Au Baroudeur

Le seul point positif de l’endroit est sa terrasse ensoleillée…
Service désagréable, pas souriant our un sous.
Aucun verre d’eau apporté avec le café et quand on demande au serveur il vous regarde de haut en disant «il faut le demander avec le café!»
Franchement désagréable !

Bar très sympas, des serveurs adorable, des bières sympas à la carte
Un peu cher et pas d’happy hour

Je né suis allée manger qu’une fois au baroudeur alors que c’est vraiment juste à côté de mon lieu de résidence .
J’avoue que le cheese José Bové de la carte (un burgeur) me faisait bien envie, et il y a toujours quelques plats (et desserts, apparemment maison) de la carte qui me tente quand je passé devant :)
Ils ont une grande terrasse qui est très ensoleillée le matin et à midi, les gens ont toujours l’air heureux d’y être !
J’aime aussi la disposition des tables à l’intérieur, c’est assez convivial
Néanmoins, la seule fois ou j’ai posé mes fesses sur l’un de leur fauteuil, on m’a servi le fameux cheese José Bové, avec un bun du dessous à demi complet (oui, il manquais une moitié de bun du dessous …)
Évidement, je demande à ce qu’on me refasse mon burgeur en cuisine, d’un ton peut être un peu sec (je né comprend pas comment le cuisinier a pu né pas se rendre compte de l’erreur !)
Le réaction du serveur (qui étais le gérant, je crois) a été assez désagréable ! Donc bon, première essai, déception …
Vu que y’a pleins de petits restau du même genre à côté, je préfère aller aux autres !

Retourne en rando !
Ça va être rapide. Mis à part une terrasse au soleil le reste né vaut pas le détour. Cuisine de piètre qualité et grise mine quotidienne du personnel. Déco pseudo africaine vieillotte, dommage car il y a un bel espace de quoi faire quelque chose de sympa.
On sait que la reconversion est toujours une étape difficile à négocier pour les sportifs mais la mieux aurait valu aller bosser au vieux campeur !
K.

Une agréable escale un soir de pluie. L’équipe a été chaleureuse. Le foie gras maison était très bon. J’y retournerai avec plaisir d’autant qu’ils servent tard.

Pour boire un chocolat après une marche dans le froid depuis la Bastille et avant d’aller voir un concert privé à deux pas. Calme avec des fauteuils club, et bien situé.

Un café sans charme, mais bien placé, au début de la rue Faidherbe. Trop de lumières, pas assez de monde, c’est même désolant vu la fréquentation importante des concurrents comme les Funambules ou En attendant Laure.

I picked this café because it was close to my hotel, and the outdoor seats were bathed in late afternoon sun, with a nice view of the little plaza there, and all the Parisians on their way home from work. If you’re in this neighborhood and looking for a nice place to sit and maybe have a drink, this isn’t bad at all.
However, the food was pretty mediocre, which is always a disappointment when you’re on vacation in a city with amazing food that you could be eating if only you’d known where to go. Also, it was really quite expensive for the neighborhood. If you’re looking for a nice, simple meal in Paris, you can do much, much better.

A l’instar des chaînes comme Indiana ou Charlie Birdy, le Bardoudeur n’apporte pas grand chose de nouveau.
J’ai tout de même apprécié ma visite un samedi soir pour plusieurs raisons:
— Il y avait de la Chouffe à la pression, ce qui n’est pas si courant
— le cheeseburger n’était pas mauvais
— La radio passait une succession de morceaux qui n’allaient pas du tout ensemble (je me laisse à penser qu’il s’agissait de Nostalgie, ou RFM)
Un rapport qualité/​prix correct mais sans plus, relevé par un service chaleureux.
Disons ¹⁴⁄₂₀ pour la prestation dans son ensemble.

Okai, alors c’est dommage qu’il n’y ait pas 00 étoile comme évaluation.
Le nom aussi devrait être «Aux Toilettes» tellement la bouffe est infâme.
D’ailleurs je comprends pas comment il peut y avoir des clients, peut-​être ce sont des types qui ont une maladie du palais, ou une décharge à la place de l’estomac mais passons.
Bref après avoir tourné des heures dans ce quartier en pleine hiver, et que tous les cafés bistrot chouettes soient occupés, plus le choix, allons au baroudeur.
Prenons le rumsteack, frites, salade (classique francilien…) et vomissons.
Prenons une viande qui est à l’opposé totale de la cuisson demandé, servi dans du viandox pour essayer d’avoir du goût, par un serveur édenté qui oscille entre pirate et prisonnier (ou un pirate qui joue à la balle au prisonnier ?). Ensuite les frites (wouh c’est dur à faire des frites), mais les faire frire dans une huile qui a servi à tuer un poisson y’a 5 ans et qu’est toujours là… c’est un peu dur niveau gustatif.
Ensuite on tente pas le dessert parce que même l’eau du robinet est degueulasse.
Bienvenue en enfer

Pas de sympathie pour ce lieu, ni d’antipathie profonde, seulement un désintérêt. On y trouve certes le journal, un zinc qui n’est pas modeste, de l’espace et de la lumière, mais…
Mais c’est ouvert à tous vents. On est à un carrefour où tout bouge et trop vite. Sans compter les écrans télévisés du bar, branchés sport. Par là, il y a quelque chose de manqué, selon moi, car «éditorialement» il n’y a aucun choix. Pas de parti pris, pas de prise de risqué, trop impersonnel pour moi.
Toutefois, puisque c’est entre deux (voire entre tout), il s’y passé de tout, du moins bien comme du très bien. Sa très grande terrasse plaît.
Côté cuisine: rien à dire (ni + ni -, je né sais pas).

Avec son emplacement stratégique, à l’angle du gros carrefour Faubourg St Antoine-​Faidherbe-​rue de Montreuil, et sa grande terrasse bien exposée au soleil, le Baroudeur né peut pas se rater quand on se promèné dans le quartier. La déco, quant à elle, dans son genre safari-​fantaisie kitsch, est plutôt inattendue. La carte, plutôt typique pour le quartier (grosses salades, hamburgers et viande), a le mérite de donner faim, et la qualité de la cuisine est bonne. Bref, une bonne adresse, surtout quand il fait beau. Petit bémol quand même: comme souvent à Paris, la terrasse sur trottoir étroit oblige à manger en compagnie des voitures et scooters qui passent devant votre nez, dommage.