Vivant Cave

We traveled across Paris to get here on the recommendation a friend. It was worth it! The food is out of this world. If you’re looking for a sidewalk café to watch people this is not your place. But if you appreciate organic, farm to fork meals this is it. It’s definitely a treat and a special meal.

2 entrées, 1 seul résultat: l amour du Produit! Du bon, du bio, en direct du producteur! Cuisine inventive et varié, vins connus sur le bout de ma langue par les serveurs! Ça manqué un peu de place mais trop grand ça ferait cantine! Un air de Bistrot comme on les aime. Service possible jusqu à 23h: D

Amazing meal! Ask the servers for wine recommendations, they are very knowledgeable with their wines and act as part server and part sommelier. The service was quick and friendly and the interior decoration was adorable — the walls were lined with art nouveau tiles. The location appears to be off the beaten path, I think we were only one of two foreign couples at this place (restaurant probably seats around 20).
The food composition and plating was beautiful. I got the gazpacho and cheese (I think it was ricotta but I forgot) for a starter and it was my favorite section of my meal.
We were able to just walk in at 8pm but I would recommend getting a reservation if you are eating later.

Fabulous food, great wines, wonderful staff! This restaurant was phenomenal and a great low key experience. Set in a small art décor space, you can come in and have a great meal in a cozy environment. We were very respectful to staff and they were respectful and charming back. This little gem is a place I would go to
avoid tourists and hipsters and have a great meal in Paris.

Our recent trip to Paris, not surprisingly, entailed a lot of nice food and wine. On the day we arrived we wanted something close by the hotel so opted for Vivant Cave for dinner. It is a very narrow small space where the bar takes up a large part of the entire premises and behind it the chefs are working on creating the nice small or mid-​sized plates. There is seating all along the bar as well as at a few tables that have been crammed in at strategic places. There are also several wine fridges lining the wall opposite the bar.
The restaurant used to be owned by Pierre Jancou but he has now moved on to new projects. I had not read up on the new chef before but being seated at the bar and having the chef take the orders for us I right away heard the unmistakable Swedish accent. The new chef is indeed Swedish, Svante Forstorp, but while relatively new at Vivant Cave he has plenty of experience from before for example from Aux Deux Amis. He makes some lovely small dishes behind the counter, the limited space does not seem to bother him at all. Not only is the food very good, it is also great to watch him at work. I am of course a bit of a sucker for the open kitchen but I am a firm believer that it keeps restaurants honest.
We opted for a selection of different dishes but among the highlights were the asparagus, the spicy pasta (chili and fresh lemon) as well as the smoked foie gras with cabbage. The place is known to have a good selection of, in Paris so trendy, natural wine and we were rather pleased with the wine recommendations. We tried an lovely Brut Nature champagne from Ruppert-​Leroy as well as an excellent Austrian sparkling from Strohmeier as well as some nice reds. Service was in general very attentive and the staff were happy to explain the all-​French menu to us.

Having picked up bottles and bottles of wine from here, we finally decided to eat here. And it was the best decision I’ve made in a long time. Amongst the highlights were the white asparagus (which seriously, I could just live in that bowl) and the pasta (and I don’t even like pasta in general). The entire meal was just amazing, with a great bottle of wine. The chef really knows what he’s doing and after having lived next to this place for 4 something years, I’m definitely going to eat there more often.

Voilà le récit d’une expérience vécue il y a 3 mois maintenant.
Ce soir-​là il pleuvait des cordes et il faisait bien frais dehors.
Vivant Cave a su nous réconforter par son côté chaleureux, sa carte alléchante, son décor de pur bistrot parisien, ses vins gouleyants.
Les assiettes arrivaient et on n’avait qu’une envie: se jeter dessus sans aucune décence.
Parce que la burrata fumée sur une salade de légumes croquants m’a fait hurler de plaisir.
Parce qu’ils y servent de la charcuterie hors norme comme de la cecina de leon, de la coppa de Corse, du culaccia.
Parce qu’on peut réserver.
Parce qu’ils ont su nous faire un prix après nous avoir demandé si l’on pouvait changer de table pour l’arrivée d’un groupe.
Parce qu’on peut s’attabler ou se mettre au comptoir, tout de marbre vêtu.
Parce que ce n’est pas la cacophonie.
Bref, j’ai adoré.
Juste, juste un bémol sur le serveur un peu trop curieux et à l’écoute de notre conversation de filles — d’ailleurs comme beaucoup de serveurs parisiens j’ai pu constater.

«Ici pratiquement tous nos vins sont bios !
Pas levurés…pas filtrés …pas collés …très peu ou même pas sulfités «
Bam …La maison annonce la couleur dès l’entrée !
Pierre Jancou a encore frappé fort en installant à coté de son restaurant Vivant, une version «Cave «, dans une ancienne oisellerie
Décoration de l’époque avec ces faïences d’antan, grand comptoir en zinc, 4 tables qui se battent en duel et une magnifique cave à vins le long du corridor
Allez on s’attable et on parcoure avec envie la carte assez atypique… Mon Dieu tellement de choses font envie .
Bonne initiative que voilà, les mets proposés sont faciles à partager en 2 voire 3
C’est parti, lâchons nous pour
Les entrées :
La Burrata fumée et sa salade folle de légumes anciens croquants: Une burrata ultime comme on les aime .
La Culaccia: j’apprends que c’est la meilleure partie du cochon, la plus fine. Au goût, c’est doux mais très aromatique. Une belle découverte
Passons au plat: le parmentier de joue de boeuf
Très réussi. Compte tenu des deux entrées englouties précédemment, le partage du plat s’est avéré très ingénieux, surtout pour laisser un peu de place au dessert, en réalité au fromage
Et oui pour finir, le St Nectaire fermier, avec une rasade de la «mer à boire», subtil à souhait
Bref d’ici, on repart le sourire aux lèvres et tellement Vivant

Great food in casual circumstances — just a few seats against the bar and a couple of tables, with the young Japanese chef cooking right behind the bar. cooking delightfully — I ate tarte au boudin noir, with the lightest, creamy boudin topping and clams en coccote with a rich, savoury broth. but it only gets 3 stars for the service, which was cheeky bordering on offensive. irritating because it distracted from the lovely food.

I got the sausage, and my dinner mate got the pasta. We also shared the buffalo cheese appetizer.
Everything was excellent. We sat at the bar, and watched the cook prepare the meals. The cook’s assistant was hilarious, spoke excellent English, and made great recommendations.
Small menu, filling meals. Don’t expect any «light, healthy» options.

Testez les entrées à 14 euros, elles sont magnifiques (burrata, asperges…) et les vins au verre sont à tomber.
Autrement légère déception sur la taille des parts pour les plats, c’est léger pour le prix.
En dessert, la tarte noix /​chocolat est excellente, le gâteau de Zoé parfumé au café est un cran en dessous.
Service très sympa, musique classe, je reviendrai pour les entrées et les vins au verre.

Le Vivant, c’est mort ! Ou comment attirer désespérément la carte bleue des bobos en mal d’authenticité.
Oui, je sais, le Vivant, tout le monde en parle, mais savons nous vraiment pourquoi? Ce qui est sûr, c’est que ça n’est pas pour leur cuisine ni leur sens de l’hospitalité.
Je fréquente le bar du Carlyle à New York, j’adore Frank et Musso sur Hollywood Boulevard et je me délecte à la Grande Orange à chacun de mes passages à Santa Monica et je sais ce que c’est qu’un lieu qui a de la classe. Le Vivant n’en a aucune.
Après avoir été reçu une première fois par un vert à peine plus haut que son comptoir et dégarni avec des grosses lunettes noires comme pour nous faire croire qu’il était intellectuel et qui nous annonçait qu’il n’y avait pas de place avec un mouvement négatif de la tête sans plus de commentaires, nous sommes finalement entrés par une autre porte mais nous n’aurions pas du insister.
Un endroit rempli de femmes d’un certain âge qui pensent être restées jeunes en fréquentant des lieux branchés. Un magasin dans lequel il faut surtout se montrer et où il est possible de confondre certains visages ridés avec des crocos Vuitton usagés mais aussi, hélas, un endroit où l’on né sait pas où et qui fait la cuisine.
Spéculer sur la réputation en contactant les boîtes de com au détriment d’un minimum de sens du commerce est une gageure pour un restaurateur. Pour preuve, Le Vivant amorce son déclin en se payant de la publicité sur le New York Times. Peut-​être pour passer des bobos aux touristes américains ?
Fort heureusement, le quartier regorge de lieux beaucoup plus sympathiques alors que Le Vivant est installé dans un endroit retiré et sinistre de la rue des Petites Écuries ce qui est une bonne chose. On pourra l’oublier d’autant plus rapidement.
Rémy Giemza, romancier.

Allez savoir pourquoi, je suis restée persuadée que Vivant se trouvait rue du Paradis jusqu’au moment ou presque de me mettre en route pour enfin découvrir l’endroit.
Sûrement un fantasme de début d’année…sortir du métro, prendre le passage du désir, puis la rue du Paradis pour se sentir pleinement (à) Vivant, en mangeant du culoletto (la noix de la fesse de la bête en question, je né suis pas totalement végétarienne!)…en deux mots, le pied.
Bön, finalement, cette petite pépite, noix de bonheur, se trouve rue des petites écuries…plus d’écuries en vue, mais une petite pépite, donc, si. Tant mieux.
Le qualificatif «petite» n’est pas exagéré: 2 tables de 4 personnes, et 3 de 2 (vous suivez?), sauf erreur de ma part + le comptoir, tout de même.
Donc une petite résa à l’avance, un ptit billet doux envoyé à David pour anticiper et annoncer l’envie de culoletto est sûrement une bonne idée, rien à voir avec un snobisme parisien primaire :
Juste du bon sens.
Et alors, à vous les vins qui pépitent (promis juré, c’est vrai), et une liste petite mais parfaite (small is beautiful, is it not?) de mets simples, d’une qualité sidérante de bonheur.
Tout ça avec un service amical et chaleureux, pas affecté pour deux sous, on sent juste le plaisir de ces mec-​là à travailler derrière ce comptoir-​là. Il faut dire qu’il est beau (le comptoir, le serveur est charmant aussi, mind you), tout comme les luminaires, le carrelage au sol et le miroir, une vieillerie craquante.
Et enfin, le plaisir d’entendre non seulement votre propre conversation (le fond musical est parfait, original et audible — très jazzy ce soir-​là — sans dénaturer vos échanges, passionnants, avec vos ami (e)s), mais aussi celle de la table des garçons d’à côté, dont les bribes saisis au vol («il n’y a pas d’aller-retour») seront peut-​être, qui sait, le début de votre prochain scénario.
Scenario, c’est mieux que roman, ça rime avec culoletto.