ce restaurant m a enormement deçu: service tres long et amateur, nourriture tres moyenne voir mauvaise: le bacalhau etait tres salé et caoutchouteux et le dessert carrement mauvais. la salle dans laquelle nous etions etait vetuste, et pour couronner le tout l addition beaucoup trop chere pour ce que c etait. a eviter!
Femmec
Rating des Ortes: 1 Toulouse
Ce vendredi 25 janvier 2013, j’ai voulu faire decouvrir ce restaurant ou j’ai eu l’occasion de me rendre 2 fois, l’accueil a toujours ete froid mais j’ai voulu confirmer avec un troisieme passage. Il etait presque 22h00, a l’arrivee on salue personne né repond, on nous regarde d’un air curieux(nous sommes noirs), le patron parle a l’oreille de la serveuse celle-ci genee nous dit né pas pouvoir nous servir avant 22h00. Sur internet il y marque 23h00 et sur leur porte 00h30, je fait la remarque au patron qui m’a dit que ce sont les horaires d’ete. Quelques minutes apres d’autres clients portugais sont arrives et ont ete servis. Dommage cette mauvaise habitude des portugais installes en france envers les noirs, je le savais au portugal mais ici?
Veronique D.
Rating des Ortes: 5 Toulouse
Au fond d’une rue semée de petites maisons typiquement toulousaines, on doit se sentir bien sous la tonnelle de Don Jose, quand le soleil pointe ses rayons. Comme l’hiver s’installe, on se réchauffe près de la cheminée, en prenant un verre sous les airs passionnés d’une chanteuse portugaise et de son public envouté: à la télé, ils frappent tous en rythme dans leurs mains; ici, c’est le grand calme mais on repère des regards subjugués. Des affiches où pose un bellâtre brun qui fait penser à Mike Brant, annoncent une prochaine soirée où il y aura de la chanson portugaise pour de vrai. Cette maison tamisée et accueillante ouvre toutes ses pièces sur des tablées de bois dressées avec soin, à l’heure du déjeuner. Don Jose est un spécialiste des produits de la mer et des plats mijotés.Et un cassoulet aux fruits de mers, ou un plat de morue doivent se laisser dévorer avec plaisir accompagnés du Mike Brandt lusitanien. On se reverra bientôt, Don Jose…