Café Code Black

With a name like that, I was expecting something new in terms of vibe and space design. But… Nope. But this isn’t Architectural Digest so, you’re right, on to the goods.
Coffee was meh.
Pastries seem meh.
Staff is super nice.
It’s not a place that seems to put pride in the product. Instead, it was all kinda blasé. Wouldn’t make my list of must trys.

So this bar is a chain out of Australia, they only have a few locations, as far as I know. That said, it is a good bar, though not exceptional. For some reason I often feel the staff is stressed when the boss is around, and perhaps a bit too relaxed when he’s not? They do make good espresso drinks, though, and if you can afford one of the 5 $ guten free brownies from Juliette+ Chocolat, it’s a worthy pairing.
They serve Phil n Sebastien, which I like but don’t love. The real plus is the good WiFi and ample seating area with nice clean flat tables that are conducive to prductivity. There’s also an attractive shared table at the front that faces St-​Laurent via a full height window. I also never feel rushed to leave and they’re open till 7, so a solid 4*

Excellent espresso sourced from Phil & Sebastians. Bagels from St.Viateur. What more could you ask for? Service was good. Try a traditional macchiato to get a sense of the coffee quality.

Un chouette endroit où se réchauffer du froid et pour bosser ! En effet, en plus de servir du bon café, thé et des petites salades, l’endroit est propice a une bonne ambiance de travail calme. D’ailleurs il y’a autant de Laptops sur les tables que de tasses de café !

Phil & Sebastian’s Coffee?! In Quebec?! Unheard of! We had to stop in!
I had an almond croissant and it was to die for. This café is very cute, with welcoming décor. The service was friendly, and the music was lovely.
Great experience.

Location: On the main between Duluth and Rachel. The closest subways are probably St. Laurent (green) and Mont-​Royal (orange), however I’m always walking so check first, if you’re using transit. Street parking available [metered].
The place: Nice space — very simple, urban, cozy. They have a great little terrace that I was able to enjoy when I stopped by.
The goods: GREAT coffee. They use Phil & Sebastian beans — I’d never tried these guys before but I immediately fell in love with them, at first sip. Very tasty, not bitter at all. I had a Macchiato. The barista basically made me the perfect cup of coffee.
Service: Good.
Price point: I think the Macchiato was $ 2.75 but I’m not sure. the beans were $ 18.
This is my new favourite spot (after Olimpico, of course). Check it!

Belle ambiance et les meilleurs lattés de Montréal

Je suis allée dans ce café car il était recommandé sur un blog. Eh bien je suis déçue. Le cappuccino était bon mais sans plus.
Je n’ai pas trop aimé la musique qui était plutôt lounge pour un café où on veut travailler.
Le décor simpliste manquait de charme. On n’a pas le goût d’y passer des heures. Bref, rien d’exceptionnel.

Un coffee très sympathique, avec une bonne ambiance.
Les employés sont très accueillant et les prix sont assez abordable

Bel intérieur c’est sûr, ça fait du bien de voir un nouveau café sur le boulevard Saint-​Laurent, mais le service était ok, sans plus, j’étais le seul client en après-​midi pendant une journée en janvier…, bof pour un nouveau café, j’imaginais plus de monde…, Comme mentionné ci bas, un peu froid comme place… lorsque je suis parti même pas de merci/​au revoir… Latté + croissant = 6.25 $. J’y retournerai d’ici quelques temps pour voir et ré-​évaluer encore une fois. Wifi gratuit pour travailler sur place.

Le café était trés bon, cependant un peu tiède. Le service était bien. Le décor est très beau mais pas trop chaleureux. La musique est presque absente, ce qui rend l’ambiance un peu ordinaire.
Sandwich un tantinet trop cher à mon avis.
Si je suis proche, je vais probablement y retourner, mais ça né sera pas une destination.

Chaleureux et superbe accueil des employés et le proprio sur place ce matin. Un vrai café 3ème génération. Le café arrive Code Black arrive directement de Melbourne.

Il importe guère qu’un commerce soit une franchise australienne venue des antipodes, cela né garanti aucunement la qualité de votre expérience. Le Code Black a une devanture très design, mais à sa vue il est bien difficile de dire s’il s’agit d’un café ou d’une entreprise quelconque, le design de son logo faisant un peu peur, avec sa tête de mort antillaise (ou est-​ce une cagoule à mauvaise dégaine?) Il faut jeter un coup d’oeil à l’intérieur pour constater qu’au contraire, il s’agit d’un environnement joli, froid et sophistiqué, où les accros du café du voisinage viennent assouvir leur besoin dans une ambiance dont l’odeur a une très forte concentration de caféine.
Problème de respect
Malheureusement, l’entreprise né nous a pas semblé avoir la force de son ambition, malgré les phrases accrocheuses et l’effort évident mis sur le design. L’ambiance demeurait froide, le décor avait un contact un peu trop plastifié et le café, quoique joliment apprêté, nous a été servi anormalement tiède.
Mais cela né fut rien en comparaison à la tiédeur du service, tout d’abord en français, mais devenu obstinément unilingue anglais pendant le service et à la sortie. Le personnel souffre du mal dont beaucoup de commerces du centre-​ville est pris, refusant de parler en français à la clientèle, répondant de façon éhontément irrespectueuse à des clients venant dépenser leurs sous à son enseigne, clientèle adressant nécessairement la parole en français au personnel. Insultés, nous nous sommes dit que Code Black n’avait finalement pas grand chose d’intérêt à nous offrir. De toute façon, le coin offre plusieurs alternatives, dont l’excellent Laïka où nous aimons bruncher ou égrener nos après-​midis, la main soudée à une tasse d’excellent café.
Le «code noir «du café
Au-​delà de son attitude pseudo-​rebelle associée à une soi-​disant image de marque noire et mystérieuse, associant l’expérience du connaisseur aux arcanes de la magie noire ou vaudoue, Code Black devrait «arriver en ville «, réorienter son approche sur l’expérience client, et traduire son respect dans sa raison sociale.
Pour la petite histoire, «Code noir» tient ses racines au XVIIe et XVIIIe siècles de la France de Louis XIV et de Louis XV, une expression désignant la législation régissant notamment l’esclavage dans les Antilles françaises.

worst espresso I have ever had. A year ago I came in because the next door shop wouldn’t accept a $ 100 bill, and I had to change it. I came here, got an espresso, and they graciously accepted the $ 100 bill, but the coffee was terrible. Even though I lived close by for the next 9 months, I never came back.