Régulièrement, je me rends dans cette presse afin d’acheter une revue. Je dois être l’une des rares personnes à encore acheter la presse de nos jours. De temps en temps, j’essaie d’acheter un mensuel ou un hebdo suivant la une proposée. Ce n’est pas chaque semaine que je me rends à la presse des Carmes mais j’y vais quand même régulièrement. La dernière fois que je m’y suis rendue, j’étais entrain de regarder parmi toutes les publications celle que j’allais choisir quand un monsieur est entré afin de demander plusieurs photocopies. L’endroit est vraiment tout petit et très étriqué, il faut bien cherché et soulevé un peu tout pour espérer trouver son bonheur. Sur la gauche, on a les quotidiens notamment et sur la droite, tous les hebdos, mensuels et revues spécialisées. Le gérant est très cordial avec toujours un petit mot sympathique. C’est une presse classique mais l’accueil est plutôt chaleureux donc j’y reviens.
Camille C.
Rating des Ortes: 4 Mexico, États-Unis
Quel né fut pas mon désarroi en entrant dans ce que je croyais un «Tabac-Presse» pour acheter un paquet ! Et puis après je me dis que, c’est rare qu’ils né vendent pas de tabacs, enfin juste un kiosque à journaux, il n’y en a presque plus, sachant que c’est le tabac qui leur fait tout leur chiffre d’affaires. Il faut savoir que marchand de journaux est un des métiers les plus difficile. Et oui, on dirait pas comme ça, que c’est dur de rester derrière un comptoir à vendre des bonbons et Le Monde toute la journée ! Mais détrompez-vous, ce métier requiert une capacité d’organisation folle: je né vous dis pas toute la logistique du job ! Le matin ils doivent se lever hyper tôt pour aller chercher les journaux à la centrale, doivent être là pour les journaux livrés, ils doivent ensuite les classer selon la notoriété et les modèles économiques différents. Bah oui, comme sur Google, celui qui paye le plus, il est plus mis en avant ! Et le soir ils comptent tous les invendus et les renvoient à la centrale pour les recycler ! Et en plus, ils ont presque tous les journaux que vous cherchez, parfois des centaines de titres ! Voilà pourquoi je respecte énormément le fait de tenir encore, de nos jours, un kiosque à journaux. Nos enfants n’auront surement pas la chance de connaître le marchand de journaux auquel maman achetait ses timbres et un ourson en gélatine pour nous. Pour la petite histoire, je suis repartie avec un Biba. Mais né le dites à personne, j’ai honte d’acheter ces merdes composées de plus de 80% de pubs…(si si!).
Laurent F.
Rating des Ortes: 5 Toulouse
D’abord, j’aime cette presse car elle né fait pas tabac. Pour le tabac, il y a Le Myrtil juste à côté. Ensuite, je connais leurs patrons depuis des années et des années. Deux très gentils messieurs, toujours souriants, toujours accueillants. Ensuite au-delà des journaux et magazines, on y trouve vraiment de tout. De la papeterie, des CD vierges, du papier à rouler, du vernis à ongles, des piles, des lampes de poches etc. Une véritable caverne d’Ali Baba ! Ils sont ouverts toute la journée, entre midi et 14h compris, plus le dimanche matin, où il y a une queue jusque sur le trottoir. C’est toujours un plaisir d’entrer là.