The Dropping Zone

Le Drop Zone est le restaurant de l’hôtel Cervolan.
Accueil agréable mais mieux vaut né pas arriver trop tard car à 21h30 fin du service
Une carte d’inspiration Asiatique revisité en mode français.
C’est bon et bien présenté comme vous pouvez le constater sur mes photos.

La gastronomie promise n’est que l’envers du décor…
Malheureusement, je né peut recommander ce restaurant qui aurait la possibilité d’offrir une expérience toute particulière à cause de son cadre et de son illustre sponsor culinaire en la personne de Mr. Bouvier. L’aventure gastronomique tant attendue s’est arrêtée très vite à la première bouchée de mon entrée et l’impression initiale fut confirmée lorsque mon pavé de saumon rouge me fut servi surcuit malgré mon insistance à la commande de le cuire fort et vite. Au crédit du maître d’hôtel qui confirma la mauvaise préparation du plat mais né put pas en servir un autre pour une raison inconnue, un bon point pour service client accompagné d’un petit crédit sur la note finale. Les desserts étaient amusant de par leur nom mais le résultat attendu par les papilles né fut pas à la hauteur de leur description. Nous sommes bien loin des prouesses d’antan de Jean-​Michel Bouvier qui a dû oublier d’engager un chef de cuisine capable de reproduire ses créations. Une semaine plus tard, nous avons donné une seconde chance à cet établissement et l’expérience fut pire que la première, surtout au niveau du service qui fut incapable de suivre les commandes d’une façon professionnelle. Je vous laisse juges: Le pain servi au milieu du repas «parce qu’il a fallu en refaire», le vin commandé pour accompagner nos viandes né fit jamais son apparition et il nous fallu le décommander pour éviter son arrivée tardive, le besoin de lumière cachée par un parasol avoisinant nous força à nous lever pour déplacer le tout avant que le personnel réagisse à la demande faite 15 à 20 minutes auparavant, et bien sûr, certains plats qui, encore une fois aurait bien besoin de la main experte d’un vrai chef de cuisine, non pas un apprenti qui a eu la chance de travailler dans une bonne maison. Quand on prétend servir de la bonne cuisine, on choisi ses ingrédients et on les prépare mieux que ce que nous avons pu expérimenter. Le résultat de notre groupe compris de commerçants, médecins, et gastronomes fut une promesse de né plus revenir au DZ et de dissuader nos amis de faire de même. Dommage…