Capucine

Comment se moquer de ses clients ?! 50 minutes pour être servis, une bouteille de vin madérisée qu’on tente de nous servir avec une certaine conviction, les polpettes se résumant à une assiette de 4 boulettes de viande avec 3 asperges et beaucoup d’huile, à 16 euros, soit 4 euros la boulette, et une assiette de gnocchis aux palourdes, composée de 7 palourdes et 10 gnocchis, à 15 euros.
Pourquoi? Et pour tout ça, vous rentrez chez vous avec une odeur de cuisine intenable !
A EVITER !!!

Niché au fond d’une petite allée piétonne comme seule la capitale en possède on nous avait fait plusieurs fois l éloge de ce restaurant italien.
Ce que l on remarque une fois la porte d entrée passée c est la petitesse de la salle… Un mouchoir de poche qui doit pouvoir accueillir au maximum 12 couverts. Les plus grandes tables font 4 couverts… Qu à cela né tienne, on nous installe sur une petite table avec 2 tabourets… Ben où je met mon manteau ??? La table d à côté hurle … J ai l impression de manger avec eux. C est trop bruyant ! Pas grave on se commande une assiette de charcuterie italienne et un verre de vin pour débuter notre repas. L assortiment est délicieux, coupé finement… De la véritable charcuterie italienne ! Je continue avec le plat du jour: des raviolis à la sauce tomate fourrés au bœuf avec une pointe de menthe. Un délice … Ils fondent dans la bouche!!! Anne prend les lasagnes maison. Rien a redire également: ça sent l Italie à plein nez. En bref de bons plats, de bons vins le tout à prix corrects (47 € à deux) mais quel dommage d être si mal installé ça gâche le plaisir! Je vous déconseille de venir avec un enfant ou pire une poussette !

Cet avis né concerne pas la carte que nous n’avons malheureusement pas pu tester.
En effet, la cuisine ferme à 21h et étant arrivé à 20h45, il né restait quasiment plus rien.
Nous nous sommes donc contentés d’un spritz (très bon au demeurant) et de lorgner sur les assiettes voisines qui avaient l’air très bonnes: buratta, bruschetta d’aubergines, boulettes…
Le service est très agréable, les serveurs sont vraiment aux petits soins.
J’ai beaucoup le cadre du resto installé dans un petit passage perpendiculaire à la rue du Faubourg Saint Antoine.
Bref à retenter mais en venant tôt

Belle comme une fleur, cette nouvelle Capucine !
Aux habitués du Caffé dei Cioppi qui auraient peur de le regretter, nul besoin de s’attrister ! Capucine prend la relève haut la main !
Dans ce passage tout mignon du 11ème, une caffétéria très italienne nous ouvre ses portes (et ses fenêtres) pour nous proposer du petit dej’ jusqu’au early dinner, une sélection de mets italiens des plus alléchantes !
Au petit matin: croissants de chez Blé sucré fourrés à la crème et un café à la nocciola par Stéfania Mélis la chef et proprio de Capucine.
Au déj: Lasagnes homemade; polpette de la folie, ou encore carpaccio de daurade et cerises.
A l’apero: Un spritz, une burrata aubergine/​menthe et des charcuteries transalpines.
Le service est adorable, avec l’accent si charmant qui vient avec. On y va?

Il semblerait que l’Italie se donne rendez vous au faubourg saint Antoine… En quelques mois les restaurants italiens ont pris possession du quartier et c’est une Bonne Nouvelle car c’est bon et ça nous permet de repartir à Rome ou à Palerme pour pas cher…
Chez capucine c’est frais c’est bon c’est simple et c’est sain
Petit couac sans doute du fait de la fraîcheur des produits et de l’ouverture le service du midi est un peu long… Et oui c’est pas le tout de s’en mettre plein les papilles mais on doit aller bosser…
Prochain essai un soir pour l’apéro

Après avoir beaucoup pleuré la disparition du Caffè dei Cioppi dans ce petit passage si bien gardé, une petite Capucine a repoussé sur ses cendres pour notre plus grand bonheur.
On n’est pas dépaysé, on reste dans cette belle ambiance italienne avec Stefania Melis qui faisait partie du staff du Caffè dei Cioppi, on y croise aussi son compagnon Simone Tondo, chef du Roseval et très impliqué dans cette nouvelle aventure.
On est dans la simplicité, la qualité des produits et la justesse de la préparation. Tellement enthousiastes, on n’arrête pas de commander, on veut tout tester!!!
On commence par une mozzarella di buffala sur un lit d’aubergines à la coriandre. Initialement prévue pour être une burrata, on se régale avec la mozzarella. L’association est fantastique!
On enchaine sur les polpette al sugo: des boulettes de veau avec les classiques oeufs/​chapelure/​ail auxquelles ils ont incorporé des courgettes et du parmesan. Le tout saupoudré de parmesan dans une sauce de tomates fraiches. On va leur piquer la recette, ces boulettes sont hallucinantes! (une amélioration à apporter: des petites morceaux de gras du veau se sont glissés dans les boulettes)
On enchaine sur le panino mortadella et scarmoza (fromage fumé) servi dans une focaccia, tout chaud, tout moelleux.
Enfin on se laisse tenter par la pannacotta avec pèches plates. La pannacotta est tout simplement la meilleure qu’on ait jamais mangée et les pèches plates sont justes hallucinantes tellement elles sont sucrées.
Et comme il fait chaud, on se doit de prendre un petit café mais pas n’importe quel café: un shekerato: un expresso frappé à l’italienne. Délicieux!
Le tout dans une atmosphère si calme loin du tumulte du Faubourg Saint Antoine. Une escapade en Italie pour notre plus grand plaisir!