Le Windy Lounge

Je vis au quartier Confluence depuis 2 ans; les quelques bars et restaurants sur la darse né sont pas nombreux, j’ai donc voulu tenter un apéro au Windy lounge avec l’amoureux.
On adore la période prohibition des années 20 – 30 aux USA. Surtout en ayant dévoré chaque épisode de la série Boardwalk Empire. On s’attendait vraiment à retrouver cet esprit «SpeakEasy» mais quelle déception…
C’est vraiment dommage, car l’atmosphère n’y est pas. Malgré le mur de briques, quelques photos par-​ci par-​là, les fauteuils en cuir et de très beaux lustres; l’ambiance est bien trop moderne et froide. Les lampes rouges sont contemporaines, le bar est en inox (ayant fait du bar je sais bien que c’est plus pratique à nettoyer et à entretenir qu’un bar en bois) et la musique lounge dénote avec le style annoncé «Glamourous Chicago 1930’s». Même la réplique d’une Thomson n’a pas suffit à nous projeter direct aux côtés d’Al Capone ou de Lucky Luciano.
C’est sans doute voulu par les propriétaires des lieux, mais voilà, pour moi ça manqué clairement de charme. La déco né fait évidemment pas tout, on a donc testé des bières de Brooklyn et du Colorado. Le choix est intéressant niveau bières importées d’ailleurs.
La liste des cocktails et des whiskey est longue également, de quoi trouver son bonheur.
On s’est promis d’y remettre un pied pour tester d’autres bières et manger un bout, histoire de goûter aux planches proposées.
Cette première visite n’est donc pas un fiasco, mais elle laisse un arrière-​goût d’inachevé.
Ce bar a un fort potentiel, il suffirait de modifier 2 – 3 choses et le lieu pourrait vraiment devenir un de nos QG.
La suite au prochain épisode donc …

Bön malheureusement je rejoins un peu les avis du dessous.
Cet emplacement a beaucoup de cachet mais pour un bar lounge disons que ça pourrait être un peu plus chaleureux. Un match Lyon-​Bordeau diffusé à l’heure de l’apéro avec les commentaires en fond sonore c’est bien dommage quand on vient chercher un côté un peu cocooning.
Après concernant le service je l’ai trouvé très bien et très souriant (attention pasde CB en dessous de 10euros)
je pense que ca doit être à refaire l’été !!

Je rejoins les avis…
10 minutes pour qu’on nous prenne la commande et 10 de plus pour 1 bière, un kir et un verre de rosé!
Tout est de qualité moyenne hors mis les bières!
Point ultra positif, la vue sur la darse! On est bien au soleil…

Bof !!! Il aura déjà fallu plus de 20 minutes au serveur pour s’apercevoir de ma présence … C’est long, surtout quand il y a 10 clients en terrasse.
Mon thé est bon mais je né peux pas le sucrer et le touiller car ma cuillère a déjà servi à remuer un chocolat chaud … Beurk !!!
A part le super fauteuil sur la terrasse au soleil face à la darse de la Confluence, il n’y a rien ici qui vaut le détour.

Je suis à la base un grand fan des années 20 – 30. J’avoue que le lieu n’a pas été à la hauteur de mes attentes. La déco est très sympa, le côté cuir vieilli, l’ambiance tamisée, la musique jazzy… pourtant il manqué un je né sais quoi qui me ferait partir à l’époque de la prohibition. Les cocktails sont pas mal, sans plus, pour un coût habituel (une dizaine d’euros). Je n’ai pas goûté leur planche ou autres mêts qui ont valu tant de critiques. J’attends juste de participer à leur fameux show case de jazz pour finaliser mon avis mais je suis un poil déçu…

Zéro zéro passer votre chemin aucun intérêt hors de prix pour un cocktail soit disant avec alcool 10 euros pour un cocktail honteux

On n’a pas du voir le même lieu. Mon avis est complètement différent et on se croirait vraiment dans un bar des années 30 avec une deco au top. La carte des boissons est très variée, les cocktails fameux et les assiettes de Tapas copieuses, le tout dans une ambiance Lounge très agréable. Un lieu typique ou il fait bon retourner. A voir absolument.

Prohibition? Sûrement celle de 2000… Quel dommage. J’étais excitée de découvrir ce lieux dont on a temps parlé et j’ai été déçu. Le staff est sympa cependant. Après la carte n’est pas folle, les produits non plus et la décoration qui était censé être «année 20» était bien trop mal immitee. Dommage.