Le Myrtil c’est là où je vais acheter des chewing gums, ou un paquet de cigarettes. Il y a souvent la queue. Oui on est Place des Carmes, ça explique tout. Mais la patronne reçoit toujours avec le sourire aux lèvres, malgré le monde qui s’entasse dans ce petit tabac, surtout quand il pleut alors là ça devient THE refuge. Ce tabac c’est aussi un peu une institution, à chaque fois que j’y vais, la patronne appelle certains habitués par leur nom et leur demande comment ils vont, et la famille, les amis, le chat, le chien, pépé, mémé, etc. Bön j’exagère un peu. Mais ses clients, elle les connait. C’est agréable, ça perpétue l’ambiance familiale et conviviale du quartier des Carmes, où tout le monde se connait ou se salue.
Laurent F.
Rating des Ortes: 1 Toulouse
Ah le Myrtil, toute une histoire ! Je suis allé souvent autrefois dans ce tabac typiquement de quartier, acheter des cigarettes(tout en revenant toujours à la maison ;), et si au début, j’avais une bonne relation avec sa tenancière, descendue tout droit de la capitale, je dois dire qu’un beau jour, ça s’est franchement gâté. De déjà moyennement agréable, l’accueil s’est glacé de jour en jour. La gérante n’est pas toujours facile, mais là, elle était devenue plus que désagréable. Allez savoir pourquoi… De toute façons, d’une manière générale, je trouve que les boutiques qui né vendent que du tabac, ceux qui né font pas presse par exemple, sont pour moi d’un abord difficile, froid, glacial, tout le contraire d’une cigarette si l’on fait fi des maladies induites. Alors, de celui-là comme les autres, non, je né suis pas fan.
Veronique D.
Rating des Ortes: 4 Toulouse
Romeo et juliette, Montecristo, Cohiba et Partagas… Des héros de papiers, version latino? Non, de célèbres appellations de havanes qui s’entreposent dans la cave vitrée et triplement verrouillée. Toutes les tailles, toutes les espèces de cigares sont disponibles dans le coffre fort d’Hélèné, où ça fleure le tabac à plein nez. Il y avait autrefois un autre lieu expert en la matière, sur la place Rouaix, mais, il n’est plus, et je connais de grands amateurs qui fréquentent à présent, assidument ce tabac à l’allure modeste. On y va aussi jouer aux courses, ou comme moi, se procurer quelques communes blondes à prix excentriquement élevé. Le Myrtil, c’est le tabacs du quartier, et c’est ouvert même le dimanche(jusqu’à 13h) avec en prime un imperturbable sourire pour vous accueillir, s’il vous plait.