tout va bien.
C’est que le lieu est tellement prisé, on a eu peur… Quand on est minuté, on n’aime pas les mauvaises surprises.
Installés, la carte nous fait envie, je choisis en entrée un paté de canard au Madiran, une entrecôte frites ensuite (supplément de 3 €) et un gâteau au citron. Je me régale. Mes autres collègues aussi. La salade de pot au feu obtient un franc succès. Je leur laisse, j’aime autant mon choix. Les desserts sont très copieux (5,50 € à la carte, sinon ils sont compris dans le menu), bons, apparemment le baba au rhum revisité n’en manqué pas, de rhum. De quoi nous donner des forces pour l’après-midi de travail.
On sort de là de bonne humeur, l’esprit d’équipe c’est aussi grâce à de tels restaurants et sorties qu’on l’entretient!
Attention: ce restaurant n’est pas ouvert en soirée.

J’adore ce mot, «Louchebem», c’est la curiosité qui m’a amené à franchir la porte. Lors de ma première visite j’en ai profité pour demander au patron d’où venait ce nom singulier. Il m’a calmement expliqué (comme probablement à des tonnes de personnes avant moi) que c’était le nom de l’argot des bouchers, encore parlé de nos jours. C’est d’ailleurs de cet argot que sont tirés des mots du langage courant comme «loufoque» (qui veut dire fou), et oui !
Bref, comme vous vous en doutez il s’agit d’un restaurant spécialisé dans la viande. Et comme le dit Cathy plus haut, le roti d’onglet… pfiou, un régal ! Les menus les moins chers sont autour de 18 € (½ litre de vin compris) si mes souvenirs sont bons. Allez-​y un midi et vous né serez pas déçus !

Je me damnerai pour le roti d’onglet de 250g du Louchebem accompagné de ses frites à la graisse d’oie et de ses haricots tarbais!
En plus le Louchebem il est situé au premier étage du marché Victor Hugo, là où j’allais manger du couscous avec mon papa quand j’étais petite.
Ça a changé depuis, c’est un peu plus aseptisé et il y a moins de fumée, mais qu’est ce qu’il sont sympas!
Nous on y arrive toujours hyper tard (genre 14h30), après l’apéro au Bar des Amis chez Théo, à 8 avec 3 poussettes, le patron nous trouve toujours une configuration parfaite pour caser tout le monde et en général on y reste jusqu’à 17h!
Pied de cochon, harengs pomme à l’huile, salade de pot au feu, entrecôte XL, cassoulet de fèves au confit de canard… de la bonne bouffe traditionnelle canaille, dans la tradition des bouchers des Halles à Paris.
En plus, le patron a la gouaille qui va avec!

Le restaurant Louchébem fait partie de ces quelques restaurants rangés à l’enfilade au-​dessus des Halles de Victor Hugo. Table idéale après avoir fait ses courses le dimanche matin.
Dans ce restaurant, on vient manger de la bonne viande, du foie gras ou tester le cassoulet. Ici pas de chichi: marchands des halles, habitués des lieux et touristes de passage se côtoient. On né peut pas vraiment parler d’ambiance franchouillarde mais plus d’une ambiance bruyante et conviviale à la fois.
Et si vous vous interrogez sur l’origine du nom énigmatique de ce lieu, le serveur se fera un plaisir de vous l’expliquer avec le sourire.
C’est ouvert seulement le midi et du mardi au dimanche.

L’ambiance est plutôt amusante, mais il né faut être ni trop pressé, ni trop affamé!
L’endroit est tellement couru que l’attente peut être longue. En attendant qu’une table se libère, on peut rester planté dans le couloir ou boire l’apéro au comptoir. Dans tous les cas on sera dans le passage et on gênera le service qui s’effectue dans des conditions assez chaotiques. Le lieu est en effet petit et bruyant. Le Louchebem est un de ces restos de l’étage du marché Victor Hugo.
Louchebem, voulant dire «boucher» en argot, il est inutile de préciser que la viande est à l’honneur et qu’elle est de première qualité, vu qu’elle vient directement de l’étage inférieur.
On pratique donc ici une cuisine façon «restaurant des halles» dans une ambiance terriblement vivante.
L’endroit idéal pour les envies de gros steaks, de pieds de porcs vinaigrette ou de tête de veau!

«Le Louchébem» ça veut dire quoi? «Boucher» en «louchébem» justement. Jargon argotique des bouchers qui consiste à:
–remplacer la première lettre du mot par un L
–mettre cette première lettre en fin de mot (le «b»)
–ajouter le suffixe «em» à la fin du mot formé.
Même principe que le largonji qui transforme la «prison „forcée“» en «lorcefé»…
Trêve de verbiage linguistique. Qu’en est-​il de la bouffe me direz-​vous?
Ben forcement on y mange de la barbaque! D’autant que le restaurant est situé au premier étage du marché Victor Hugo.
En entrée: Pied de Porc grillé, Hareng pomme à l’huile, Salade de Pot au feu, Pâté «maison», ou encore Assiette du marché
En plat: Onglet ou Bavette ou Hampe (selon marché), Brochette de Coeur de canard ou d’oie grasse, Escalope de dinde, Côte d’agneau «label rouge» etc…
Le prix est abordable est la cuisine est bonne. Idéal pour manger à la sortie du marché quand on a la flemme de cuisiner ce qu’on vient d’acheter!

Très moyen !
On m’avait recommandé ce restaurant et j’ai été très déçu du résultat. L’ambiance bodega est sympa au début mais au bout de 30 minutes on a envie que d’une chose c’est de demander à la serveuse d’arrêter «d’aboyer». Au niveau des plats, il y a certes de la quantité dans les assiettes mais au détriment du goût et des saveurs. Seul point positif, le sourire d’une jeune serveuse débutante qui faisait son possible pour bien faire, las autres serveuses devraient en prendre de la graine.

Pour les amoureux de la bonne viande !
Dans un cadre très convivial, on peut déguster le délicieux morceaux de viande de boeuf avec de bons vins régionaux. C’est très sympa le dimanche.

had my first taste of «real» cassoulet at a no-​frills spot above the public market Halles Victor-​Hugo. not a few locals pointed this way for the best value lunch (only) in town. bedecked with rugby flags and crazy busy, Le Louchebem is owned by a butcher who plies his trade in the market, and is run by his son. get there before 12 or you may have a long wait for the steak of your dreams. truly everything we ate here was luscious — côte de bœuf, foie gras, confit de canard AND cassoulet. the quality meats are direct from the boucher, all moderately priced and dishes so big but too good not to finish. cassoulet: done.

Pas mal, mais peu mieux faire…
C’est assez bon, c’est bondé, les prix sont élevés et le choix des produits corrects, sans plus. Le menu est satisfaisant, pas de surprise, ni bonne, ni mauvaise.

Excellent !
Le Louchebem annonce vite la couleur en affichant ses spécialités: cassoulet, foie gras et 21 viandes au choix ! Situés au dessus du marché, vous accédez dans une énormes galerie où plusieurs restaurants se suivent. Le Louchebem tient son emplacement vers le centre et la foule agglutinée à son comptoir (clients en attente de table) vous guide instinctivement. Les viandes sont fraîches et délicieuses, le weekend de notre passage ils servaient du cassoulet aux fèves…oui.oui LE cassoulet aux fèves de nos arrière arrières grands parents ! ;) L’ambiance est familiale, les serveurs vous vanteront avec détermination les produits de la région et pour avoir tenté la pièce de boeuf de 900g (à deux biensûr ;), je peux vous assurez que vous serez ravis ! :)

Décevant
Il me semble que cet établissement n’est pas à la hauteur de sa réputation. Je pensais y manger une viande absolument fabuleuse et j’ai été franchement déçue. Non pas que mon faux filet fut mauvais mais il né fut pas excellent, simplement quelconque. Si l’on part du postulat que la réputation du Louchebem né repose pas sur la sophistication de ces recettes mais plutôt sur la maîtrise de recettes basiques et surtout sur le choix de matières premières de haute volée, et bien oui le résultat se révèle plutôt déconcertant. Bien mieux sur Toulouse.