Quand j’ai appris la fermeture définitive du DV1, je crois que mon cœur s’est brisé en deux(Ah j’en fais trop sur l’exagération ?! Ok je me ressaisis) Le Dévé Un(pour les non totally fluent) est un des premiers parquets de clubs que j’ai commencé à poncer dans ma quête de la musique électronique. Parce que oui avant de venir vivre à Lyon, la techno/électro c’était pas trop mon truc, mais c’était complétement le truc de mes nouveaux amis Lyonnais. Alors pour né pas mourir con et surtout pas être seule devant Les Enfants de la Télé un vendredi soir ou pire devant Le plus Grand Cabaret du Monde un samedi soir, j’ai commencé à trainer mes guêtres dans les clubs techno de Lyon. Et ma première claque, c’était au DV1 ! P***** mais c’est bien, p***** mais c’est vraiment bien ! Bön je vous épargne le schéma et anecdotes sur le fait que j’aime beaucoup trop la techno? Ouais c’est mieux pour vous. Ce tout petit DV1 où on s’y sent comme à la maison, je suis même pas capable de savoir le nombre de soirée que j’ai pu y faire. En tout cas ce qui est certain, c’est que j’y ai amené tout mes copains ! Oui oui même mon coloc pas du tout afficionado du truc, parlez lui en du DV1 ! ahah Tout va me manquer chez toi DV1, la queue de l’entrée, les videurs pas spécialement les plus sympas de France, le sas minuscule de l’entrée, la première salle qui né sert à rien, tes toilettes ouvert sur le monde, ta salle voutée, tes podiums(oui je suis une fille à podium quand je suis extrêmement bourrée), tes mini tables où on se retrouvé pour«garder la bouteille», même ton horrible fumoir où j’ai refait le monde plus d’une fois avec les copains et même des inconnus. Mais plus que tout l’ambiance et la musique ! Un beau moment de vie, de partage, de danse et de rire ce DV1, du coup je vais clairement y faire un tour dans les weekends à venir pour clôturer cette histoire, notre histoire !(clap de fin)
Audrey N.
Rating des Ortes: 3 Paris
Il est de ces endroits où vous allez assez souvent, mais qui né sont pas spécialement mémorables… Malheureusement, le DV1 est de celui-ci. Mais comme on y va quand même trop souvent, on né peut pas dire autrement que c’est pas mal. Pourtant, le DV1 n’a jamais une image jojo, on y va parce qu’il n’y a pas forcément mieux au centre ville pour danser. Néanmoins, depuis la dernière fois où j’y suis allée(1 an) et les souvenirs que j’ai de mes années étudiantes, il semblerait que cette boîte de nuit réputée «gay-friendly» tente de changer de positionnement. Cabine de DJ futuriste avec jeux de lumières et bon officiant électro derrière, ça fait déjà toute la différence. Alors les toilettes sont toujours mixtes et dégueulasses, l’espace lounge du haut semble toujours aussi inutile, mais au moins le son est bon(en place de la soupe kitsch et commerciale que j’avais l’habitude d’y entendre). Quant aux consos, elles restent chères mais y a l’agréable surprise d’avoir des cocktails buvables maintenant. Le fumoir vient toujours bien à l’aide des fumeurs et y est bien convivial. Et autre meilleure idée: inclure le vestiaire dans le prix de l’entrée. Il semblerait que c’était exceptionnel hier, mais une idée que je conserverais si j’étais eux, pour éviter cette bataille«C’est obligatoire» autour du vestiaire. En tout cas, le DV1, c’est définitivement pas si mal. Si si.
Mégane H.
Rating des Ortes: 2 Lyon
Line up toujours pointu, c’est le seul point positif du club. Le lieu est etouffant, c’est tenable 1h… 2h… Pas plus. L’ete c’est encore pire je crois que j’ai passé une de mes pires soirée la bas à cause de la chaleur, malgré la clim qui refroidit qu’une seule minuscule partie du club(alors qu’il est deja bien trop petit). Les videurs sont scandaleux, et avec tout le monde. Les consos sont plutot cher. Il y a deux bars un en ” haut ” à l’entrée et l’autre dans le club en ” bas ”. Pas mal pour les petites pauses ce bar a l’entrée, deja beaucoup moins bondé que le club. Les prix des entrées en revanche sont tres raisonnable, surement le moins cher en matiere de club techno/house. Quant a l’ambiance… Que dire… On est serres comme des sardines donc on a juste envie d’etrangler tout le monde.
Irina S.
Rating des Ortes: 3 Lyon
Le DV1. Petit club sur deux étages. On y entre facilement en dépit des videurs toujours aussi aimables grrrr, mais c’est leur job d’être mal aimable… Passons. Un vestiaire et une entrée coûte environ 10 €. Lorsqu’on entre, on tombe sur le premier bar, ou l’on né sert pas la même chose qu’à celui du dessous. C’est a celui ci les cocktails. Mais bon, on né vient pas au DV1 pour les cocktails… Les choses sérieuses se passent au sous sol. Musique electro entre minimal et rythme plus accru. Mais rarement hard tech. Le week end c’est blindé. On danse collé serré, enfin surtout serré et il né faut pas aimer les endroits propres car cet endroit est tout l’inverse. C’est rock n roll mais avec de la teck! La bouteille de vodka est a 80 € et chose très agréable, vous pouvez laisser la bouteille au bar si elle n’est pas finie a la fermeture, avec votre nom dessus pour la prochaine fois(sympa!) Le coin fumeur est assez grand. Enfin c’est un bon endroit si on aime les endroits un peu crado mais rigolo.
Rémy B.
Rating des Ortes: 2 Part-Dieu, Lyon
Le Dv1, on y est allée plusieurs fois entre amis et c’était plutôt cool. Mais depuis quelques temps on y retrouve plus la programmation pointue, ni l’ambiance un peu«nawak» et conviviale qu’on y retrouvait. Dommage. Sinon la boîte est effectivement petite mais je me suis jamais senti à l’étroit à l’intérieur. Point positif: Des efforts semblent être faits au fumoir ! :) Gros point négatif: Attention au vestiaire, on nous a déjà volé un manteau.
Salutcestmikou M.
Rating des Ortes: 3 1er arrondissement, Lyon
Une programmation toujours au top Un soundsysteme très agréable Des videurs sympas une fois sur deux.
Housea
Rating des Ortes: 5 Meximieux, Ain
LE club électro de Lyon Depuis son changement de propriétaire le DV1 est devenu la référence en matière de musique électro à Lyon. J’y vais le plus régulièrement possible pour profiter d’une sélection de djs variée mais toujours pointue et du son l’un des meilleurs de la ville ! Le public est mélangé aussi bien au niveau de l’age que du look et la salle du haut où le son est plus diversifié et moins fort permet de faire une petite pose ou d’avoir un brin de conversation ce qui est appréciable en boîte. A noter que le bar propose des cocktails et je vs conseille le raspberry couleur, un régal !
Guillaume Victor L.
Rating des Ortes: 1 Paris
Il paraît que le DV1 est un ex-lieu incontournable de la scèné électro lyonnaise, il paraît aussi que c’est un club gay qui n’en est plus un; on né comprend pas tout mais avec un groupe d’amis, nous décidons de nous y rendre, parce qu’après tout il n’y a rien de tel qu’en faire notre propre expérience ! Assez tôt, on est devant le DV1. Il y a de l’attente et déjà les problèmes semblent commencer; les vigiles sélectionnent bien qui rentre, mais surtout qui né rentre pas, ce qui né tarde pas à créer quelques altercations avec un groupe de jeunes adultes. Bref, attente puis rituel des cartes pour les plus jeunes d’entre nous; le videur nous laisse tous pénétrer avec un air de clémence, comme s’il nous faisait un cadeau fabuleux, le droit d’entrer dans l’ultime club lyonnais. D’accord… À l’intérieur, on dépose nos manteaux au vestiaire se situant dans l’entrée hyper exiguë et très mal foutue, qui force les vigiles toujours aussi aimables à nous pousser pour refermer la porte principale. On entre ensuite dans une première salle assez vide où le bar fait aussi office de caisse, puis en descendant des escaliers et en passant devant les toilettes, on atteint la salle principale, la scèné électro, où pas mal de monde danse déjà… La musique n’est pas à mon goût et né nous incite pas à danser, l’ambiance est bizarre, je né compte même pas les tentatives de drague reloues et les mains un peu partout, surtout de la part de personnes semblant avoir passé l’âge de jouer à ce genre de jeux insistants… Une boîte remplie d’adultes se comportant comme des jeunes ados. Bien. Plusieurs fois on propose à mes amis des substances illicites qu’ils savent refuser; la sélection à l’entrée semble être stricte, mais pas assez regardante finalement. Au fond, le fumoir se trouve dans une autre pièce minuscule, où les odeurs de transpiration se mêlent au tabac chaud/froid, et où les regards de jugement se posent un peu partout. Bitch please, on est tous là pour s’amuser, non ?! Il fait très chaud partout, même en hiver, et le bar n’accepte pas de nous donner de l’eau alors qu’on a déjà consommé plusieurs fois chacun… On se rend donc dans les fameuses toilettes pour nous rafraîchir un peu question de reprendre nos esprits. Les toilettes? Parlons-en. Il y a une salle mixte avec deux cabinets dont les portes sont ouvertes en haut et en bas… et un seul tout petit lavabo ! Aucune intimité, je peux voir un client«un peu» éméché en train d’uriner sur le seul et unique point d’eau, on n’a donc plus vraiment envie d’y mettre la bouche. En sortant des toilettes, toujours aussi desséché, je croise un homme qui pisse littéralement le sang et se regarde l’air penaud dans un miroir, à moitié défiguré. On part assez tôt, on en a marre. C’est crade, ça pue et les gens sont relous. L’ambiance est glauque, on n’est pas très à l’aise. Les salles n’ont rien de transcendant. Rentré chez moi, je bois un litre d’Évian en me disant que cette soirée serait la dernière du genre. Le DV1, une première et une dernière fois !
Azerty
Rating des Ortes: 1 Paris
Deux salles, la première, ambiance«normale«la seconde«tekno« Cette boîte se remplie vers les 2h quand les bars à côté ferment. Le fumoir est mal aéré mais c’est pas le seul. Je n’ai pas spécialement adhéré au concept, à la clientèle, au lieu. C’est un endroit spécifique qui peut déplaire.
Gaétan C.
Rating des Ortes: 2 Lyon
Autre fois un lieu incontournable pour qui voulait écouter de la bonne musique. Le personnel à l’intérieur est sympa et souriant mais il faut pouvoir le constater. Et vu l’amabilité détestable au summum de la bêtise humaine des videurs il faut vraiment avoir envie. Je n’ai plus la patience de supporter les cas sociaux malheureusement. Ceci étant le lieux, relativement petit, est équipé de deux salle, une première qui fera office de salon de discutions ou de drague(c’est selon) et une au sous sol qui se prête volontiers aux dieux du dance floor. Equipé d’un fumoir vous n’aurez pas à sortir en deux pas chaloupé pour vous enfumer. A noter que les deux salles ont un bar.
Lucy C.
Rating des Ortes: 3 Lyon
Ca faisait plusieurs années que je né m’étais pas rendue au DV1 et après quelques soirées là-bas ces derniers temps, je trouve que c’est assez dommage! La programmation éléctro est intéressante et variée, l’entrée est à un prix correct(et vu que je né bois que des boissons soft, je trouve leurs conso pas super chers), c’est situé dans le centre ville… pour moi les défauts majeurs sont la taille assez petite de la salle éléctro au sous-sol et leur système son pas assez puissant à mon goût. Bön, le public est varié aussi…ça peut aller du petit jeunot jusqu’à beaucoup plus âgé, plus ou moins connaisseur de musique éléctro, plus ou moins déchiré/perché aussi certes, mais bon si j’y vais c’est pour la musique, je m’en fous pas mal des gens qu’il y a à côté de moi! Je né sais pas pourquoi l’attitude des videurs/le personnel«choque», en France ils né sont pas tous comme ça ici? En tout cas c’est l’image que j’en ai, même si personnellement je n’ai jamais eu de soucis au DV1 avec qui que ce soit!
Alban M.
Rating des Ortes: 2 Oullins, Rhône
Honnêtement je né sais pas quoi dire, hormis que je suis trop vieux pour ce genre d’endroit même bourré !!! Je né connaissais pas cette boîte, il était tard, nous avions bu, mais au final peut être pas assez quand je vois les«déchets», qu’il y avait dans la salle techno!!! Alors je pense que pour certains, il n’y avait pas que de l’alcool !!! Nous sommes resté seulement 20 min et je n’ai pas vraiment accroché…
Annelise G.
Rating des Ortes: 2 Lyon
Je me demande franchement pourquoi je persiste à atterrir au DV1 pour finir mes virées du samedi… Certainement pas pour l’accueil, puisque me prendre la tête avec le type du vestiaire est presque devenu un rituel, et je n’ai jamais vraiment compris leurs histoires de sacs à main qui«grossissent» comme par magie, ou plutôt jamais voulu comprendre, mais bon je m’en fiche je gagne presque toujours ;-) Pas non plus pour la première salle, il y a peu de chance que même lors d’un moment d’égarement l’envie d’entendre le dernier Rihanna me prenne. Ni d’ailleurs pour les cocktails au jus d’alcool, je cherche encore la goutte de vodka noyée dans le jus de pomme de mon dernier verre… Il né reste plus que la deuxième salle. Déjà pour l’atteindre il faut être motivé: traverser la première salle en luttant pour né pas faire demi tour(le son de David Guetta a tendance à me faire prendre mes jambes à mon cou), ensuite né pas se gameler dans les escaliers au risqué de se retrouver directement dans les toilettes(mixtes), il faut donc penser(voir) au virage. Enfin, une fois en bas, c’est quitte ou double ! Soit le DJ est en mode chill out(à 22h je veux bien mais à 3h on n’est pas encore en after quand même), soit ça envoie et on se dit que ça valait peut-être le coup et on arrive à passer un bon moment. Au final, je vais au DV1 car c’est l’une des seules boîtes qui ait une programmation électro correcte en plein centre-ville, à 10 minutes de chez moi donc pratique, et où je suis sûre de né pas trouver de gros lourds imbibés en costard à grosse montre(syndrome Docks 40). Je tiens tout de même à rendre hommage au seul videur qui soit sympa, c’est facile de le repérer c’est le seul qui dispose de zygomatiques en état de marche.
Déborah A.
Rating des Ortes: 1 Lyon
3h du mat’, on fête mes 25 ans, allez hop, direction le DV1. Des videurs aimables comme des gorilles en colère, une véritable arnaque rien qu’au vestiaire. J’avais mis mon petit manteau dans mon sac, il me dise que c’est un «gros sac» et veulent me faire payer 4 € les vestiaires. N’ayant pas assez de monnaie, je décide de rentrer avec sac et manteau dans la boîte, et là, un deuxième videur me refoule violemment parce que«c’est interdit.» Je sors le manteau et veux donner juste mon sac aux vestiaires, ce qui fait un sac vide(un Longchamp pour vous montrer la taille), avec un portemonnaie dedans, il me dit de nouveau 4 €. Nan mais sérieux… Entendons-nous, ce n’est pas le prix qui fait peur, c’est la mauvaise foi se dégageant des employés qui refroidit bien comme il faut. Un pote a pu me filer les 2 € manquants sinon, je me retrouvais seule dehors le soir de mes 25 ans. Même pas moyen de discuter avec les gars du vestiaire, ils sont vraiment méchants(sisi !) et agressifs, je n’ai jamais vu ça dans un endroit censé être festif. Musique grave cheloue au sous-sol mais bon, passé encore. Musique commerciale à l’étage, manqué de mix et d’originalité, boissons radinées au possible, pas moyen d’avoir un sourire. Quant à sa revendication de boîte «gay», je né comprends pas d’où cela vient. Bref, j’irai plus au DV1. Et je vous déconseille d’y aller, à moins de né porter sur vous qu’un string pour né pas vous faire refouler le vestiaire.
Paul B.
Rating des Ortes: 1 Lyon
Haut lieu d’onanisme pseudofestif et commercial; l’intérieur est top, on imagine ce que pourrait être un établissement de qualité là dedans ! Malheureusement c’est un repère de prépubères déchirés ! Ajoutez à la sauce une musique qui dépassé difficilement le niveau de la mer(un paradis blanc de Berger a quand même une fois sauvé l’honneur ;-)) mais surtout le gros point noir l’accueil: la vide est inadmissible et même Chicago dans ses années noires n’a pas connue de comportements aussi primates; tu viens boire un coup et danser et tu risques à chaque minute une grande baffe dans ta face ! Endroit risqué… surtout quand tu passes au bar, que l’on te sert une vodka pomme(une pomme à l’eau) pour un billet, avec un sourire qui vexerait vite Jack Napier. En résumé tu perds de l’argent, tes dents et ton temps.
Julien L.
Rating des Ortes: 1 Lyon
Étrange boîte de nuit qui joue sur le côté «gay et open» mais qui né sait accueillir et encaisser avec le sourire. Les videurs s’occupent comme ils peuvent en embrouillant les clients, c’est la quatrième dimension, pour l’anecdote je me suis fait sans raisons aucune accuser de vandalisme et éconduit dehors sous prétexte que mon bras était recouvert d’inscriptions de marqueur rouge, dialogue impossible, pas moyen de dire au revoir à mes amis, tout simplement inadmissible ! Donc non, on passé son chemin !
Tony B.
Rating des Ortes: 2 Lyon
Je vais faire court car je n’aime pas trop ce lieu mais je donne mon avis car c’est quand même LA boîte de nuit du centre de Lyon(enfin c’est ce qu’on me disait quand je suis arrivé dans cette ville) et que j’y ai passé plusieurs soirées, plus où moins bonnes… Du côté de la sélection musicale de la salle électro(la salle du bas) rien à dire. C’est varié et les DJ sont bons. Mais pour le reste… Dans la 1ère salle la musique est pas très bonne. C’est tout ce qu’on entend à la radio à longueur d’année je né vois pas l’intérêt. L’accueil, l’amabilité, la convivialité on repassera. Les sourires sont rares même quand tu passes à la caisse. C’est la seule boîte de nuit que je connais où je vois les videurs embrouiller les clients. D’habitude c’est le contraire non ? Mauvais bilan…
Sylvain O.
Rating des Ortes: 4 Lyon
Le DV1(prononcer Divi One), c’est le club gay friendly de Lyon jeune et à la mode. Assez petit, il contient une salle à l’entrée qui fait office de bar et une plus grande salle. Les dj y sont toujours excellents et les shows(de drag queen ou de type cabaret) nous plongent dans l’ambiance particulière d’un endroit comme chez Michou, à Paris. Il y a aussi une salle fermée pour les fumeurs et ceux qui souhaitent faire des rencontres. Parce que le DV1 est aussi un lieu de drague ! Par contre, à l’entrée, que le videur est désagréable !
Margaux D.
Rating des Ortes: 3 Lyon
Le DV1 se divise en deux salles. Dans la première, la musique commerciale est à l’honneur: vous pourrez vous trémousser sur le dernier tube de Shakira ou sur des vieux classiques comme Claude François. Pour les oreilles plus difficiles à satisfaire, la deuxième salle accueille des Djs pour des nuits«électroniques«. Minimal, break beat, hardcore, techno, house… La programmation en la matière est assez variée. Et l’ambiance est plutôt décontractée ! Quand les deux mondes se croisent, dans les couloirs ou aux toilettes, c’est toujours un peu étrange. Mais c’est ce qu’on aime bien au DV1: cet esprit ouvert et diversifié. Je n’ai jamais vu les soirées avec les drag queen, mais j’espère bien découvrir un jour !
Petica
Rating des Ortes: 3 Paris
Le DV1 est en endroit très particulier, j’y ai déjà passé des soirées à la limite du glauque, et d’excellentes soirées avec de la musique actuelle & house. La programmation est assez variée, ce club est gay et lesbien à la base. La clientèle reste pour autant diverse avec à peu près autant d’hétéro que d’homo. 2 salles: on rentre par la première, le long de laquelle se trouve le 1er bar et on descend quelques marches pour atteindre la 2ème salle dans laquelle la musique electro est souvent plus trash, à la limite avec une petite pillule avalée avant ça marche mieux qu’à jeun ;) Le fumoir est horrible, comme dans la plupart des clubs, aucune ventilation/aération né semble fonctionner, donc au risqué de perdre un poumon en 5 min, s’abstenir ! L’entrée est gratuite, il n’y a que le vestiaire à payer(2EUR) et les consos, les prix sont raisonnables. L’endroit n’est vraiment pas select d’où la diversité dans la clientèle, pas de beautiful people there: D