Vins et chocolats Bernard Castelain

Excellente chocolaterie sur la route entre Châteauneuf du Pape et Sorgues, au beau milieu des vignes.
Dès votre arrivée, on vous proposer de goûter une de leurs spécialités. Le must: le Palet des Papes, un chocolat fourrée à la ganache au marc de Châteauneuf du Pape (un peu alcoolisée, donc), ou les Picholines, des chocolats fourrés aux amandes en forme d’olive (verte ou noire). Mais aussi les citronettes et orangettes, écorces de citron ou d’orange confites et enrobées de chocolat noir ou au lait.
La partie vin est intéressante aussi, mais bien moins que les chocolat.
Des ateliers sont aussi organisés régulièrement pour que petits et grands s’initient à l’art de la chocolaterie.

Chocolatier confiseur un métier à croquer
Et Bernard Castelain Une histoire de famille à Croquer !
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Créée en 1994, au cœur des vignobles de Châteauneuf du Pape, cette chocolaterie est une histoire de famille.
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Bernard Castelain et sa fille Laurence se sont spécialisées non pas dans la production vinicole, mais dans la fabrication de chocolats prestigieux élaborés dans la plus pure tradition française.
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Aujourd’hui la chocolaterie élabore à partir de recettes anciennes plus de 36 variétés de pralinés, ganaches, pâtes d’amandes, nougatines et autres gourmandises
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Le chocolat est leur passion, un produit magique; du plaisir à partager, de la convivialité, du pur bonheur
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Histoire du Chocolat de la plantation à la dégustation
Le chocolat est connu comme une gourmandise, un produit tropical, mais sait-​on que lorsqu’on croque dans un morceau de chocolat, on partage une histoire qui ressemblerait presque à une légende.
Les Mayas l’introduisent au Yucatan (Mexique) au cours de leur migration au 17ème siècle av-J.C. Ils sont les premiers à le cultiver et lui attribuent une vertu religieuse puisque la boisson de cacao est censée les nourrir même par delà la mort.
les Aztèques dominent ces régions et attribuent l’origine du cacaoyer à Quetzalcoatl. Il était dieu de l’air, de la lumière et de la vie. Il était jardinier du paradis des premiers hommes, et, dans ce jardin poussaient des cacaoyers.
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La légende raconte qu’une princesse dont le mari était parti défendre les frontières de l’empire, fut tuée pour avoir refusé de révéler l’endroit où se cachait le trésor.
Quetzalcoatl, le dieu Serpent à plumes récompensa alors, cet acte héroïque, le courage et la fidélité de cette princesse aztèque en donnant à son peuple le cacaoyer dont les fruits cachent un trésor de graines amères comme la souffrance, fortes comme la vertu, rouge comme le sang «.
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Les Mayas furent le premier peuple à cultiver le cacaoyer, ils utilisaient les fèves comme monnaie d’échange ainsi que pour le paiement de l’impôt. Pour les Aztèques, le cacao était à la fois monnaie et aliment. La pâte de cacao obtenue après broyage et mélangée à de l’eau chaude leur servait de boisson. On y ajoutait même de la vanille et diverses épices. Le verbe maya chokola’j *, qui signifie * boire du chocolat ensemble, a aussi été proposé comme origine possible
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Le chocolat traverse l’océan
Christophe Colomb ayant pris ces fèves pour des crottes de chèvres, c’est à Cortés qui ce breuvage chocolaté en 1519. Il est le premier (en 1528) à en rapporter en Europe, à ses maîtres d’Espagne. Dès le XVIIe siècle, le chocolat devient une ressource très appréciée de l’aristocratie et du clergé espagnol. Son commerce s’étend alors aux autres colonies espagnoles comme les Pays-​Bas espagnols.
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Le cacao entre en France
Le 25 octobre 1615, Louis XIII épouse Anne d’Autriche, infante d’Espagne. Elle est terriblement gourmande, et épouse le roi français à la condition d’emporter avec elle son chocolat. C’est ainsi que le chocolat fait son entrée en France et devient la boisson à la mode.
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Sous le règne de Louis XV, il était de mode pour tout les seigneurs de porter constamment une bonbonnière remplie de pastilles à base de cacao et de sucre. Et en 1705, la charge de chocolatière de la reine était un titre très envié .
C’est peut-​être la raison pour laquelle le chocolat français est resté un produit noble, à grande teneur en cacao, ce qui en fait son prix mais aussi sa qualité.
Ce n’est qu’au début du XIXe siècle, avec le développement des techniques de fabrication et, en particulier, la baisse du prix du sucre, que le chocolat put connaître un grand développement industriel, ses qualités gustatives et ses vertus en faisant une friandise et une boisson très appréciées
Le chocolat a inspiré bien des peintres …
Un Chocolat Chaud, par Raimundo Madrazo y Garreta au XIXème siècle
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Enfin le boire et sentir la frénésie tressauter puis s’en aller
Le calme revient quand il glisse au creux du ventre,
Lissant les nœuds, les tensions et nous laissant rassurée
On se détend et on laisse son esprit se faire chantre
La chocolaterie Castelain, une approche différente du chocolat
Découverte de l’atelier et dégustations
Du lundi au vendredi à 15 h et (à 16h en anglais pendant l’été) vous pourrez découvrir la fabrication du chocolat
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Un parcours gourmands incontournable ou le mariage du vin et du chocolat
Pour s’imprégner de la magie, de la passion universelle du vin, qui associée au chocolat conduit à un mariage de saveurs, une harmonie unique.
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Atelier